France- Danemark 2-1 Mbappé 61e 86e pour les Bleus, Christensen 68e pour les Rot-Hvide Les Bleus tombent sur le Danemark pour ce 2e match, un adversaire qu’ils ont affrontés à 3 reprises en Coupe du Monde depuis 1998, en 2002 et en 2018, pour deux victoires en 1998 et 2018, pour une défaite en 2002. Espérons que le résultat ne respecte pas l’écart de 20 ans comme il y a 4 ans, face à un des effectifs les plus rodés de la compétition, et contre qui la France ne s’est plus imposée depuis 2015, et même depuis le Mondial 98 en ce qui s’agit de matches non-amicaux. Les Français sont tout de même sur un bon match d’ouverture face à l’Australie et un succès 4-1 terni par la blessure de Lucas Hernandez, remplacé par son frère Theo sur le côté droit de la défense, les ailes de la défense sont d’ailleurs changées avec Koundé qui prend le poste de Pavard pour cette seconde partie. Du côté danois, la grosse tuile est le forfait de la sentinelle Thomas Delaney au milieu de terrain, obligeant le maestro Christian Eriksen à reculer d’un cran, permettant à Lindström d’accompagner Damsgaard pour soutenir un Cornelius qui avait claqué un doublé aux Bleus en Nations League au Stade de France en juin dernier. La France a une première superbe occasion à la 10e minute, quand sur une orientation de Mbappé sur Hernandez sur le flanc gauche, le Milanais centre en première intention pour Giroud, mais le co-meilleur buteur des Bleus manque le cuir de son pied gauche à hauteur du point de pénalty. Dembélé prend le dessus sur Christensen à la 15e sur l’aile droite et centre au second poteau Pavaaaard , euh non Giroud qui reprend de la tête mais ça passe à côté. A la 19e minute, Mbappé passe devant Christensen sur une longue balle plein axe en profondeur, le barcelonais retient l’attaquant français, et Mr Marciniak sort le jaune qui est très orangé quand même. Sur le coup franc qui suit, Rabiot qui vient couper de la tête au premier poteau va obliger Schmeichel à s’envoler ! Cornelius vient frictionner la cheville d’un Olivier Giroud touché à la 24e minute. Mbappé fait la musique à la 29e sur le côté gauche et centre pour Koundé sur la droite, mais n’est pas Pavard qui veut, et sa frappe est contrée par un tibia danois. La France est dominante, et tente de marquer comme sur la séquence à la demi-heure de jeu, mais toutes les frappes françaises échouent sur un dos, un mollet, une tête danoise. Upamecano se la joue quaterback à la 39e en lançant Dembélé dans la profondeur, qui remise pour Mbappé dans la surface mais le parisien manque sa reprise ! Jules Koundé vient coller ses crampons sur la jambe de Nelsson à la 42e et l’arbitre colle jaune au défenseur français, qui aurait pu être d’une autre couleur. La France revient de la pause avec les mêmes intentions, et Mbappé est toujours aussi présent comme à la 50e, quand il combine avec Dembélé dans la défense scandinave, mais que Schmeichel sort pour choper le ballon. Le Danemark obtient son 1er corner à la 52e, et sur le long ballon d’Eriksen, Christensen remet de la tête au deuxième poteau, mais Lloris s’interpose. Le Danemark est plus présent, et Braithwaite se retrouve esseulé dans la surface des Bleus à la 55e, mais l’ex-toulousain est hors-jeu. Mbappé va obliger Schmeichel à boxer le cuir à la 56e, alors que le parisien avait tiré du gauche au premier poteau. Tchouaméni tente à son tour à la 59e minute de trouver Griezmann à la 60e, le colchonero élimine son vis-à-vis sur son amorti poitrine, mais il envoie un drop dans les tribunes. Et à la 61e , c’est une action entre Théo Hernandez et Kylian Mbappé, qui part du camp français et qui finit par une passe du latéral français pour Mbappé qui conclut du droit aux abords des 6 mètres pour son 30e but en sélection ! Olivier Giroud est remplacé dans la foulée par Marcus Thuram. Mais le Danemark a des armes à faire valoir, comme les coups de pied arrêtés, et c’est ce qu’ils vont faire à la 68e, avec un corner de la droite d’Eriksen, Andersen prolonge de la tête au second poteau pour Christensen qui vient claquer sa tête pour tromper Hugo Lloris et remettre tout le monde à égalité. Le Danemark a un temps fort, et Damsgaard sert Lindström à la 72e depuis la gauche et l’ailier de Francfort oblige Lloris à un arrêt réflexe. Dolberg rentre pour Damsgaard juste derrière. Varane et Dembélé sortent à la 75 pour Coman et Konaté. La France veut sa victoire et on est à quelques centimètres d’avoir le but du tournoi à la 79e minute, quand sur un centre de Théo Hernandez, Rabiot se jette pour claquer un ciseau qui flirte avec les montants de Schmeichel ! On part d’un côté comme de l’autre, et sur l’action d’après, c’est Braithwaite qui devance Koundé et voit son tir mourir au pied du poteau gauche de Lloris ! Tchouaméni va se prendre un Rabiot dans le buffet quand le turinois va jouer un ballon aérien à la 81e minute ! La France va faire trembler les filets à la 83e minutes, quand Griezmann hérite d’un long ballon rattrapé par Coman côté droit, pour centrer du gauche pour un Mbappé qui vient conclure de la cuisse droite pour le 3e but de l’attaquant du PSG en 2 matches ! Il rejoint Zinédine Zidane avec 31 buts en Equipe de France ! Et au bout d’une dernière incursion danoise dans les 20 mètres français, les hommes de Didier Deschamps décrochent une deuxième victoire synonyme de qualification pour les 8es de finale, permettant même à Didier Deschamps de pouvoir faire souffler ses titulaires lors du 3e match contre la Tunisie, et de donner du temps de jeu à ses remplaçants. Le Danemark est dans une situation plus que délicate avec cette défaite, avec un point en deux matches, et devra absolument s’imposer dans cette finale de groupe face à l’Australie qui est actuellement 2e après la victoire contre la Tunisie. AuteurCamouf, @CamilFranciosi , satisfait de la victoire française
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Pologne-Arabie Saoudite 2-0 Zielinski 39e, Lewandowski 82e pour la Pologne Il devait marquer au moins un but en Coupe du Monde, pour avoir le Grand Chelem, avoir marqué dans toutes les compétitions disputées. Et il l’a fait. Robert Lewandowski a été, une fois de plus le sauveur de la Pologne, face à l’Arabie Saoudite, tombeuse de l’Argentine au premier match, et qui pouvait rééditer l’exploit de 1994 en sortant des poules en cas de victoire. Le buteur barcelonais a d’abord été passeur sur le premier but, à la 39e minute. Sur un centre du lensois Frankowski, RL9 se bat pour récupérer le ballon, se retourne et trouve Zielinski qui envoie une sacoche sous la barre pour l’ouverture du score. L’ Arabie saoudite est tout près de revenir avant la pause quand Al Shehri est bousculé par Bielik, et Mr Sampaio siffle pénalty ! Mais la Pologne a un mur dans les buts, Wojciech Szczesny qui va arrêter le pénalty du numéro 10 saoudien, avant de s’interposer sur la reprise d’Al Burayk ! Incroyable double parade du gardien de la Juventus ! Et en seconde période, Milik trouvé par Frankowski , va d'abord trouver la barre transversale à la 63e, avant que Lewandowski ne heurte le poteau à la 66e. Lewandowski est-il maudit en Coupe du Monde ? L’ancien du Bayern rompt le signe indien et marque son premier but en Coupe du monde à la 82e minute, sur un ballon chipé à Al Malki, il ajuste une frappe du droit imparable pour Al-Owais. La Pologne est temporairement leader de leur groupe avant l’Argentine- Mexique de ce soir, mais tout n’est pas perdu pour les saoudiens, qui pourraient se qualifier tout de même en cas de succès face au Mexique au 3e match. AuteurCamouf, @CamilFranciosi, fan du buteur polonais Qatar- Sénégal 1-3 Muntari 78e pour les Al annabi, Dia 41e Diedhiou 48e, Dieng 84e pour les Lions de la Teranga Et si le Champion d’Afrique sortait après cinq jours de tournoi ? Et si l’hôte de la compétition était éliminé alors qu’elle n’a pas commencé depuis une semaine ? Malheur au vaincu pour cette rencontre, car les deux sélections se sont inclinées lors de leur première partie, la toute première de l’histoire pour le Qatar, perdue 2-1 face à l’Equateur, les Sénégalais perdant en fin de rencontre 1-0 contre les Pays-Bas. Malgré la blessure de Kouyaté au début de ce Mondial, et avec le forfait de Mané, les Lions de la Teranga ont tout de même fière allure, avec Edouard Mendy dans les cages, Kalidou Koulibaly et Abdou Diallo en défense (sans oublier le jeune monégasque Ismaïl Jakobs, tout juste naturalisé), Idrissa Gueye ou Ismaïla Sarr au milieu, et Diedhiou ou Dia devant. La première occase est pour le Sénégal, sur un déboulé de Sarr côté droit, le ballon revient sur Nampalys Mendy qui voit sa frappe du droit aux vingt mètres passer de peu à côté. Diatta tente à son tour sa chance à la 15e mais Barsham repousse. Les sénégalais tentent comme Gueye à la 25e mais sans succès. Afif est déséquilibré à la 32e minute par Sarr dans la surface, mais l’arbitre estime que le qatarien a trop attendu et n’a que joué la penalty ! Et quand le Qatar est hésitant dans sa propre surface, le Sénégal le punit. À quatre minutes de la pause, c’est une erreur individuelle de Koukhi qui manque le ballon en voulant dégager et Boulaye Dia reprend direct du droit pour finir premier poteau ! Il n’est que le 3e buteur sénégalais en Coupe du Monde après Henri Camara en 2002 et M’Baye Niang en 2018 ! Et il faudra 3 minutes seulement en seconde mi-temps pour que le Sénégal double la mise. Sur un corner d’Ismaïl Jakobs, Famara Diedhiou vient couper au premier poteau d’une tête renversée ! Le Qatar essaie de revenir au score, mais ni Ali d’une frappe du gauche au ras du poteau à la 62e ni Mohamed d’une tête smashée à la 67e ne parviennent à tromper la vigilance d’un Mendy irréprochable jusque-là ! Le Public qatarien va pouvoir se réjouir à la 78e minute, avec Mohamed qui centre pour Muntari, entré à la 74e minute pour Al Haïdos au deuxième poteau, qui vient d’une énorme tête inscrire le premier but de son pays en Coupe du Monde ! Mais l’espoir pour les locaux fut de courte durée, car Bamba Dieng, qui a pris la place de Diedhiou à la 74e va redonner deux buts d’avance au champion d’Afrique, en reprenant un service de Ndiaye. Hassan sur coup-franc va tenter une belle frappe du gauche à la 88e, mais elle vient mourir au pied du poteau de Mendy. Et malgré la première réalisation en Coupe du Monde du Qatar, la route s’arrête là pour eux. Pour le Sénégal, l’espoir est permis, il faudra faire quelque chose contre l’Equateur pour continuer la belle histoire. AuteurCamouf, @CamilFranciosi, rassuré du niveau du champion d'Afrique Pays de Galles- Iran 0-2 Cheshmi 98e, Rezaeian 101e pour le Team Melli Les iraniens doivent prouver après leur lourde défaite face à l’Angleterre qu’ils ont leur place dans ce tournoi, en prenant des points face à des gallois qui ont mieux réussi leur entrée en lice en décrochant un nul face aux USA, grâce à Gareth Bale évidemment. Les Gallois cherchent cependant le chemin de la victoire depuis le mois de juin et la qualification face à l’Ukraine. Les atrs de l’équipe sont au rendez-vous, Taremi avec deux buts et Bale avec l’égalisation dans le premier match ayant déjà trouvé le chemin des filets. Les deux équipes se sont rencontrées une seule fois, en 1978, pour une victoire 1-0 des Gallois. À noter que Gareth Bale devient avec ce match le joueur le plus capé de sa sélection avec 110 capes, dépassant Chris Gunter La première banderille est pour les Gallois à la 5e minute, avec Neco Williams qui tire depuis le côté droit mais passe au-dessus des cages d’Hosseini, remplaçant d’un Beiramvand blessé au premier match. La Team Melli pousse en début de partie, mais ne parvient pas à se montrer décisif, les défenseurs gallois laissant toujours une tête ou un pied traîner. Roberts va servir Moore au point de pénalty à la 12e, mais il bute sur un Hosseini qui fait un arrêt réflexe. L’Iran croit ouvrir le score à la 16e minute, avec un Gholizadeh qui profite d’une mauvaise relance des Gallois pour servir Serdar Azmoun dans la surface. Le joueur du Bayer Leverkusen fixe Hennessey avant de remettre à son coéquipier, mais il y a une position de hors-jeu pour empêcher les asiatiques d’ouvrir le score. Les contacts sont durs dans cette première demi-heure, et plusieurs fois les soigneurs doivent intervenir, notamment à la 27e pour l’Iran qui a tremblé au moment de voir Azmoun au sol. Wilson a une belle occasion à la 42e minute, lorsqu’il est servi par Moore depuis la gauche. Le tir de l’ailier de Fulham est contré et manque de lober Hosseini. Ezatolahi va effectuer à la 45e minute un superbe centre plongeant au cordeau, mais il manque quelques centimètres à Azmoun pour pousser le cuir dans les cages ! Dans les arrêts de jeu, Rodon va faucher Taremi sans jouer le ballon, et le défenseur du Stade Rennais voit jaune. Et c’est sur ce vilain geste que les deux équipes rentrent aux vestiaires. Les Gallois sont bénis, ou sont-ce les Iraniens qui sont maudits ? À la 52e, Azmoun lancé dans la profondeur voit son tir heurter le poteau droit, le cuir revient sur Gholizadeh, qui touche le poteau gauche, ça revient encore une fois sur Azmoun dont la tête atterrit sur Hennessey ! Hajsafi reprend un ballon de Gholizadeh à la 56e mais Roberts contre. Les premiers changements interviennent juste après avec James et Johnson qui remplacent Wilson et Roberts. Puis c’est au tour d’Azmoun de céder sa place à Ansarifard à la 68e. Ezatolahi à la 73e minute va obliger Hennessey à s’envoler. Carlos Queiroz fait ses changements à la 77e avec Jahanbakhsh et Torabi qui rentrent pour Gholizadeh et Hajsafi, alors que côté gallois c’est Allen qui prend la place d’Ampadu, avant que Nourollahi sorte pour Chesmi. La légende iranienne Ali Karimi va jouer les sept dernières minutes du temps réglementaire en entrant pour Ezatolahi. Hennessey va sortir à la 85e hors de sa surface, mais il loupe complètement le ballon, et vient coller son genou dans le visage de Taremi ! Le carton rouge est obligatoire vu le geste incroyable du portier de Nothingham Forest ! C’est Ward qui rentre pour Ramsey. Et alors qu’on pensait que ce match allait finir sur un match nul, c’est Chesmi qui va délivrer la Team Melli à la 94e minute, sur une balle mal dégagée par Joe Allen, sur une frappe du droit instantanée à l’entrée de la surface galloise ! Le milieu défensif inscrit là son 2e but en équipe nationale, pour une victoire probable plus qu’importante ! Et le match est définitivement plié à la 101e minute, quand au bout d’un rush de 40 mètres, Taremi rentre dans l’axe et trouve Rezaeian dans l’axe qui va ajuster Ward d’un ballon piqué ! Ils s’imposent pour la 3e fois en Coupe du Monde après les USA en 1998 et le Maroc en 2018, c’est le Pays de Galles de Gareth Bale qui subit les foudres de la Team Melli ! 3 points au compteur donc pour les hommes de Queiroz, les gallois restent bloqués à une unité AuteurCamouf, @CamilFranciosi, étonné du plot twist final de ce match Brésil- Serbie 2-0 Richarlison 62e 73e pour la Seleçaõ Ce jeudi soir, c’est le recordman qui entrait dans la compétition, le Brésil et ses 5 étoiles sur le maillot, et beaucoup plus sur le terrain, avec son secteur offensif dément : Neymar, Vinicius, Raphinha, Richarlison, Rodrygo, Antony ou encore Gabriel Jesus. Les Auriverde courent après une sixième victoire depuis vingt ans maintenant et l’équipe emmenée par la 3R, Ronaldo, Rivaldo, Ronaldinho. Le premier match les opposait à une Serbie qui n’est pas dénuée de talents, avec évidemment le génial Sergej Milinkovic-Savic, mais aussi Tadic, Mitrovic (4e meilleur buteur de Premier League), ou les deux juventini Dusan Vlahovic et Filip Kostic, tous deux sur le banc au coup d’envoi. Pavlovic est le premier à se signaler, et pas de la meilleure des façons, en écopant d’une biscotte dès la 7e minute. Les Brésiliens sont tranchants sur les ailes sur els premières minutes notamment avec Vinicius mais les serbes ne se laissent pas dominer. Le Brésil a un premier corner à la 13e, que Neymar tire rentrant et que Milinkovic-Savic (le frère de Sergej) boxe du poing. Neymar est peu trouvé en début de match, sa frappe du droit à la 21e est contrée par Milenkovic (rien à voir avec les deux Milinkovic). Tadic va s’offrir un rush à la 25e sur la droite, avant de centrer second poteau pour Mitrovic, mais Alisson s’interpose. Thiago Silva va trouver Vinicius sur une passe dans l’axe à la 27e, mais Milinkovic sort dans les pieds du madrilène. Sur la suite de l’action, le Brésil obtient un coup franc à 30 mètres à gauche des cages serbes, mais la combinaison entre Raphinha et Neymar est complètement loupée. Paqueta à la 29e joue un corner court avec Neymar, qui trouve Raphinha, mais le centre au sol du barcelonais est capté par Milinkovic. Pour la première fois du match, Milenkovic se manque à la 41e, en auto-contrant son dégagement, mais Vinicius se précipite dans son tir, et l’ailier du Real manque sa frappe, bien gêné par le retour du défenseur de la Fiorentina. SMS essaie de trouver Tadic aux abords de la surface à la 44e minute, mais le laziale donne le cuir dans le dos de l’ajacide. Finalement, personne n’a réussi à faire la différence en 45 minutes, donc match nul à la pause. Le Brésil revient avec l’intention de forcer le verrou serbe après la mi-temps. Et après une première parade du portier serbe dans les premières secondes sur une tentative de Raphinha, c’est sur un coup-franc à la suite d’une faute d’un Gudelj averti aux 20 mètres que Neymar envoie dans le mur à la 49e minute. Pavlovic va venir faire un énorme tacle sur Neymar à la 52e, mais un tacle correct pour l’ancien monégasque. Le Brésil se rapproche, comme à la 55e, quand Casemiro décale Vinicius à gauche, qui centre pour un Neymar dont le tir du gauche passe à côté. Gudelj et Zivkovic cèdent leurs postes à la 57e pour Ilic et Radonjic. Alex Sandro va prendre sa chance à la 59e aux 30 mètres, et le latéral de la Juve va trouver le poteau sur une superbe frappe du gauche ! Mais à force de pousser, le Brésil va planter. Sur une frappe de Vinicius repoussée par Milinkovic-Savic, Richarlison reprend du droit pour glisser le ballon dans le but vide ! Lazovic et Vlahovic entrent à 25 minutes du terme pour Lukic et Mladenovic. À la 73e, on a probablement LE but des phases de poules, sur un centre de l’extérieur du pied de Vinicius, Richarlison se fait monter le ballon avant de nous claquer un retourné exceptionnel ! Instants coaching avec Rodrygo et Fred qui remplacent Vinicius et Paqueta, puis Gabriel Jesus et Antony pour Neymar un peu blessé et le buteur du soir Richarlison entre la 76e et la 79e minute côté brésilien, alors que Maksimovic remplace un Mitrovic frustré pour les dix dernières minutes pour la Serbie. Casemiro est tout près de planter le 3e sur un enroulé du droit à la 81e, mais c’est la barre qui vient sauver la Serbie ! Raphinha est le dernier changement de Tite pour Martinelli à la 87e. Thiago Silva va encore marcher au passage sur les pieds de Vlahovic à la 95e minute. Le Brésil était simplement trop fort pour une Serbie valeureuse, mais avec des armes offensives hors de forme, les hommes de Stojkovic n’ont jamais pu vraiment inquiéter une Seleçaõ sûre de son football. AuteurCamoufinho, @CamilFranciosi, redactaõ contentinho pour Richarlison Allemagne- Japon 1-2 Gündogan 33e (sp) pour la Mannschaft, Doan 75e Asano 83e pour les Blue samouraïs Les hommes d’Hansi Flick veulent effacer l’affront de 2018. Eliminés dès le premier tour en Russie, la Nationalmannschaft veut retrouver de sa superbe pour la dernière des mythiques Thomas Müller et Manuel Neuer. C’est un effectif sans un numéro 9 pur qui s’avance, dans le pays des Uwe Seeler, Horst Hrubesch, Gerd Müller, Karlheinz Rummenigge ou encore Miroslav Klose, meilleur buteur de l’histoire du tournoi, mais avec un effectif sur les ailes et un milieu parmi les meilleurs de la compétition avec Gnabry, Musiala, Sané (blessé pour le premier match), Brandt, Götze, Hofmann, Havertz, Goretzka, Kimmich ou encore Gündogan. Ils sont opposés à des Japonais désormais habitués de la Coupe du Monde et qui sont sortis en huitièmes de finale, dans les ultimes secondes face à la Belgique, et dont les jeunes joueurs avec Kamada, Kubo, Ito du Stade de Reims vont vouloir prouver qu’ils ont leur place sur la plus grande des places. Les Samouraïs bleus vont surtout pouvoir s’appuyer sur Daïchi Kamada, le milieu offensif de Francfort qui marche sur l’eau cette saison avec 7 buts et 4 passes décisives en 13 matches de Bundesliga. D’ailleurs il est l’un des cinq titulaires à évoluer en Bundesliga côté nippon avec Tanaka, Endo, Yoshida et Itakura. Sur la première action dès la 8e minute, Daïchi Kamada récupère le cuir dans le rond central, pour servir Ito dans le couloir droit, le rémois centre au sol au second poteau pour Maeda qui trompe Neuer, mais le buteur du Celtic Glasgow est hors-jeu ! Le premier choc est à la 15e entre Hiroki Sakai l’ex de l’OM et David Raum. Un corner de Kimmich à la 16e va trouver Rüdiger au second poteau, mais la tête du joueur du Real passe à côté. Sur une belle combinaison à la 20e minute, Raum centre pour Havertz qui remise pour Gündogan qui est pris, mais ça revient sur Kimmich qui allume mais Gonda s’envole pour sortir le cuir. Le Japon va jouer un corner à la 22e minute, un corner joué à deux depuis la droite va chercher loin au deuxième poteau, mais Itakura ne cadre pas sa tête. Ilkay Gundogan servi par Gnabry à la 28e minute va tirer des 20 mètres du droit, alors que Raum était seul au second poteau à gauche. La double occasion est pour l’Allemagne à la 29e, avec le centre de Raum dévié par Gonda, puis le tir de Gündogan dévié par Yoshida ! Et après 25 premières minutes où le Japon a fait de bonnes choses, l’Allemagne est installée dans le camp nippon. Et à la 31e, Kimmich lance Raum qui vient en face à face contre Gonda, et le portier nippon vient attraper la cheville du latéral de Leipzig. Gündogan se présente aux 11 mètres, et du droit il vient inscrire son 1er but en Coupe du Monde ! Le Japon ne se laisse pas démonter, et obtient un 3e corner à la 35e minute, qui ne donnera rien. Les Allemands poussent pour en mettre un 2e juste avant la pause, avec plus de 80% de possession de balle, mais ils ne trouvent plus l’ouverture contre des Japonais qui plient mais ne rompent pas, comme sur la frappe de Musiala à la 44e, qui est pressé et envoie largement au-dessus une frappe du droit qui méritait mieux. Et les Allemands croient s’offrir le break à la 49e minute quand Müller centre pour Gnabry, c’est mal repoussé sur Kimmich qui reprend du gauche, Gnabry reprend du gauche, et c’est Kai Havertz qui la pousse dans le but vide, mais l’ex-wunderkind du Bayer Leverkusen est hors-jeu en reprenant la tentative de Gnabry. Nagatomo voit son centre depuis la gauche à la 50e repris de la tête par Maeda mais ça flirte avec le poteau gauche de Neuer, avant de rentrer aux vestiaires. Pour le second acte, Moriyasu fait rentrer son presque homonyme Tomiyasu pour Kubo. Musiala va depuis la gauche rentrer dans l’axe, nous éliminer 4 joueurs dans la surface nipponne à la 50e minute avant de frapper au-dessus ! Raum va servir un Havertz qui vient dribbler Gonda à la 55e minute, mais l’attaquant allemand est signalé hors-jeu. Asano et Mitoma rentrent à la 56e pour Maede et Nagatomo. Asano sur son premier ballon sert Ito sur le flanc droit, le centre du joueur de Reims est contré et ça sort finalement en six mètres. Musiala encore lui va servir Gündogan sur sa droite à l’orée de la surface et le capitaine de Manchester City va trouver le poteau de Gonda ! Asano est tranchant depuis son entrée, il est servi par Mitoma à la 60e sur l’aile gauche, mais son tir passe à côté des cages de Neuer. Mitoma à la 65e minute va obtenir un corner sur une frappe contrée, et c’est Nico Schlotterbeck qui va sortir une tête d’Itakura. Gündogan, le buteur sort à la 67e minute pour Goretzka, le double pivot du Bayern est reformé, alors que Müller laisse sa place à Jonas Hofmann. À la 68e, Sakai va sur une longue ouverture centrer de la tête pour Asano, mais l’attaquant de Bochum est contré ! L’Allemagne a une énorme séquence à la 70e Gnabry qui décale Hofmann d’une talonnade, le Gladbacher va son tir contré, c’est récupéré par Gnabry qui tente une fois, deux fois, trois fois de scorer, mais Gonda est exceptionnel ! Endo trouve d’une louche Ito qui bute sur un Neuer héroïque, ça revient sur Sakaï qui manque le but vide ! Mais sur la séquence suivante, le cyborg munichois ne peut rien faire ! Alors que Minamino et Doan viennent de rentrer, c’est le joueur du SC Fribourg qui est au rebond d’une frappe du monégasque repoussée par Neuer pour son premier but en Coupe du Monde ! Le héros de 2014, Mario Götze ainsi que le néo-international Niclas Füllkrug rentrent à la 78e minute pour Havertz et Musiala. Et quand le réalisme plante du côté allemand, sur un long ballon, très long ballon japonais d’Itakura, c’est Asano, le joueur de Bochum qui prend Schlotterbeck de vitesse et qui va tirer au premier poteau pour aller battre Neuer ! Youssoufa Moukoko prend le poste de Gnabry à la 89e alors que Füllkrug croise trop sa tête. Füllkrug est bousculé par Yoshida à la 92e dans la surface japonaise, mais rien n’est sifflé. Goretzka va avoir une dernière occasion à la 95e minute, mais l’ancien du S04 croise trop son tir. Kimmich a un coup franc à la 97e sur la droite, tout le monde est dans la surface japonaise, même Manuel Neuer, mais le ballon file en corner, tiré par Kimmich, dégagé des poings par Gonda, avant que l’arbitre siffle la fin du match ! L’Allemagne est surprise par des Japonais qui ont laissé passer l’orage en première période, et ont su jouer sur leur tranchant, leur vitesse, et un réalisme exacerbé, et c’est l’Espagne qui attend les hommes d’Hansi Flick… Le Japon frappe un énorme coup pour leur premier match, notamment grâce à ses joueurs évoluant en Allemagne, et s’impose pour la première fois contre son adversaire du jour ! AuteurCamouf, @CamilFranciosi, très hypé par ce Japon surmotivé Maroc- Croatie 0-0 Quatre ans après avoir été jusqu’en finale, les joueurs au maillot à damier se lancent pour avoir le droit de ramener la coupe à la maison, pour la dernière de Modric, Perisic ou Lovren. Pour cela, ils entrent en lice face à des Marocains qui arrivent avec le couteau entre les dents, emmenés par leur nouveau sélectionneur Walid Regragui qui a réintégré le londonien Hakim Ziyech. Les Lions de l’Atlas qui voudront passer la phase de poules pour la première fois depuis 36 ans, seront privés d’Amine Harit, blessé juste avant le Mondial, mais avec un Achraf Hakimi surmotivé, accompagné de joueurs désormais confirmés comme la charnière Saïss et Aguerd, des milieux talentueux comme Amrabat, Ziyech ou Boufal, et un buteur puissant comme En-Nesyri. Le milieu d’en face, Modric- Kovacic-Brozovic est un trio à toute épreuve, bien que n’étant pas le plus jeune (plus de 30 ans de moyenne) tout comme Perisic et Kramaric en attaque, ou Lovren derrière. Après 10 minutes où les Croates dominent relativement mais sans être singulièrement dangereux sur les buts de Yassine Bounou, c’est Hakimi qui met Livakovic à contribution à la 13e minute, quand le latéral du PSG déborde sur l’aile droite, avant d’adresser un centre-tir dans les bras du goal croate. Ivan Perisic va tenter une frappe du gauche à 25 mètres sur une erreur d’Amallah, mais le tir de l’intériste frôle la barre marocaine ! À la 20e minute, le Maroc obtient un coup franc à vingt mètres plein axe, mais ça file droit dans le mur. En-Nesyri bute sur la défense à la 25e sur un centre de Boufal. Le Maroc obtient un coup franc sur la droite de la surface à cinq minutes de la pause, quand Hakimi est accroché par un Modric peu en vue, mais Ziyech ne trouve personne, si ce n’est une tête croate. Nikola Vlasic se blesse sur l’action du coup-franc, se blessant derrière le mollet. La plus grosse occasion se passe dans les arrêtes de jeu, avec Perisic qui trouve un Sosa qui déborde à gauche, Vlasic finalement rentré vient couper au premier poteau et dévie du bout du pied mais Bounou dévie, alors que dans l’action juste avant, Amrabat vient accrocher le maillot de Kramaric dans la surface, mais sans conséquence. Modric va adresser une dernière grosse frappe du gauche qui passe de peu au-dessus de la barre de Bounou avant que tout le monde reste au vestiaire. Avec Pasalic qui remplace Vlasic après la pause, on a le Maroc qui s’offre la première banderille à la 50e avec Mazraoui qui va se jeter sur une tête plongeante pour une belle parade de Livakovic, le latéral du Bayern se blessant à la hanche sur l’action. Sur l’action qui suit, la Croatie va s’offrir une énorme action, avec un cafouillage dans la surface marocaine, et un Kramaric au sol qui va tacler un ballon que Bounou va dévier in extremis, le cuir est repris et centré, mais le gardien sévillan va devancer un Gvardiol avec lequel il va se heurter dans les airs. À la 58e minute, Mazraoui ne tient plus, blessé à la hanche depuis son occasion à la 50e, et il est remplacé par Attiat-Allah. À l’heure de jeu, les Croates commencent à durcir le jeu, à l’image d’un Modric qui commet une nouvelle faute à la 64e. Et il faut les poings de Livakovic sur la reprise du coup franc signé Ziyech pour détourner le tir du joueur de Chelsea. Abde Ez, le joueur du Barça prêté à Osasuna remplace Boufal à la 65e minute. Les Croates poussent et il faut le bout du pied d’En-Nesyri à la 68e, puis la tête d’Aguerd à la 71e pour empêcher la bande à Modric de marquer. Le rennais Lovro Majer rentre à la 79e pour Kovacic, alors qu’Amallah fait une main sur un centre. Modric avec un nouveau coup-franc depuis la droite, et Gvardiol saute sur Hakimi. Deux changements marocains pour les dix dernières minutes avec En-Nesyri et Ounahi qui sortent, pour Hamdallah et Sabiri, alors que Perisic est remplacé par Orsic à la 89e. Un dernier coup-franc pour les Vatreni ne changera rien. Malgré de belles intentions, le Maroc ne crée finalement pas la sensation, même s’il a bousculé sérieusement un groupe vice-champion du monde volontaire mais souvent trop imprécis, et dépassé dans le défi physique imposé par les Lions de l’Atlas. AuteurCamouf, @CamilFranciosi, un peu déçu par les coéquipiers de Luka Modric France - Australie : 4-1
Argentine-Arabie Saoudite 1-2 Messi 10e (sp) pour l‘Albiceleste, Al Shehri 48e Al Dawsari 52e pour les Faucons C’est le match d’ouverture du dernier Mondial de Lionel Andres Messi. L’Argentine ouvre sa compétition face à l’Arabie Saoudite, un adversaire qu’il a rencontré 4 fois dans son histoire, entre 1988 et 2012 pour deux victoires argentines et 2 nuls, le dernier datant d’un match amical de 2012 et un match nul 2-2. L’Argentine se présente dans le tournoi qatari dans la peau d’un des principaux favoris, avec le Brésil, se présentant avec une série affolante de 36 matches sans défaite, soit plus de trois ans, composé d’un groupe soudé aux idées de son sélectionneur, l’ancien international Lionel Scaloni. En face, c’est une Arabie saoudite qui se présente comme une des plus faibles du tournoi, dans un groupe qui est composé du Mexique et de la Pologne. L’élément étonnant du côté argentin est d’aligner trois milieux offensifs, avec Messi évidemment, qui sera accompagné de Di Maria et droite et Papu Gomez à gauche, derrière Lautaro Martinez. La défense a été stabilisée avec la confirmation de Cristian Romero, qui tient la charnière avec l’expérimenté Otamendi, et Tagliafico et Molina sur les flancs, et un excellent Emiliano Martinez dans les cages. Et Messi se met en lumière dès la 2e minute, sur un une-deux avec Di Maria aux abords de la surface de la surface saoudienne, la Pulga frappe du gauche, et Al Owais se détend sur sa droite pour détourner le tir de Messi. À la 8e minute, sur un coup de pied arrêté, Paredes est accroché dans la surface saoudienne, et Mr Vincic siffle pénalty. Leo Messi se présente, ouvre son pied et transforme sur la droite d’un Al Owais pris à contre-pied sur sa droite pour son 7e but en Coupe du Monde. Les Saoudiens se projettent quand même par moments dans le camp albiceleste, comme cette frappe à la 17e minute d’Abdulhamid, et après un premier quart d’heure timoré, les faucons s’offrent des phases de possession dans la moitié de terrain adverse, sans pour autant tirer au but. Et alors que Messi pensait s’offrir un doublé à la 22e minute, la Pulga est parti hors-jeu. Quand ce n’est pas Messi c’est Lautaro Martineze à la 27e qui punit les Saoudiens sur une passe laser de Papu Gomez qui vient ajuster un piqué soyeux qui vient mourir dans le petit filet d’Al Owais, mais encore une fois l’Argentine est sanctionnée d’un hors-jeu. L’Arabie Saoudite réagit directement, et obtient un corner à la 29e. Al Dawsari obtient un coup-franc à la 31e, qu’il va tirer dans les gants de Martinez. Lautaro doit faire attention à son positionnement, car il fait trembler les filets une 2e fois à la 35e, mais en étant une nouvelle fois hors-jeu. Salman Al Faraj, le maître à jouer des Faucons est blessé et sort pendant le temps additionnel de la 1ère période. Mohamed Kanno vient claquer un petit pont exquis à Cristian Romero dans les dernières secondes des arrêts de jeu avant qu’on rentre aux vestiaires. Mais à force de jouer les hors-jeu, l’albiceleste va se faire avoir à la 48e minute. Sur un long ballon axial depuis le rond central, Al Shehri qui se débarrasse de Romero voit sa frappe du gauche, le premier tir cadré des Faucons finir à l’intérieur des cages de Martinez pour une égalisation parfaite ! Et à la 52e minute, c’est un bijou venant de la gauche, un tir brossé d Al Dawsari qui vient choper la lucarne opposée ! Quelle folie, après sept minutes en seconde période, l’Argentine est menée ! Un 3e Martinez, Lisandro de l’Ajax, Julian Alvarez et Enzo Fernandez rentrent à l’heure de jeu pour Paredes, Papu Gomez, et Romero. Et quand Tagliafico dévie une frappe à la 63e minute dans les six mètres saoudiens, Al Owais nous gratifie d’une parade au ras du poteau ! Le latéral de l’OL cède sa place à la 71e à Marcos Acuña. L’Argentine hérite d’un coup franc aux vingt mètres à la 79e minute sur la droite, donc pour un gaucher, mais ça passe bien au-dessus des cages d’Al Owais. Di Maria va centrer depuis la droite pour Messi au second poteau mais la tête du parisien est captée par Al Owais. L’Argentine pousse mais n’y arrive pas ! Hervé Renard fait des changements à la 88e, avec Al Amri et Asiri pour Al-Buraikan et Al-Abed. Le temps additionnel est de huit minutes, pour l’histoire pour les hommes d’Hervé Renard ! Alvarez va voir sa frappe repoussée sur la ligne de la tête par Al Amri à la 91e minute ! L’Arabie Saoudite va jouer un corner à la 93e, que les Saoudiens vont jouer à deux. À la 95e minute, Al Owais va coller sur sa sortie un coup de genou à la Toni Schumacher à Al Shahrani, qui va sortir sur civière, Al Burayk entre pour les dernières minutes. L’Argentine pousse dans les dernières minutes du temps additionnel, Alvarez est tout près d’être le héros à la 100e, mais Al Owais s’envole sur sa gauche pour capter le cuir. Et l’Arabie Saoudite d’Hervé Renard fait tomber l’un des favoris de la compétition sur le match d’entrée du groupe B, et glane sa 5e victoire en Coupe du Monde ! L’Argentine voit sa série de 36 matches sans défaite s’arrêter là, à une unité du record italien, et se met d’emblée dans l’embarras. AuteurCamouf, @CamilFranciosi, abasourdi par la rencontre Qatar- Equateur 0-2 Valencia 15e (sp) 32e pour la Tri C’est le premier match de ce Mondial tellement controversé 2022, avec le Qatar qui a construit ce Mondial depuis 2010 et qui va essayer de se mettre en valeur avec ses deux valeurs sûres devant, Akram Afif et Almoez Ali, face à une équipe d’Equateur qui fait office d’outsider dans ce Groupe A, les Tricolores américains qui ont fini 4e du groupe de qualification de la Concacaf, derrière les intouchables Brésil et Argentine, et non loin derrière l’Uruguay. Evidemment le Bundesligist Piero Hincapié sera observé attentivement, alors que Carlos Gruezo du FC Augsbourg et Jackson Porozo de Troyes sont sur le banc pour la Tri, alors que Karim Boudiaf né en France, mais naturalisé qatari va être aligné au milieu de terrain des Bordeaux. On notera que le seul autre Qatar-Equateur, en 2018 a fini sur un 4-3 en faveur des locaux, avec notamment des doublés d’Afif et de Valencia. L’Equateur va vite prendre les choses en main, et ce dès la 4e minute. Sur une mauvaise sortie du portier Al Sheeb, Torres va remettre d’un ciseau acrobatique pour Enner Valencia qui pousse le ballon de la tête, mais le but est annulé pour un hors-jeu. Enner Valencia va encore se signaler à la 15e, lorsque lancé plein axe, il crochète Al Sheeb dans la surface, le goal qatari l’attrape par la jambe, et le buteur de Fenerbahce inscrit son 36e but en sélection depuis les 11 mètres sur la gauche du gardien. Les visiteurs vont accroître l’avance à la 32e minute, sur un centre venu de la droite de Caicedo, Valencia est trouvé au second poteau pour une tête décroisée qui laisse Al Sheeb pantois ! Dans les dernières secondes de la 1ère période, Al Haidos, le capitaine qatari centre depuis l’aile droite pour Ali, mais le buteur des Grenats n’appuie pas assez sa tête pour inquiéter Galindez. Le seul fait notable en seconde période est le tir sur la barre équatorienne de Muntari à la 83e minute, ayant remplacé Ali à la 72e minute, alors que le double buteur Valencia est remplacé à la 77e minute par Cifuentes, coéquipier de Chiellini et Bale au Los Angeles FC. L’Equateur prend ses 3 premiers points dans ce Mondial, face à un Qatar très timoré, les locaux sont les premiers à perdre leur match d’ouverture en tant qu’hôte de la Coupe du Monde et devront trouver des ressources pour ne pas sortir fanny de leur Coupe du Monde. AuteurCamouf, @CamilFranciosi , pour l'instant moyennement amusé par ce premier match du Mondial |
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Décembre 2022
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