L'Inter Milan et le Genoa ont fait un match nul (0-0) vendredi soir, au cours de la 27e journée de Serie A. Malgré une grosse domination, les Nerazzurri ont été incapables de se montrer dangereux, manquant ainsi de réalisme et d'efficacité offensive : seulement quatre frappes cadrées sur les 21 tirs tentés par les joueurs de Simone Inzaghi. Un bien maigre ratio qui leur a fait défaut contre des Rossoblu solides en défense.

​Avec 72% de possession, l'Inter a clairement maîtrisé son adversaire du soir, sans réellement trouver les solutions pour faire plier le mur défensif génois. Hormis la transversale touchée de la tête par Danilo D'Ambrosio (62e) sur le corner frappé à droite par Hakan Calhanoglu, les Intéristes n'ont jamais inquiété les joueurs d'Alexander Blessin, qui enregistrent pourtant qu'une seule victoire en Championnat cette saison. A noter que le Genoa a perdu sur blessure le défenseur Nikola Maksimovic (53e), touché aux adducteurs, puis le jeune milieu Andrea Cambiaso (59e) pour une douleur au genou gauche.

Avec ce match nul, les Milanais ne profitent pas du faux-pas de son rival local face à l'Udinese plus tôt dans la soirée, et restent donc deuxièmes au classement avec un match de retard à jouer contre Bologne. Le Genoa est toujours dix-neuvième à cinq points de Venise, dix-huitième, et ce, malgré deux matches en plus.

L'Inter Milan a manqué l'occasion de repasser devant l'AC Milan en tête de la Serie A après son revers à domicile contre Sassuolo (0-2), dimanche, lors de la 26e journée. Après le faux pas de leur rivaux et voisins samedi chez la Salernitana (2-2), les joueurs de Simone Inzaghi pouvaient redevenir leaders, mais les Nerazzurri sont passés à côté de leur match dimanche.

Rien ne va plus pour l'Inter ! Battus à domicile par Liverpool en Ligue des Champions cette semaine, les hommes de Simone Inzaghi ont concédé une nouvelle défaite à Giuseppe Meazza dimanche après-midi face à une équipe de Sassuolo ultra-réaliste (0-2). Gianluca Scamacca et Giacomo Raspadori ont marqué pour les Neroverdi, 11es de Serie A grâce à ce beau succès.

C'était un duel entre deux formations en difficulté en championnat, et il a tourné à l'avantage de la moins bien classée. Les motifs d'espoir sont bien faibles pour l'Inter en ce moment, incapable de s'imposer en championnat depuis un succès acquis contre Venise il y a un mois.
Dimanche, en début de soirée, devant leurs supporters, les Milanais ont beaucoup tenté (29 tirs) sans jamais réussir à tromper Andrea Consigli. Le portier italien s'est révélé être une muraille impénétrable, simplement battu dans le temps additionnel par une tête de Stefan De Vrij. Le but intériste a été finalement annulé pour une main de Federico Dimarco (90e+5). Le mal avait de toute façon déjà été fait.

A la pause, Sassuolo menait par deux buts d'écart, et il n'y avait pas grand chose à redire sur la performance des hommes d'Alessio Dionisi. Lesquels ont exploité tous les espaces pour frapper fort face à l'équipe de Simone Inzaghi. Hakan Calhanoglu a été terriblement maladroit lorsqu'il a perdu le ballon à 30 mètres de son camp, entraînant l'ouverture du score de Giacomo Raspadori (0-1, 8e).
L'excellente entame des Neroverdi a ensuite mené au but du break de Gianluca Scamacca, dont la tête a laissé pantois Samir Handanovic (0-2, 26e). En face, son homologue a été impérial. Consigli a écœuré les Intéristes : deux belles horizontales face à Milan Skriniar (31e) et Edin Dzeko (64e), puis une autre parade devant le Bosnien (58e).
Sécurisé par son gardien, Sassuolo aurait pu aggraver la marque, mais la frappe enroulée de Domenico Berardi a fracassé la barre transversale (38e). Avec ce troisième match d'affilée sans victoire en Serie A, l'Inter a manqué l'occasion de déloger son rival l'AC Milan de la tête du championnat. Les joueurs d'Inzaghi accusent toutefois un match de retard.

​

​PETIT DEBRIEF NOCTURNE DU CHOC ENTRE NAPLES ET L'INTER MILAN COMPTANT POUR LA 25EME JOURNEE DE SERIE A

​ENJOY

Il est rare que je fasse un focus sur un joueur en particulier. Mais sur les joueurs de la nouvelle génération, il est de ceux qui ont ma préférence. 

Petit focus bien mérité sur le prince de Cagliari devenu Roi d'Italie en l'espace de deux saisons.