Sampdoria Gênes – Juventus Turin 0-2 Chiesa 20e, Ramsey 91e pour la Juve La Juve toujours à l’affut, pour son opération remontée vers les sommets, malgré le fait qu’elle soit toujours dans le top 5. Des bianconeri et le meilleur buteur du championnat Ronaldo qui se déplacent sur la pelouse d’un Sampdoria dixième, et qui n’a préservé sa cage inviolée qu’une fois à domicile cette saison. Et la première grosse action est une collision entre Bereszynski et Chiesa à la 17e minute. L’international italien va rentrer quelques instants plus tard, et va se retrouver à la conclusion d’un beau mouvement initié par un un-deux entre Ronaldo et Morata, l’espagnol se trouvant sur la droite de la surface, et servant l’italien à ras du sol au second poteau, qui n’a plus qu’à conclure au pied du poteau. À la 36e minute, Bentancur crochète Keita Baldé, et l’uruguayen écope d’un carton jaune, et manquera le prochain match de championnat, pour un nombre de cartons accumulés trop grand. Les blucerchiati ne sont pas en reste au niveau avertissements avec trois cartons récoltés sur le premier acte. À la 38e minute, la Juve manque de reprendre l’avantage quand Chiesa surgit de son flanc gauche pour trouver Ronaldo, mais le tir du portugais est claqué au-dessus de la barre d’Audero. À la 41e minute, Ronaldo encore lui va chercher la profondeur plein axe, et entre dans la surface pour aller défier Audero, mais il est repris in extremis d’un superbe tacle par le japonais Yoshida. Et à la pause, les turinois rentrent à la pause en menant face à des génois peu inspirés offensivement, et fébriles derrière. À la reprise, c’est un contact qui oblige le corps arbitral à arrêter le jeu, lorsque Cuadrado et Augello font un duel aérien à la 48e minute, dont le défenseur de la Samp ressortira avec un gros bandage à la tête à la Chiellini. Augello qui va offrir à la 54e minute un superbe centre de la gauche pour Quagliarella au premier poteau, dont la frappe en première intention est déviée in extremis par Chiellini. À la 55e minute, Bonucci adresse une excellente passe de 40 mètres pour Morata, qui va tromper Audero, mais l’espagnol est hors-jeu au départ du ballon, et le but est donc refusé. Quagliarella est encore mis en orbite à la56e minute, mais l’occasion du vétéran de la Samp est déviée en corner. Andrea Pirlo va faire sortir Bentancur, avant qu’il se fasse sortir par l’arbitre, il laisse sa place à la 74e minute à Adrien Rabiot. Et alors que Gênes pousse dans les dernières minutes, c’est la Vecchia Signora qui va plier le suspense à la 91e minute. Sur une excellente transversale de Sandro depuis le flanc gauche, Cuadrado va être trouvé à l’opposé. Le Colombien contrôle avant de servir Ramsey sur la gauche de la surface, et le gallois marque face au but vide. La Juventus est du coup dans le top 3 avec ces trois points supplémentaires, et pourrait être à deux points seulement du dauphin l’Inter en cas de contre-performance intériste ce samedi soir. La Sampdoria stagne elle à une quelconque 10e place. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A
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Juventus Turin- FC Bologna 2-0 Arthur 15e, McKennie 70e pour la Juve La Juventus ne pouvait pas se laisser distancer une fois de plus par les milanais ainsi que par la Roma, au moment d’affronter à l’heure du repas un Bologne qui végète dans le ventre mou du classement. Et les bianconeri, en bleu foncé ce dimanche ont ouvert le score rapidement. Au quart d’heure de jeu, Cristiano Ronaldo porte le ballon sur le flanc gauche, avant de remiser sur Arthur dans l’axe, à une trentaine de mètres des cages bolognaises. Le brésilien contrôle et frappe du droit, sa tentative est quelque peu déviée, mais l’ancien du Barça inscrit là son premier but avec le club turinois. Des turinois qui manquent de doubler la mise sur une double occasion CR7-Bernardeschi, mais Skorupski est vigilant sur les deux tirs. La seule occasion notable du premier acte pour Bologne est à la 40e minute, sur un tir du droit de Soriano aux vingt mètres, mais ça passe à un demi-mètre sur la gauche de Szczesny. Bologne est tout près d’égaliser dès l’entame du second acte, quand Cuadrado dévie vers ses cages un centre de Schouten, mais le goal polonais de la Vieille Dame nous sort un arrêt réflexe. Orsolini donne également à la 55e minute l’occasion à Szczesny de briller, le polonais s’étirant sur sa droite pour détourner l’enroulé du gauche de l’international italien. Et à vingt minutes du terme, sur un corner de la droite tiré par Cuadrado, c’est McKennie qui vient couper de la tête au premier poteau pour creuser l’écart pour les bianconeri. Ronaldo va tenter à dix minutes de la fin du gauche aux vingt mètres d’ajouter son nom au tableau d’affichage, mais en vain. Avec ce dixième succès de la saison, la Juve se maintient dans le top 4, toujours à 7 points du Milan, avec le match en retard face à Naples à jouer. Bologne pointe à une morne 13e place. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Juventus Turin-CFC Genoa 3-2 Kulusevski 2e, Morata 23e, Rafia 104e pour la Juventus, Czyborra 27e , Melegoni 74e pour le Genoa La Juventus essaye de rester sur la pente ascendante de ces derniers matchs, face à un Genoa qui joue sa dernière cartouche pour sauver sa saison. C’est une Juventus avec quelques visages peu connus qui reçoit les Rossoblu sur sa pelouse, avec le défenseur roumain Dragusin, l’ailier italien Portanova et le latéral brésilien Wesley qui joue son premier match avec l’équipe première. Mais même avec ces nouvelles têtes, la Juve dispose encore dans son onze de départ des talents bruts, qui peuvent faire la différence à tout moment. Et c’est dès la 2e minute que Dejan Kulusevski ouvre le score pour les bianconeri. À la 5e minute, Morata aurait presque pu bénéficier d’un pénalty car il est fauché dans la surface génoise, mais monsieur l’arbitre décide que son adversaire touche le ballon avant de le descendre. Kulusevski est près de s’offrir un doublé à la 12e minute mais Paleari se jette bien sur sa droite pour sortir la tentative du suédois. Mais le suédois se mue en passeur décisif à la 23e minute, en déviant dans l’axe en une touche de balle du gauche pour Alvaro Morata. L’espagnol contrôle, s’embarque le ballon, avant d conclure de près du gauche. Rodrigo Bentancur prend son carton habituel dès la 25e minute, sur quoi ? Bin pour changer, sur un tacle trop appuyé, évidemment ! Mais le Genoa ne se laisse pas faire, et à la 27e sur un bon centre venu de la droite de Goldanigga, c’est l’allemand Czyborra qui réduit le score en se jetant et en reprenant d’une tête plongeante que Buffon ne peut qu’effleurer. À la 30 minute, Kulusevski, décidément l’homme de ce début de match a encore une opportunité sur son côté gauche, mais la frappe aux abords des six mètres est stoppée par Paleari. Arthur croit ouvrir son compteur but pour la Juventus à la 32e minute lorsqu’il reprend une frappe repoussé de Kulusevski, mais sur le début de l’action, Alvaro Morata est hors-jeu sur une première frappe du suédois. Les génois durcissent le jeu en fin de première période et les cartons sortent, que ce soit Dumbravanu à la 29e minute, ou Ghiglione à la 41e. Les bianconeri pensent aggraver le score à la 44e minute, quand Portanova pense inscrire son premier but avec les pros sur un bon service de Morata, mais le jeune ailier part trop vite et est signalé hors-jeu. Et les Turinois rentrent au vestiaire avec un but d’avance. Au retour des vestiaires, Bentancur, déjà averti en première mi-temps laisse sa place à Adrien Rabiot. Pjaca manque de faire le coup du joueur qui marque contre son ex-club, et d’égaliser pour le Genoa à la 52 minute, suite à un ballon récupéré dans les pieds de Rabiot, mais sa frappe heurte la transversale d’un Buffon archi-battu pour le coup. Danilo et Bonucci rentrent à la 65e minute pour Demiral et Chiellini, qui était de nouveau titulaire ce soir. Et le Genoa va égaliser à la 74e minute, Ghiglione va centrer de la droite pour Melegoni qui va enrouler à l’entrée de la surface du pied droit pour chercher la lucarne opposée, imparable pour Buffon ! Pirlo réagit dans la foulée avec la sortie de Portanova à la 76e minute, cédant sa place à Hama Rafia, le joueur formé à Lyon jouant son premier match avec l’équipe première. Et finalement le 5e changement pour la Juve intervient à la 87e minute quand Wesley est remplacé par Ronaldo. Et comme les équipes n’arrivent pas à se départager en 90 minutes, ils doivent passer par la case prolongation. Adrien Rabiot est sur le point de redonner l’avantage à la 96e minute, à la suite d’un cafouillage dans la défense des visiteurs, mais l’international français ne peut rabattre la balle dans les cages de Paleari. Les bianconeri poussent, et enchaînent les corners mais n’arrivent pas à inscrire ce troisième but qui les remettrait en position favorable. Mais la situation se débloque à la 104e, quand Morata trouve Rafia entre le point de pénalty et les six mètres. L’international tunisien tente une première frappe du gauche totalement loupée, mais le ballon lui reste dans les pieds, et retente du droit, cette fois victorieusement pour donner l'avantage à la Juve et inscrire son premier but avec l'équipe première de la Juventus. Mais la Vieille Dame a décidé de jouer avec le feu, et à la 107e minute, Arthur sauve sur sa ligne un coup de casque génois. À la 110e minute, Kulusevski se présente seul face à Paleari mais le suédois frappe en force sur le gardien. Mais c’est sur ce score et ce petit avantage que les hommes de Pirlo se qualifient pour le tour suivant. Espérons pour eux que cette prolongation ne pèsera pas trop dans les jambes au moment d’ affronter l’Inter ce weekend. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Juventus Turin- US Sassuolo 3-1 Danilo 50e, Ramsey 81e, Ronaldo 91e pour la Juve, Defrel 58e pour Sassuolo La Juve doit continuer sur la belle performance de cette semaine face au Milan, et ceci pour une bonne raison : l’adversaire du soir est sur ses talons, la Juventus étant 6e à un point de leurs visiteurs du jour. Les Neroverdi ont certes un match de plus que les Bianconeri de Pirlo, mais s’ils venaient à s’imposer, ils passeraient devant leur adversaire du soir. Et dès les premières secondes, Sassuolo met la défense de la Juve sous pression. Sur un long ballon en profondeur, Traoré va percuter sur le flanc gauche, son centre-tir est repoussé par Szczesny, le ballon revient dans les pieds de Djuricic dont la frappe est contrée par la tête de Demiral. La première grosse occase pour les bianconeri se trouve à la e minute. Bentancur aux abords du rond central trouve McKennie aux mètres dans l’axe d’une balle lobé. L’américain enchaîne contrôle aérien- talonnade pour Frabotta derrière lui sur le côté gauche, et le latéral frappe instantanément de l’extérieur du droit, mais ça frôle les montants de Consigli. Bonucci écope du premier carton jaune à la 12e, lorsqu’il attrape Caputo par le maillot à une trentaine de mètres de ses cages. Ferrari va y aller trop franchement à la 16e minute. McKennie est apparemment touché physiquement, et est remplacé dès la 18e minute par Aaron Ramsey. À la 25e minute, Bonucci fait admirer son jeu long en trouvant Ronaldo sur une ouverture de 50 mètres, mais le portugais est rattrapé par la défense de Sassuolo. À la 34e minute, Bentancur fait un tacle beaucoup trop appuyé, embarquant la cheville gauche de Djuricic au passage, et l’uruguayen prend à son tour un avertissement. À la 38e minute, c’est Dybala qui grimace et semble s’être fait mal sur un contact avec Traoré, il sort du terrain. Sur l’action qui suit, Ramsey frappe de loin mais ça passe à côté. À cinq minutes de la fin, un deuxième changement sur blessure pour la Juve, Dybala cédant sa place à Dejan Kulusevski. La fin de première mi-temps est assez hachée, comme la cheville de Chiesa sur un gros tacle d’Obiang à la 43e minute. Le guinéen avait d’abord opté pour un jaune, mais après vérification de la VAR, il est expulsé. La Vieille Dame est d’ailleurs à deux doigts d’ouvrir le score dans les arrêts de jeu, quand la défense turinoise monte aux avant-postes, et Bonucci talonne pour Demiral, mis la frappe du gauche du turc est déviée par Consigli, et Ronaldo ne peut rabattre le ballon. Et toute à la fin du temps additionnel, Ramsey oblige Consigli à sortir sur la droite de ses buts. Le gallois remet en retrait pour Kulusevski qui manque totalement son tir, et l’envoie de peu au-dessus des cages vides des visiteurs. Rabiot rentre à la pause à la place de Bentancur, et Pirlo a déjà fait 3 changements en début de seconde période. Et la Juventus va ouvrir le score à la 50e minute. Sur une frappe contrée dans l’axe, le cuir revient sur la droite sur Danilo. Le portugais à une bonne vingtaine de mètres croise parfaitement sa frappe pour aller chercher le petit filet opposé. Defrel essaie de sonner la révolte à la 53e minute, mais sa frappe du gauche atterrit directement dans la niche de Szczesny. Mais finalement c’est à la 58e minute que le français va récupérer une bonne passe de Muldur pour contrôler et ajuster le gardien polonais de la Juve d’une belle frappe du droit. À la 65e minute, sur une longue ouverture de Ramsey, Ronaldo est à deux doigts de tromper Consigli mais le portier italien lui barre la route de façon peu académique. Sur l’action qui suit, Kulusevski perfore le côté droit de la défense des Neroverdi avant de glisser la gonfle à Chiesa, qui enchaîne contrôle-frappe du gauche, et le tir de l’ailier turinois touche l’extérieur du poteau sur la gauche de Sassuolo. Rabiot va tenter de redonner l’avantage à la Juve de la tête à la 69e minute, mais ça passe au-dessus. Frabotta va accrocher Muldur à la 70e minute et écoper d’une biscotte à son tour. Cristiano Ronaldo va manquer à son tour le 2-1 à la 73e minute, lorsqu’il est servi par Kulusevski, mais il bute sur Consigli à hauteur du point de pénalty. Mais à 9 minutes du terme, Frabotta est superbement décalé sur le flanc gauche par Rabiot, le jeune latéral centre à ras de terre au second poteau pour Ramsey qui est présent aux six mètres pour inscrire du droit son premier pion de la saison. C’est le 12e but des juventini dans le dernier quart d’heure. Oddei va s’offrir une belle percée côté droit, avant de rentrer dans l’axe et frapper du gauche, mais sa frappe est captée sans difficultés par Szczesny. Et la Vecchia Signora va définitivement assurer son succès dans les dernières secondes, avec un long ballon de Danilo pour Ronaldo, qui contrôle avant d’aller tromper Consigli du pied droit. Avec cette victoire, la Juve fait la passe de trois pour la première fois de la saison, prend ses distances avec son adversaire du soir, et s’empare de la quatrième place, à un point de la Roma, et surtout à quatre du deuxième, l’Inter qui sera le prochain adversaire en championnat des hommes de Pirlo. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Milan AC- Juventus Turin 1-3 Calabria 41e pour le Milan , Chiesa 18e, 62e , McKennie 76e pour la Juventus C’est déjà LA dernière chance pour les bianconeri de garder leur Scudetto et de faire les 10titres d’affilée. Avec dix points de retard (et un match de retard, la rencontre contre Naples de la phase aller), c’est la dernière possibilité pour les coéquipiers de Cristiano Ronaldo de revenir à sept points du leader rossonero, dernière équipe invaincue en Europe, et qui reste sur 27 matches sans défaite. Les locaux jouent ce match sans la présence primordiale d’Ibrahimovic, mais également du responsable de la salle des machines du milieu de terrain l’algérien Bennacer, plus d’autres seconds couteaux (Saelemakers, Tonali, Gabbia, Rebic, Krunic), tandis que les piémontais se présentent à San Siro sans leurs deux latéraux titulaires Cuadrado et Alex Sandro, ainsi que l’attaquant espagnol Alvaro Morata. La première occasion est à mettre au crédit de Dybala qui reprend un bon centre de Frabotta, mais la frappe de l’attaquant argentin manque de puissance et de précision pour inquiéter Gigio Donnarumma. Le francese du Milan Theo Hernandez se met en vue dès la 4e minute, avec un gros tampon sur Federico Chiesa. Et la première grosse occasion pour les Rossoneri arrive à la 6e minute, où Bentancur arrive à perdre deux fois le ballon sur la même action, et Castillejo hérite du ballon aux abords des six mètres, sur une récupération de Calhanoglu, mais Szczesny veille au grain. Au quart d’heure de jeu, Chiesa hérite du ballon suite à un cafouillage sur un corner, mais la tentative amorti poitrine-demi volée du droit de l’international italien heurte violemment le poteau gauche de Donnarumma. Et à la 18e minute, c’est encore Chiesa qui va s’offrir un déboulé sur l’aile droite, il rentre dans l’axe, s’appuie sur Dybala, qui lui remet à l’entrée de le surface d’une superbe talonnade. L’ancien de la Fio conclut d’une belle frappe croisée du droit. Les milanais sont tout proches d’égaliser à la 21e minute, quand Leão élimine Frabotta d’une feinte de frappe pied droit où il rentre à l’intérieur, mais la frappe de l’ex-lillois frôle l’extérieur du poteau gauche du gardien turinois. Leão qui se signale à nouveau à la 26e minute sur une grosse frappe du gauche aux abords des 6 mètres sur la droite de Szczesny, mais le polonais est attentif sur sa ligne. Le gardien polonais se signale à nouveau à la 35e sur une double occasion, d’abord une frappe de Leão déviée par Ramsey, puis une seconde de Calhanoglu bien captée par l’ex-gardien de la Roma. Et à force de pousser, les milanais finissent par égaliser à la 41e minute. Sur une contre-attaque magnifiquement emmenée par Leão, le portugais décale Calabria sur la droite aux 20 mètres, dont la frappe du droit va finir dans la lucarne gauche du turinois. Le début de la seconde période est assez haché, avec beaucoup de fautes dans l’entrejeu de part et d’autre. Et à la 62e minute, Dybala adresse une passe transversale de 20 mètres à Chiesa sur l’aile droite. L’international italien rentre sur son pied gauche avant d’enrouler intérieur pied gauche et de trouver le petit filet opposé. Il se blesse d’ailleurs en fêtant son but, et devra céder sa place à Kulusevski. Dybala sort en même temps pour laisser sa place à McKennie. À la 66e minute, Kulusevski accélère côté gauche, pénètre dans la surface avant de centrer à ras du sol, c’est dévie par Romagnoli, mais Donnarumma fait parler ses réflexes sur sa ligne. Milan va faire un changement dans la foulée avec Hauge remplacé par Diaz. À 20 minutes de la fin, Cristiano Ronaldo accélère sur le flanc gauche, avant de trouver McKennie d’un amour de balle lobée. L’américain contrôle puis frappe du gauche, mais Donnarumma veille au grain. Bentancur, déjà averti et Ramsey sont remplacés par Bernardeschi et Arthur à la 73e minute. Et à la 76e minute, Adrien Rabiot remonte le ballon, avant de décaler Kulusevski. Le suédois accélère, perfore sur le flanc droit, pour servir McKennie au point de pénalty. Le joueur prêté par Schalke conclut de près du droit pour accroître l’avantage des turinois. Les milanais font un triple changement à la 79e minute. Kjaer, Dalot et Calabria sortent, Kalulu, Daniel Maldini et Conti rentrent. Calhanoglu va tenter une frappe plein axe aux 20 mètres à la 83e minute, mais c’est capté tranquillement par Szczesny. Demiral remplace Frabotta à la 86e minute, et Colombo prend la place de Castillejo. Dans les arrêts de jeu, Rabiot déséquilibre Diaz dans la surface, mais l’arbitre estime qu’il n’y a pas faute sur l’espagnol, et n’accorde pas pénalty au Milan. Avec cette victoire (et le match face à Naples à jouer), les Bianconeri reviennent à sept points d’un Milan qui perd sa série d’invincibilité mais reste leader, mais est plus que jamais sous la menace du voisin intériste. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Juventus Turin – Udinese Calcio 4-1 Ronaldo 31e, 70e , Chiesa 49e, Dybala 93e pour la Juventus, Zeegelaar 90e pour l‘Udinese C’est une Juventus fatiguée, et seulement 7e du championnat qui recevait l’Udinese pour le premier match de l’année 2021 et un « bianconerico » qui pouvait s’annoncer plus disputé que prévu. Les Frioulans ne sont pas plus fringants que leurs hôtes du soir, avec aucune victoire sur les 3 derniers matches, mais avec un éventuel avantage psychologique suite à leur victoire en juillet dernier lors de la dernière rencontre entre les deux clubs, s’imposant 2-1, avec des réalisations de De Ligt pour la Juve, et Nestorovski et Fofana dans les arrêts de jeu pour l Udinese. On déplore les absences de Chiellini et de Morata, l’espagnol s’étant blessé musculairement au matin du match. Du côté des visiteurs, on notera la présence du français De Maio en défense centrale, et celle de l’inusable capitaine argentin au milieu Rodrigo De Paul. Et c’est d’ailleurs le meneur de l’Udinese qui croit ouvrir le score à la 10e minute, il cherche et trouve d’abord Lasagna sur le flanc droit, l’international italien contrôle et centre à ras du sol en retrait pour son capitaine qui conclut de près au premier poteau. Le but est cependant refusé car sur le départ de l’action De Paul s’embarque la gonfle de la main. Et finalement, un peu contre le cours du jeu en ce début de match, c’est la Juventus qui finalement prend les choses en main à la 30e minute. Sur une touche sur l’aile gauche, Aaron Ramsey récupère le ballon dans les pieds de De Paul, et le transmet à Ronaldo. Le Portugais accélère, perfore dans la surface avant d’enrouler une frappe du droit petit filet opposé, pour inscrire son 13e but de la saison. C’est avec ce court avantage que les hommes de Pirlo rentrent aux vestiaires, s’étant réveillés après un début de match très poussif. Et c’est encore la Juventus qui reprend le mieux au retour des vestiaires, avec un second but à la 49e minute. Cristiano Ronaldo est servi par Sandro aux 30 mètres adverses, le portugais sert Chiesa d’un extérieur pied droit qui s’en va tromper Musso du gauche. Et à la 52e minute, Les bianconeri de Turin pense même clouer définitivement le bec des bianconeri frioulans. Ramsey bien servi par Ronaldo s’en va défier Musso, c’est contré par le portier des visiteurs, Ramsey tacle pour reprendre le ballon, le récupère avant de marquer du pied droit dans le but vide, mais son but est refusé car il touche le ballon du bras sur son tacle face au goal. Les visiteurs manquent de revenir au score d’ailleurs à la 57e minute, lorsque le centre de la gauche de Samir trouve la tête de Stryger Larsen, mais la tentative décroisée du danois ne trouve que la barre de Szczesny. La Vieille Dame va finalement planter son troisième but à vingt minutes du terme, lorsque Bentancur va intercepter le ballon aux abords du rond central pour envoyer Ronaldo sur orbite. L’ex-madrilène conclut en deux touches de l’intérieur du gauche dans le petit filet en laissant Musso pantois. L’Udinese est peu vernie dans cette seconde période, avec Samir à la 72eminute qui crochète Bonucci sur la gauche avant d’envoyer une sacoche du droit qui s’écrase violemment sur la transversale du gardien de la Juventus. On notera le retour du Capitaine, Giorgio Chiellini à 10 minutes de la fin du match, remplaçant Bonucci, le titulaire du brassard absent depuis le 27 septembre qui va probablement rassurer par sa présence et son goût du duel. L’Udinese sauvera l’honneur à la 90e minute, par Zeegelaar qui reprend une frappe de Nestorovski repoussée par Szczesny. Mais la Juventus va avoir le mot de la fin lorsque Dybala va marquer du pied droit en première intention dans les dernières secondes du match sur une passe en profondeur de Danilo qui surprend la défense frioulane. Avec cette victoire, la Juventus remonte en 5e position à 10 points du leader milanais, avec un match en moins et un choc à jouer mercredi contre l’AC Milan, tandis que l’Udinese reste engluée à la 13e place. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A |
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Décembre 2024
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