Hellas Vérone- Juventus Turin 1-1 Ronaldo 49e pour la Juve, Barak 77e pour Vérone La Juve joue contre une équipe qui n’a pas perdu contre les Bianconeri sur les deux dernières confrontations (match nul à l’aller, victoire 2-1 la saison dernière) et un coach qui a trouvé deux fois en quatre ans la clé pour vaincre la Juve, en 2017à Marassi avec le Genoa, et l’an dernier donc. Sur un centre venant de la droite à la 10e minute, Faraoni est à deux doigts d’ouvrir le score mais Szczesny dévie sur son poteau. Chiesa riposte à la 13e que Silvestri dévie en se détendant. Ramsey prend un jaune à la 17e minute pour une petite bousculade avec un joueur de l’Hellas. De Ligt récupère à son tour un jaune à la 32e en collant des coups en sautant. À la 35e minute, Chiesa tente un centre de son côté droit, le ballon est dévié et ça arrive dans les bras de Silvestri. Et faute de grosses occasions, le score reste nul et vierge. Mais la Juve va vite débloquer la situation en début d seconde période. Sur un ballon en profondeur à la 49e, Chiesa se trouve à hauteur du point d pénalty sur la gauche de la surface de Vérone. L’ailier italien remet en retrait pour Ronaldo qui ajuste le gardien adverse d’un tir du droit croisé petit filet opposé. Et à la 59e minute, sur un bon débordement de Kulusevski le long de la ligne de but, le suédois trouve Ramsey en retrait mais la frappe du gallois qui partait en lucarne est déviée par une tête. Mais la Vieille Dame n’arrive pas à inscrire ce deuxième but qui lui assurerait une fin de match tranquille et l’Hellas veut continuer sa belle série contre les champions en titre et à la 77e minute, c’est Barak qui est trouvé sur un centre venant de la gauche, et le tchèque ajuste sa tête pour prendre Szczesny et la défense turinoise à revers. Le goal polonais doit même s’employer à la 84e minute pour empêcher Vérone de prendre l’avantage. Même quand la Juve obtient un coup-franc à la 89e, ça part dans le mur. Et avec ces nouveaux deux points perdus, la Juventus s’éloigne encore un peu plus du 10e titre consécutif et restent à trois points du deuxième, le Milan AC qui joue demain soir, alors que l’Hellas reste à la 9e place. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A
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Juventus Turin- Crotone 3-0 Ronaldo 39e, 46e, McKennie 66e pour la Juve La Juventus recevait ce lundi la lanterne rouge Crotone, pour ne pas se laisser distancer par le quatuor de tête avec ce dernier match de la 23e journée, et pour se relancer après la défaite face au Napoli. Les visiteurs jouent vite et bien sur les dix premières minutes, mais n’arrivent pas à inquiéter concrètement Gigi Buffon une fois qu’ils s’approchent des cages du vétéran bianconero. La première semi-occasion pour les locaux est une frappe de Kulusevski complètement dévissée à la 10e minute, Ramsey n’est pas plus en réussite sept minutes plus tard. Le gallois va écoper d’un jaune deux minutes plus tard. La Vecchia Signora s’offre un coup-franc à la 25e minute à 20 mètres plein axe mais Ronaldo frappe fort dans le mur, Crotone part en contre via le couloir droit et Adam Ounas, mais l’ancien bordelais ne trouve personne sur son centre en retrait sinon Buffon. À la 27e minute, Bentancur trouve Chiesa sur le flanc droit, l’ailier italien déborde puis centre à ras de terre pour Ronaldo au second poteau, mais le portugais seul aux six mètres loupe sa tentative qui finit un mètre à côté du but. De Ligt n’est pas plus en réussite à la 32e minute. Et quand les juventini arrivent à se coordonner, c’est la barre qui repousse l’ouverture du score à la 37e sur une tête de Ramsey. Mais c’est à la 39e minute qu’Alex Sandro trouve la tête de Ronaldo pour tromper Cordaz. Et comme d’habitude cette saison, quand la Juve marque, on fait appel à la VAR. Mais au bout d’une minute trente d’attente, le but est validé. Chiesa va tenter une frappe à la 44e minute sur un énième débordement, mais sa frappe est trop forcée et ne trouve pas le cadre. T CR7 va rééditer l’exploit, dans le temps additionnel de la première mi-temps, d’abord sur un frappe de loin, repoussée par Cordaz, le cuir est récupéré par Ramsey côté gauche qui centre pour un Ronaldo qui vient smasher une tête sur la gauche de Cordaz. Le quintuple ballon d’or manque même une minute après d’inscrire un triplé en taclant sur un énième ballon venant du flanc gauche, mais la frappe du pied droit fuit le cadre de peu. La première action du second acte est à la 50e minute. Sur un tacle en retard, Danilo écope d’un carton jaune, et il sera suspendu lors du prochain match face à l’Hellas Verone. Marrone va lui également prendre sa biscotte la minute suivante, en accrochant par le maillot un Kulusevski filant comme une anguille le long de la ligne de sortie de but. Danilo frappe au-dessus à la 58e minute, et CR7se fait déséquilibrer du bras dans la surface à la 62e minute, mais là, monsieur Marini ne consulte pas la VAR. Sur un corner de Chiesa tiré de la gauche, De Ligt reprend de la tête, c’est contré mais ça revient sur Weston McKennie qui enchaîne contrôle poitrine-frappe du gauche qui fait trembler les filets de Cordaz pour la troisième fois de la partie et pour la quatrième fois de la saison. À la 70e minute, Bentancur cède (enfin ?) sa place au jeune Nicolò Fagioli qui fait ses premiers pas en Serie A, lui qui avait joué en Coppa Italia face à la SPAL. À un quart d’heure de la fin du match, sur une mésentente de Crotone, et Ronaldo et Chiesa se retrouvent face au but mais aucun des deux ne trouve le cadre. La Juventus se retrouve 3e avec ce bon succès, passant devant la Roma, et revenant à quatre points du Milan et à huit de l’Inter, Crotone reste bon dernier. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Napoli SSC –Juventus Turin 1-0 Insigne 31e pour Naples Drôle de situation dans ce stade Diego Armando Maradona, où le match retour entre la Juventus, toujours championne en titre, et le Napoli se joue avant le match aller, la faute à des conditions sanitaires ayant obligé les napolitains à ne pas se déplacer à Turin lors de la phase aller. Sur le plan comptable, la Juve peut rester à quatre points du leader milaniste et à deux points de l’Inter. Les hôtes du jour jouent pour revenir dans le top 4, et prendre au moins provisoirement la quatrième place à l’AS Rome. Les premières banderilles signées Ronaldo et Bernardeschi ne donnent rien (faut-il encore s’étonner d’un loupé du numéro 33 turinois ?) Le match se débloque à la 31e minute sur un coup de pied arrêté d’Insigne côté gauche, quand Chiellini met sa main dans le visage de Rrahmani. Monsieur Doveri va consulter la VAR et accorde le pénalty au Napoli, et Insigne va le transformer pour ouvrir le score. À la 34e minute, Cuadrado adresse un bon centre dans la boîte pour Ronaldo, mais le Portugais est devancé par Meret qui dégage des deux poings avant d’aller à la collision avec CR7 dans les airs. Et la situation en reste là à la mi-temps, avec un Napoli qui mène après avoir couru après le ballon pendant une demi-heure et une Juventus menée au score sur une erreur idiote après avoir eu le match en main. Alex Sandro rentre à la mi-temps, à la place de Cuadrado, Danilo passant à gauche. La Juve essaie de revenir dès la reprise, mais la frappe de Ronaldo passe de peu sur la gauche des cages de Meret. Et une minute plus tard, sur un corner, Ronaldo hérite du ballon au point de pénalty, mais la demi-volée du gauche du portugais part droit dans les bras du portier italien. CR7 tente par tous les moyens en début de second acte, comme l’atteste ce coup-franc à la 51e minute, mais le coup de pied arrêté de l’ex-madrilène passe au-dessus. À la 61e minute, sur un corner venu de la gauche, De Ligt dévie pour Chiellini qui remet de la tête pour Morata, l’espagnol trompe Meret du droit, mais et Chiellini et Morata étaient hors-jeu. À la 72e minute, Kulusevski entre à la place de Bentancur, qui une fois n’est pas coutume n’était pas catastrophique. Les bianconeri poussent mai ne sont pas précis dans leurs incursions, et tombent systématiquement sur des napolitains bien organisés derrière. Et quand ça passe, Meret s’interpose, comme sur cette frappe en pivot de Morata à cinq minutes du terme. Et les Partenopei s’imposent sur la plus petite des marges. La Juve voit les deux équipes milanaises s’éloigner un peu plus, tandis que Naples revient à deux points de son adversaire du soir. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Juventus Turin- AS Roma 2-0 Ronaldo 13e, Ibanez 69e (csc) pour la Juve Le 3e contre le 4e, avec un Mkhitaryan près du double double (9 buts et 8 passes dé) et un Veretout qui devient incontournable de cette Roma (7 buts et 2 assists), la 3e meilleure attaque (44 buts) contre la meilleure défense (18 buts en 19 matches), sans compter la présence de l’extraterrestre (un peu moins extra quand même) meilleur buteur du championnat Cristiano Ronaldo avec 15 buts, et surtout, la ligne de mire qui est la doublette milanaise occupant les deux premières places. C’est le tableau qui s’affiche lors de ce match important en haut du tableau, pour cette Juventus qui a retrouvé son football au moment de retrouver une Louve qui est certes un point devant elle au classement mais qui ne s’est pas imposé une seule fois lors des rencontres du match aller face aux autres équipes du Big 6, malgré un match nul 2-2 au Stadio Olimpico. Et malgré une Roma dominante depuis le début de match, c’est les bianconeri qui ouvrent le score à la 13e minute. Sur une récupération côté gauche de Sandro, le brésilien accélère pour aller trouver Morata aux abords de la surface. L’espagnol contrôle en pivot pour remettre sur Cristiano Ronaldo. Le Portugais frappe en première intention pour marquer son 16e but de la saison. Et CR7 manque de doubler la mise à la 22e minute, encore une fois bien décalé par Morata, mais le tir du quintuple ballon d’or ne trouve que la barre de Lopez. Et c’est avec un but d’écart que les deux formations rentrent aux vestiaires. Et les juventini ne lâchent pas la pression en début de seconde période, mais sans parvenir à tromper Lopez une deuxième fois, à l’image de la frappe de Morata à la 56e minute qui passe à côté. La Roma se réveille à l’heure de jeu, mais les tentatives des Giallorossi sont toujours contrées, que ce soit par les défenseurs, ou par des arrêts de Szczesny. Mais cette Juve est clinique, et ce sont les entrants Kulusevski et Cuadrado qui font la différence à vingt minutes de la fin, le suédois obligeant Ibanez à dévier dans son propre but. Les Giallorossi parviennent par bribes à accéder à la surface turinoise, mais les centres et les passes des romains passent systématiquement devant les cages de la Juve sans en trouver le chemin. Avec ce succès, la Vecchia Signora retrouve le podium, et enchaîne un troisième clean sheet, chose encore jamais arrivée sous l’égide d’Andrea Pirlo, ils sont également à 5 points du leader milanais. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A |
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Décembre 2024
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