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La bande à Dédé

14/7/2020

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En ce jour de fête nationale, et un jour avant les deux ans de la finale de Coupe du Monde 2018, j'ai envie de faire du cocorico. Mais au lieu de verser dans le pathos, voyons plutôt en quelques lignes où en sont les héros de 2018,de Kyky à Hugo , en passant par Adil et Alphonse.
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Hugo Lloris
Le capitaine des Bleus est toujours là, inamovible en sélection comme en club, il est le dernier rempart des Spurs de Tottenham, avec qui il a disputé l'an dernier la finale de la Ligue des Champions, et dont il garde à nouveau les cages après s'être gravement blessé au coude en octobre 2019. 
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Benjamin Pavard
Celui qui est devenu "celui qui sort de nulle part une frappe de batard" évoluait à Stuttgart à l'époque. Il a été transféré depuis au Bayern Munich en 2019 pour 35 millions d'euros, où il commence à retrouver un très bon niveau après des débuts en demi-teinte du côté de la Säbenerstrasse.
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Presnel Kimpembe
Le Maestro de l'équipe de France vient de prolonger avec son club formateur, le Paris Saint-Germain jusqu'en 2024. Il aura fort à faire dans la capitale avec le départ de Thiago Silva. 
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Raphael Varane
L'ex-lensois est un des tauliers de Didier Deschamps en Equipe de France et avec Zidane au Real Madrid, rien n'a bougé pour lui.
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Samuel Umtiti
Celui qui cassait la démarche en 2018 casse surtout les pieds aux dirigeants du FC Barcelone en 2020 avec ses problèmes récurrents au genou, lui empêchant de faire plus de 15 matches par saison depuis l'épopée russe ( rien à voir avec les poupées russes)
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Paul Pogba
Pogboom était un peu en perdition en arrivant en Russie, puis s'est imposé comme un des patrons bleus. Déjà pressenti sur le départ à l'époque, il est une des valeurs sûres de Manchester United avec Bruno Fernandes et le jeune Mason Greenwood. Reste à savoir quelle destination choisira-t-il s'il est toujours décidé à quitter le nord de l’Angleterre.
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Antoine Griezmann
Notre fan de Fortnite préféré était la pièce maîtresse du dispositif du Cholo Simeone à l'Atletico Madrid, et venait de chiper l'Europa League à l'OM en inscrivant un doublé en finale. Depuis, Grizou ​a été transféré au FC Barcelone, où il a joué en 2019-2020 une saison correcte,  mais loin de celles qu'il a délivré avec les Colchoneros.
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Thomas Lemar
Titulaire indiscutable à l'AS Monaco au moment de la Coupe du Monde, il s'envole pour l'Espagne après la compétition et rejoint son compatriote Griezmann à l'Atletico Madrid. Après une première saison satisfaisante à plus de 30 matches, l'ex-caennais a eu plus de mal cette saison, et n'est plus dans les petits papiers de Simeone.
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Olivier Giroud
Le digne successeur de Stéphane Guivarc'h était en perdition à Arsenal en partant pour le Mondial. Maintenant,  il s'est fait doubler par Tammy Abraham chez les Blues de Chelsea. Bien joué, Olive!
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Kylian Mbappé
Le Wonderboy s'est fait mondialement connaître lors du mondial russe. Depuis, il enchaîne les records avec le Paris Saint-Germain, et essaie de faire passer le PSG dans la cour des grands.De fortes rumeurs l'envoient toujours à Madrid, dont il serait une des priorités de Zidane.
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Ousmane Dembélé
En 2018, il dribblait des deux pieds, en 2020 il dribble les kinés du FC Barcelone. Ousmane Dempêté.
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Corentin Tolisso
Arrivé au Bayern la saison pré-Coupe du Monde, il y est toujours.Avec une grave blessure après la coupe du monde, il fit une saison blanche en 2018-19. Avec l'arrivée de Goretzka et l'explosion de Kimmich, il tente de retrouver une place de titulaire à Munich.
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N'Golo Kanté
Il est petit, il est gentil, il a bouffé Leo Messi, il joue toujours à Chelsea, et est convoité par Paris. N'Golo Kanti 
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Blaise Matuidi
Le Blaisou arrivait d'une première saison réussie avec la Juventus, où il a joué la finale de la Ligue des Champions, et tenant un rôle majeur au milieu. Il a un peu levé le pied avec seulement une vingtaine de matches  avec les ​Bianconeri.
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Steven Nzonzi
Le remplaçant de Kanté pendant la finale était avec Pavard la surprise de Deschamps. Au FC Séville au moment de la coupe du Monde, il s'engage avec l'AS Rome,pour être prêté ensuite à Galatasaray. Il est actuellement prêté par les Giallorossi au Stade Rennais.
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Steve Mandanda
Numéro 2 de la sélection et numéro un de l'Olympique de Marseille, rien ne bouge pour ce bon vieux Steve depuis deux ans. #StatusQuo
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Adil Rami
Le porte-bonheur du groupe (il n'a pas joué) a eu une vie mouvementée depuis la Russie. Entre un retour compliqué à Marseille, un Burn-out, une relation avec Pamela Anderson et un prêt achevé à Fenerbahçe (au bout d'un match), puis un transfert à Sotchi où il n'a pas joué, le natif de Fréjus a bourlingué. Il est actuellement sans contrat.
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Nabil Fekir
Jeune espoir de la formation lyonnaise, Nabil est parti depuis voir si l'herbe est plus verte en Espagne, du côté de l'Andalousie, où il est devenu un rouage important du Betis Seville.
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Djibril Sidibé
Titulaire sur le côté droit de l'arrière garde monégasque, Sidibé est depuis parti s'exiler à Everton,où il est prêté par les hommes du Rocher.
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Florian Thauvin
N'ayant disputé qu'une minute en Russie (contre l'Argentine) FloTov' est toujours un des tauliers de l'Olympique de Marseille. Cette saison, il n'a cependant presque pas joué, suite à une blessure à la cheville.
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Lucas Hernandez
Le centreur pour le plus beau but de la compétition était un joueur prometteur à l'Atletico Madrid. Depuis, il a été transféré pour 80 millions d'euros au Bayern Munich,où il va devoir concurrencer Alaba et Davies sur le côté gauche,ou Kouassi, Süle et Boateng  dans l'axe ( même si seulement le premier est gaucher)
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Benjamin Mendy
Le Shark, il  a failli manquer le Mondial à cause d'une rupture des ligaments croisés qui l'a éloigné des terrains jusqu'en mai 2018, mais la volonté du latéral de Manchester City en a décidé autrement. La saison 2018-19 sera aussi tronquée par des blessures.  Il revient doucement dans le groupe de Pep Guardiola.
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Alphonse Areola
Titulaire devant Kevin Trapp à Paris lors du Mondial 2018, il a vu Gianluigi Buffon arriver dans la capitale française, avant de partir pour le Real Madrid, lors du transfert du costaricien Keylor Navas vers le PSG, où il a joué depuis 8 matches depuis août 2019.

Auteur

​Camille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A

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La première étoile

12/7/2020

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 La, lala la la, lalalalalala, lala la la, lalalalalala, la la lalalalalalalalala. Si vous avez chanté ce rythme, alors vous savez que comme disait Charles Aznavour,  je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître. 

Aujourd'hui il y a 20 ans jour pour jour, la France recevait le Brésil lors de la finale de SA Coupe du monde. Un Brésil champion du monde, qui en était déjà à 4 étoiles sur le maillot, et ayant dans leurs rangs, le meilleur joueur au monde à l'époque, l'attaquant de l'Inter Milan Ronaldo, alors que la France était novice en matière de finales, et était même décriée par bon nombre de supporters avant le début  du tournoi. Mais ça y est, les Bleus avaient vaincu le signe indien , après 1958, et la dramaturgie de Seville en 1982, les français étaient à maximum 120 minutes (plus les pénaltys si nécessaire) de pouvoir être la 7e équipe à soulever le Graal. Après un premier tour face à l'Afrique du Sud (coucou Pierre Issa et Dugarry) , l'Arabie Saoudite (coucou le paillasson de Zidane) et le Danemark (coucou...personne!), les français avaient compté sur un dépassement de fonction de Laurent Blanc, retrouvant ses instincts de joueur offensif de l'époque montpelliéraine face au Paraguay, sur un pénalty de Luigi di Biagio trouvant la transversale en quarts de finale, puis sur un Lilian Thuram s'improvisant double buteur en demies (la seule fois en 142 sélections), pour affront l'ogre auriverde. Mais quelque chose se passait, un parfum d'inattendu flottait sûrement dans l’enceinte dionysienne ce jour-là, qui devait porter ces français à leur destin. De plus, la star brésilienne Ronaldo fit une crise d'épilepsie le jour de la finale, et aurait pu (dû?) ne pas être alignée pour la finale. Du côté français, c'est Laurent Blanc le sauveur face au Paraguay qui est suspendu après un carton rouge reçu contre la Croatie Mais les voilà, les 22 gladiateurs des temps modernes, 11 jaunes contre 11 bleus face à face pour la dernière rencontre de Coupe du Monde du millénaire. Qui des hommes de Mario Zagallo ou d’Aimé Jacquet, tellement critiqué pour son jeu défensif (2 buts dans le temps réglementaire depuis les phases de poules), allait soulever le trophée et être sacré vainqueur de la FIFA World Cup 1998? 

Les français attaquent pied au plancher cette finale, avec dès la 3e minute, Zidane qui lance Guivarc'h mais le rennais ne trouve pas les cages de Taffarel. Les brésiliens réagissent et Roberto Carlos adresse un centre venu de la gauche qui frôle la transversale à la 20e et Rivaldo claque une tête à la 24e minute mais le score reste nul et vierge. Mais à la 27e minute, Roberto Carlos concède un corner . Emmanuel Petit va le frapper, et Zinédine Zidane, qui faisait jusque là un tournoi en demi-teinte claque une tête au centre du but pour donner l'avantage à la France. Trois minutes plus tard, Ronaldo, Il Fenomeno, se présente face à Fabien Barthez, mais le portier monégasque saute littéralement au-dessus du buteur adverse pour écarter le danger. Et alors qu'on rentre dans le temps additionnel de la première période. les coéquipiers de Deschamps obtiennent un nouveau corner, frappé par Djorkaeff cette fois-ci. Et Zidane prend de nouveau de la hauteur pour scorer une deuxième de la tête (Zidane et les coups de tête , une thématique récurrente dans sa carrière). Et voilà le Brésil qui rentre aux vestiaires avec deux buts de retard. 

Le Brésil revient en force en seconde période, avec l'entrée de Denilson le futur bordelais pour le parisien Leonardo. Marcel Desailly écope d'un premier carton jaune à la 48e minute, puis un 2e vingt minutes plus tard, laissant ses partenaires à dix contre onze. Suite à cette expulsion, Patrick Vieira entre en jeu à la place de Djorkaeff, et Petit glisse recule en défense pour épauler Leboeuf. Les brésiliens confisquent le ballon, puis font même rentre un attaquant de plus avec Edmundo, qui devait au départ remplacer Ronaldo pour le coup d'envoi. Mais il ne peut rien arriver à ces français,même quand Roberto Carlos trouve la barre, et que Ronaldo reprend sur un Divin Chauve Barthez aux aguets. Guivarc'h tentera quant à lui d'inscrire son nom au tableau de score,mais s'y manquera à nouveau. Manu Petit ne manquera pas cette occasion en toute fin de rencontre, lorsqu'il inscrira le 1000e but de l'histoire de l'Equipe de France sur une passe décisive de Pat Vieira. Suivront une montagne humaine au-dessus de Manu Petit, l' apparition du terme "rapado, rapado" et la célèbre tirade de Thierry Roland « Je crois qu'après avoir vu ça, on peut mourir tranquille. Enfin, le plus tard possible, mais on peut. Ah c'est super. Quel pied, ah quel pied ! Oh putain ! Olalala ! ». Un déferlement de plus d'un million de personnes sera vu sur les Champs-Elysées, la plus grosse marée humaine depuis la Libération à la fin de la seconde guerre mondiale, et le visage des 23 héros seront affichés sur l'Arc de Triomphe. Et au fin fond de la Moselle, du haut de ses pas tout à fait 11 ans, un jeune garçon découvrait le bonheur d'une victoire en Coupe du Monde, envoyé vite fait au lit par sa mère,car "il est tard maintenant". Ce jeune garçon passera par la suite beaucoup de temps à parler, lire ou écrire sur le thème du football, et peut-être es-tu cher lecteur, chère lectrice, en train  de lire un de ses articles... 

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​Camille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A

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Le jour où Zidane s'arrêta

9/7/2020

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 Il y a 14 ans, le Z quittait un terrain de football professionnel pour la dernière fois, et comme l'Undertaker dans le monde du catch, il a choisi la plus grande scène du monde dans son domaine :la finale de la coupe du monde de football. 

Ce match a été pour moi je dois dire l'un des meilleurs et l'un des pires à regarder: en effet, mes deux joueurs préférés allaient s'affronter dans le match le plus important qui soit dans une carrière de footballeur. Devais-je soutenir ma nationalité, le pays où je suis né et où j'ai grandi, la France menée par un Zinédine Zidane revenu tel le messie en août 2005 après un an d'absence, ou alors le pays de mes origines, celles que  je revendiquais haut et fort, le pays qui m'avait fait découvrir le footballeur Zizou , mais aussi et peut-être surtout celui que je considérais comme un artiste absolu, le (vice) capitaine de la Juve et l'homme qui avait délivré l'Italie en demi-finale, Alessandro Del Piero? Ne pouvant me décider, j'emmenais les deux maillots dans un sac en me rendant à la Fan-zone de Francfort.

Après un groupe compliqué en phases de poule, avec le Ghana, les Etats-Unis et la République Tchèque; les Italiens s'en étaient bien sortis, pour ensuite éliminer à tour de rôle l'Ukraine, l'Australie, et l'Allemagne en prolongations, tandis que les Français avaient eu énormément de mal à s'extirper d'un groupe comprenant la Suisse, le Togo et la Corée du Sud, avant de sortir l'Espagne,le Brésil et le Portugal.On notera la présence de 19 Juventini sur la pelouse (ayant avant, pendant ou après cette finale porté la tunique bianconera), 13 du côté italien, 6 du côté français

La finale démarre fort, et les français prennent rapidement l'avantage. Dès la 7e minute, Malouda est bousculé par Materazzi dans la surface, et Zidane qui a annoncé jouer son dernier match, ouvre le score d'une transversale rentrante sur panenka. L’Italie revient au score à la 19e minute,l'homme qui avait fauté , Materazzi saute plus haut que tout le monde pour claquer une tête puissante dans les buts de Fabien Barthez, suite à un corner frappé par Andrea Pirlo. Tout le long du match , les équipes se rendent coup sur coup, mais ni Luca Toni, par deux fois, dont un but refusé pour hors-jeu, ni Henry, ni Ribéry par deux fois également, ni Zidane qui aurait (encore plus) inscrit son nom au panthéon en marquant un 3 but de la tête en 2 finales ne trouvant la faille chez Gianluigi Buffon ou son homologue français. mais alors qu'on joue les prolongations, les italiens semblent de plus en plus épuisés, alors que les français ont perdu un de leurs guides à l'heure de jeu, quand Pat Vieira, victime d'un claquage, cède sa place au jeune Alou Diarra.

Et là, c'est le drame. Suite à un coup de pied arrêté manqué, les français partent se replacer quand Materazzi tire sur le maillot de Zidane. La suite est connue: " Si tu veux mon maillot , je te le donne à la fin du match, je préfère celui de ta soeur", coup de boule. Manque de bol pour le Z, c'était le match test pour introduire la vidéo dans le football ,et le quatrième assistant appelle l'arbitre central pour lui signaler l'acte stupide de Zidane. Car, oui, je n'ai pas d'autre mot pour décrire cela. Quand tu es en finale de Coupe du Monde, que tu es capitaine de ton équipe et que tu réagis ainsi, c'est stupide. Monsieur Horacio Elizondo n'a d'autre choix que d'expulser pour son dernier match le meneur des Bleus. 
Petit aparté: Au moment où ça se passe,je suis parti chercher des boissons, donc je ne VOIS PAS ce qui se passe, et en revenant dans les gradins, mon cousin de dit "T'as vu ce qui s'est passé? Zidane a eu un carton rouge!" Connaissant l'humour taquin de mon cousin, qui connaît mon admiration pour le natif de Marseille, je rigole encore, et là je me retourne et je vois le replay... Comment vous dire que mon cousin a essayé pendant environ une minute de récupérer sa boisson de mes mains, mains qui étaient simplement BLOQUÉES par la stupeur... 
La fin de la rencontre se passera aux tirs au but, et ironie du sort, c'et David Trézeguet, meilleur buteur étranger de l'histoire de ...la Juventus,et évoluant donc en Italie à ce moment-là qui manquera le seul pénalty de la séance. Les Italiens sont sacrés champions du monde, et certes, je suis très content pour mon pays d'origine, la Nazionale faisant un champion honorable, mais me laissant un goût amer, la faute à un homme, étant tombé ce jour-là de son statut d'idole pour la première fois que mon chemin avait (virtuellement) croisé le sien. 

Tout ça pour dire que , aujourd’hui, 9 juillet 2020, ça fait 14 ans que l'Italie a décroché son dernier titre mondial, et que Zinédine Zidane a raccroché les crampons. Entre temps, Cannavaro est devenu ballon d'or (merci aux anciens barèmes) les deux sont devenus entraîneurs, Buffon joue toujours, les White Stripes ont été repris dans tous les stades avec leur Seven nation Army, mais ça , c'est une autre histoire...

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​Camille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A

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