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Koeman viré du Barça!

28/10/2021

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Ce fut la goutte qui fit déborder le verre de sangria. Après une nouvelle déconvenue sur la pelouse du Rayo Vallecano (défaite 1-0 sur un but de Radamel Falcao), Ronald Koeman s'est vu demis de ses fonctions de coach du club catalan, qu'il entraînait depuis son retour en août 2020 après avoir quitté son poste de sélectionneur des Pays-Bas. L'homme qui d'un coup-franc magistral contre la Sampdoria de Gênes offrit le premier titre de Champion d'Europe au Barça en 1992 s'en va avec un bilan mitigé de 39 victoires, 12 nuls et 16 défaites sur le banc des Culés, l'un des autres grands reproches qui a été fait au technicien batave était de ne pas produire le fond de jeu que l'on connaît du côté du Camp Nou. Il sera remplacé provisoirement par son ancien coéquipier, l'ancien latéral du Barça Sergi Barjuan, qui coachait la réserve blaugrana jusqu'à présent. Le futur entraîneur pourrait bien s'appeler Xavi Hernandez, le métronome du milieu du Barça de l'époque Rijkaard/Guardiola état de plus en plus pressenti pour s'installer sur le banc du FC Barcelone.

Auteur

​Camille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus

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La vieille histoire de Nouveau Château (et de ses nouveaux châtelains trèèèèès riches)

28/10/2021

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Alors que la planète foot s’exclame, voire s’indigne devant le rachat de Newcastle par le PIF (Private Investment Funds) saoudien, il est temps de se rappeler avant qu’il ne soit trop tard qu’avant les pétrodollars, il y a eu une belle équipe de foot. Retour sur un club populaire du nord de l’Angleterre.
 
Le Newcastle United Football Club, ou NUFC pour les initiés est fondé en 1892 à la suite de la fusion entre le club de Newcastle East End et celui de Newcastle West End. Les premiers titres arrivent au courant des années 1900, avec trois championnats en cinq ans (1905, 1907, 1909), allant même s’offrir le doublé en 1909 avec le Community Shield, ces titres seront suivis d’un premier succès en FA Cup en 1910. Les Magpies seront à nouveau champions en 1927, ce qui reste jusqu’à présent le dernier titre de champion de première division du club, et soulèvent la Coupe d’Angleterre en 1924 et 1932 alors que deux ans auparavant, 1930, l'équipe frôle la relégation et la star Hughie Gallacher quitte le nord de l'Angleterre pour la capitale et les Blues de Chelsea.
Puis l’équipe marche moins bien, et tombe en deuxième division en 1933-34 avant que n’arrive la seconde Guerre Mondiale.
Mais Newcastle va se relever au début des années cinquante par le biais de son trophée préféré, la Coupe d’Angleterre, qu’il va remporter trois fois en cinq ans à nouveau, notamment à des joueurs comme Jackie Milburn, en 1951 face à Blackpool emmené par le futur Ballon d’Or Stanley Matthews, en 1952 face à Arsenal et 1955 face au Manchester City du premier gardien allemand à évoluer en Premier Division, Bert Katze Trautmann. 
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Jackie Milburn dans ses oeuvres
​Cependant, l'équipe commence à régresser après cette série de succès et est reléguée en seconde division à la fin de la saison 1960-1961, sous la direction de Charlie Miten, qui tente de faire remonter le club sans succès et est finalement remplacé par un ancien joueur du club, Joe Harvey. L'équipe remonte en division 1 après avoir remporté le championnat de seconde division en 1965.
Les Toons s’installent en première division après cette remontée et vont même découvrir en 1968 le parfum des soirées européennes, en jouant le Coupe des villes de foire, qui deviendra par la suite, la Coupe UEFA, puis l’Europa League actuelle. La saison suivante, le club va même s’imposer dans ce tournoi après avoir éliminé le Sporting Portugal et les voisins des Glasgow Rangers avant de triompher des hongrois de l’Ujpest Football Club.
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L'équipe victorieuse en Coupe d'Europe 1969
Après une défaite en finale de FA Cup en 1974, le manager Harvey Lee quitte son poste après treize ans à la tête de l’équipe. La saison suivante, une nouvelle défaite en League Cup met fin à une époque faste pour quelques années, avec une descente en Championship en 1978. Dans les années 80, le club fait le yoyo entre le plus haut niveau et son antichambre, malgré l’arrivée dans l’effectif de joueurs tels que l’ex-marseillais Chris Waddle, le double Ballon d’Or Kevin Keegan ou encore l’éclosion du jeune et fantasque Gazza, Paul Gascoigne.

​En 1993, Keegan, alors devenu entraîneur, fait remonter le club en première division, et va même finir troisième de la toute jeune Premier League, en grande partie grâce à l’arrivée du jeune buteur Andy Cole, arrivé de Bristol City pour 2,7M d’euros, et qui finira meilleur buteur du championnat avec pas moins de 34 buts ! Les Toons vont retrouver brièvement l’Europe en 1994, et à la fin de la saison, Cole sera vendu pour près de 10 Millions d’euros à Manchester United, permettant ainsi au club de faire venir d’autres talents comme le français David Ginola ou l’international anglais Les Ferdinand. Avec ces arrivées, plus celle de l’iconique Alan Shearer (pour 21 millions d’euros, record mondial de l’époque), l’équipe va finir par deux fois vice-championne d’Angleterre en 1996 et 97, à chaque fois derrière le club de leur ancien attaquant, Manchester United, Shearer finissant pour la troisième fois de suite meilleur buteur de Premier League, mais la première fois sous la tunique blanche et noire. Malgré un parcours européen correct (jusqu’en quarts de finale de la Coupe UEFA), Keegan jette l’éponge début 1997, ne parvenant pas à surmonter l’échec de la seconde place de la saison précédente, perdant le titre à quatre points près, et ayant été en tête la majeure partie de la saison.
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L'iconique Alan Shearer, meilleur buteur de l'histoire du club avec 206 buts
Après un retour express de Dalglish, puis une courte pige de Ruud Gullit sur le banc de Newcastle avec une nouvelle finale de FA Cup perdue en 1998, c’est l’expérimenté Bobby Robson qui arrive en 1999. En 2001, Newcastle gagne la première Coupe Intertoto de son histoire en s’imposant 4-0 face à Troyes. En 2001-2002, Saint James Park, s’apprête à retrouver la Coupe aux grandes oreilles, le club finissant 4e. La saison suivante, Nouveau château grimpe d’une place au classement mais les retrouvailles avec la Ligue des Champions est de courte durée, le club sortant en phase de poules. En 2003-04, Newcastle sort du top 4, finissant 5e, et se qualifiant pour la Coupe UEFA, dans laquelle ils sont demi-finalistes en 2004, sorti par l’OM d’un Didier Drogba double buteur. Bobby Robson est limogé au cours de la saison, étant en désaccord avec sa direction. Une nouvelle Coupe Intertoto sera remportée en 2006.

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Newcastle puni par le jeune Drogba
​À la fin des années 2000, Newcastle galère malgré ses grands noms, à part Alan Shearer prenant sa retraite après 206 buts en 405 matches. Le goal Shay Given, suppléé par une défense avec des noms comme Boumsong, Carr, Babayaro, un milieu, avec des joueurs comme Lee Bowyer, Kieron Dyer, les français Laurent Robert et Charles N’Zogbia, Nicky Butt, le turc Emre, le péruvien Solano ou encore le jeune James Milner et une attaque avec Patrick Kluivert, Shola Ameobi ou encore Michael Owen forment un groupe aussi talentueux qu’hétéroclite, mais avec lequel les différents coachs n’arrivent pas à se dépatouiller, et malgré le retour de Shearer en tant que coach en avril 2009,  Newcastle prend l’eau, et descend en Championship en fin de saison.
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L'auberge espagnole 2.0
​Le club ne passe qu’une saison en Championship, étant même sacré champion de D2 en 2010, suite à une victoire 2-0 en avril contre Plymouth. La saison d’après voit l’arrivée du virevoltant français Hatem Ben Arfa et l’explosion du buteur Andy Carroll, auteur en 2010-2011 de 11 buts et 8 passes décisives, ce qui fait de lui le joueur le plus décisif du club cette saison (2e meilleur buteur derrière Nolan et 2e meilleur passeur après l’ex-marseillais Barton). Puis entre 2011 et 2013, la colonie française débarque, entre Cabaye, Obertan, Marveaux, puis Sissoko, Debuchy, Yanga-Mbiwa et Haïdara. En 2013, cette French connexion va atteindre les quarts de finale de l’Europa League, sortant contre le finaliste Benfica. 
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Le club perd de le la vitesse ensuite, et malgré l’arrivée d’un coach de renom comme Rafael Benitez en mars 2016, le club repart à l’échelon inférieur deux mois plus tard. Le club remonte à nouveau un an plus tard, avec un nouveau titre de champion de deuxième division, Brighton faisant match nul face à Aston Villa lors de la dernière journée grâce à un but en tout fin de match du prodige Jack Grealish. Le club se maintient en Premier League depuis, et malgré le départ de Rafa Benitez en juin 2019 suite à des différents avec son board, puis le départ de son remplaçant Steve Bruce le 20 octobre 2021, le changement le plus notable se fait au début du mois.
​
Mike Ashley, le propriétaire du club depuis 14 ans, vend ses parts du club au Fonds d'investissement public saoudien dirigé par Yasir Al-Rumayyan ainsi qu’à PCP Capital Partners et aux frères Reubens pour 333 Millions d’Euros, mais avec une puissance économique évaluée à 400 Milliards d’euros, devenant le club le plus riche au monde ! Reste à voir comment cette nouvelle situation va évoluer, notamment lors du prochain mercato d’hiver. Qui sera le prochain Robinho, le prochain Neymar raflé par les nouveaux propriétaires de Nouveau Château ? Comme le disent si bien nos amis d’outre-Manche, wait and see…
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​​Camille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus

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Visite de l'Olimpico et débrief du derby Lazio-Roma

8/10/2021

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​Visite du Stadio Olimpico et Débrief du Derby della Capitale Lazio/Roma

Milinkovic-Savic 10e, Pedro 18e, F.Anderson 63e pour la Lazio/ Ibanez 40e, Veretout 68e pour la Roma
​

Pour la première fois, The Jackosphère et la Table Ronde assistait à un derby majeur en direct, en l’occurrence celui entre la Lazio et la Roma. Deux équipes qui se partagent non seulement un derby, mais aussi une ville, un stade, parfois même des joueurs (coucou Pedro et Kolarov) pour imprégner la Ville Eternelle soit de rouge et jaune, soit de bleu ciel et blanc.
Il faut savoir que pour aller au stade, il n’y a qu’un transport en commun, le bus. Donc pas de métro, ou de tram pour aller à l’Olimpico. En attendant à l’arrêt de bus, les supporters étaient encore assez calmes, mais ils ont commencé à donner de la voix, une fois monté dans le car.
 
Il y a une heure d’arrivée au stade, les secteurs ayant leurs horaires déterminés afin de ne pas créer un embouteillage monstre aux abords du stade (et ne pas recréer de cluster, merci la pandémie !). Attention à ne pas arriver du mauvais côté de l’enceinte, car le stade est trèèèèèèèèès grand, et contourner l’arène, ses presque 73000 places et sa place d’athlétisme prend pas mal de temps.
Cela dit, armez-vous de patience, de bonnes chaussures, et des papiers nécessaires pour accéder aux guichets. Le conseil que je peux vous donner (en temps de Covid) est de télécharger l’application Green Pass, qui est l’équivalent italien de TousAntiCovid, les stadiers ayant été un peu perdu avec un groupe d’amis anglophones étant peu avant moi dans la queue, et ayant été sorti du rang pour contrôler, discuter, etc car ils n’avaient pas le fameux « Green Pass » qui n’est autre que le certificat numérique de Vaccination (ou test PCR) que l’on retrouve sur les applis mises en place par l’UE.
Une fois les stadiers entrés, et les sacs contrôlés (les petits sacs à dos sont autorisés), selon votre emplacement, vous pouvez avoir encore à marcher pendant quelques minutes, avant de retrouver votre emplacement, mais là mes amis, quelle vue ! Le Stadio Olimpico, arène des temps modernes s’offre à vous !
 
Mais venons-en au match, la Roma qui était étonnante et agréable à voir jouer sous les ordres d’un Mourinho apparemment heureux de revenir entraîner dans la botte était dans le trio de tête, accompagnant les deux équipes milanaises en haut du classement. La Lazio était elle 8e, mais semblait tout doucement trouver ses marques, et voulait se nourrir de l’énergie de ses tifosi, les biancocelesti jouant « à domicile »pour ce derby. L’ambiance est montée crescendo avec les entrées de Reina venant saluer les supporters laziale avant de s’échauffer, puis du reste des biancocelesti. L’annonce du onze de départ a été également très soutenue, et le survol d’Olimpia, la mascotte de la Lazio décollant d’en dessous du tout du stade pour venir se poser sur le logo du club dans le rond central fait son petit effet (Le Benfica Lisbonne a également ce genre de spécialités d’avant-match)
​
Le match démarre fort, car après à peine 10 minutes de jeu, Sergej Milinkovic-Savic s’impose dans les airs au sein d’une défense apathique pour reprendre le ballon de la tête et le catapulter dans les cages de Rui Patricio. Les laziale vont doubler la mise huit minutes plus tard, lorsque Pedro, qui portait la tunique de l’ennemi la saison passée va crucifier le portier portugais de la Roma d’un joli plat du pied. L’intensité baisse ensuite jusqu’en fin de première période, qui est très animée avec une énorme occasion d’Immobile à la 37e minute, servi dans les six mètres à gauche des cages de Rui Patricio, mais l’avant-centre italien ne trouve que le petit filet. La Roma se rebiffe sur l’engagement, avec Tammy Abraham qui est à la retombée du long dégagement de Reina, mais l’ancien de Chelsea bute sur un Pepe Reina vigilant. Le gardien espagnol ne peut rien par contre sur la tête d’Ibanez à la 40e minute, lorsque celui-ci reprend un corner rentrant de Veretout, pour une Roma qui revient juste avant la pause !
A la pause, la Lazio reprend son travail de sape, mais ne parvient pas à reprendre le large, ses offensives étant souvent de peu à côté, comme cet enroulé du droit à l’heure de jeu d’Immobile qui flirte avec les montants des giallorossi. Mais les « locaux » de Maurizio Sarri vont reprendre deux buts d’avance à la 63e minute, lorsque Immobile lancé sur le flanc gauche repique dans l’axe d’un crochet intérieur pour servir Felipe Anderson qui conclut de près intérieur du droit petit filet opposé pour le 3-1. On croit alors la Lazio à l’abri, mais la Roma bénéficie d’un pénalty à la 68e minute, que va transformer l’omniprésent Veretout. La Roma va pousser pour revenir, et sera à deux doigts d’y parvenir quand Zaniolo reprend un bon ballon de Karsdorp à la 73e minute qui fuit le cadre pour quelques centimètres, ou quand ce même Zaniolo va obliger Reina à une grosse parade à la 82e, mais les hommes du Mou ne parviendront pas à égaliser. Immobile pense donner le coup de grâce à l’ennemi en faisant enfin trembler les filets à la 83e minute, mais il est hors-jeu.
Le résultat sort la Roma du trio de tête, tandis que la Lazio remonte au classement au terme de ce derby limite plus chaud sur le terrain que dans les tribunes.

Ci-dessous, quelques vidéos prises lors de mon périple, j'en ferai parvenir d'autres encore plus tard

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​Camille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus

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