Borussia Mönchengladbach- Manchester City 0-2 B.Silva 28e, Jesus 64e pour City Un Manchester City qui cartonne tout sur son passage se déplace chez un Gladbach qui n’a pas gagné un match sur les quatre dernières journées de championnat. Avec un coach qui partira en fin de saison, des cadres en fin de contrat (Elvedi, Ginter, Zakaria, Neuhaus), et des Franzosen qui ont disparu après une très bonne entame de saison, les poulains sont dans le dur au moment de recevoir une des meilleures écuries européennes. Et comme attendu, c’est les Citizens qui mettent le pied sur le ballon dès le début du match. Sterling, Foden, et Jesus combinent beaucoup, mais sans faire vaciller sérieusement Sommer. Gladbach doit procéder en contre, mais ça manque de spontanéité et de réalisme pour aller se frotter à Ederson. Mais les Citizens sont au-dessus, et sur un excellent centre de Joao Cancelo, Bernardo Silva s’impose de la tête pour battre Sommer d’une tête croisée et ouvrir le score. Et les Skyblues poussent pour inscrire le deuxième but mais soit ce n’est pas cadré, soit Sommer ou sa défense sont sur la trajectoire du ballon. Et en seconde période, il faut attendre la 53e minute pour voir une Musacchio de la part de Bensebaini, c’est Gabriel Jesus qui récupère le ballon, mais Nico Elvedi s’impose de justesse, et sur la relance, on va arriver jusqu’à la surface de réparation de City, mais Neuhaus appuie trop sa passe, et ça sort en sortie de but. Gladbach se fait moins marcher sur les pieds sur le premier quart d’heure du second acte, mais sans vraiment trouver le chemin des cages d’Ederson. On voit même des gestes inspirés, comme Pléa à la 62e, dont la talonnade aérienne passe devant les cages mancuniennes, mais sans trouver le cadre. Il sera remplacé dans la foulé par Thuram. Mais City est un niveau au-dessus, et à la 64e minute, Joao Cancelo va trouver Silva d’une superbe diagonale sur la droite de la surface. L’international portugais remet de la tête pour Jesus, qui score de près. À la 84e minute, Cancelo colle un tampon à Hofmann dans sa surface de réparation, mais monsieur Dias ne siffle pas pénalty !! C’est ce qu’on appelle la chance des grandes fortunes euhhh équipes, évidemment. Hofmann est sonné après le choc, il doit sortir et est remplacé par Wolf, qui obligera Ederson dans les ultimes secondes à sortir de ses cages suite à une interception dans la défense de City. City s’impose à l’extérieur avec deux buts d’avance, et le Borussia devra marquer trois fois au match retour s’ils veulent voir les quarts de finale. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A
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Lazio - Bayern 1-4 Lewandowski 9e, Musiala 24e, Sané 42e, Acerbi (csc) pour Munich, Correa 49e pour les Laziali Le Bayern a de quoi se méfier de son adversaire du soir, la Lazio, qui retrouve la phase à élimination directe après 21 ans, et qui est quand même la 2e équipe la plus titrée en Italie après la Juve depuis l’arrivée de Simone Inzaghi sur le banc romain, avec 3 titres depuis 2016. La Lazio qui se présente dans son 3-5-2 immuable joue un Bayern avec des absents notables (Tolisso, Pavard, T.Müller, Gnabry, Costa), mais qui garde un 11 titulaire plus que correct. Il s’agit également d’un duel de buteurs entre Ciro Immobile et Robert Lewandowski. L’italien compte 19 buts en 26 matches dont 5 en 4 matches de Ligue des Champions, en ayant été Soulier d’Or européen en 2020 avec 36 buts inscrits avec la Lazio, tandis que le Polonais marche sur l’eau en étant le meilleur buteur européen actuel, avec 31 buts en 30 matches, dont 26 buts en 21 rencontres de championnat, et 31 buts sur ses 33 derniers matches de C1, plus que n’importe qui d’autre !! La première grosse occasion pour les Roten est à la 7e minute, quand Joshua Kimmich bien trouvé sur le côté droit sur un ballon aérien contrôle puis centre à ras du sol au second poteau. Lewandowski se jette, mais il ne peut toucher le ballon bien gêné par Acerbi. Mais une minute après, Musacchio manque sa remise en retrait pour Reina, Lewandowski se saisit de l’offrande, crochète le gardien espagnol avant de finir du gauche dans le but vide pour son 72e but en C1. Il devient par la même occasion le 3e meilleur buteur de l’histoire de la C1, dépassant l’ex-madrilène et Schalker Raùl Gonzalez Blanco. Les bavarois poussent et manquent de doubler la mise à la 17e minute, mais sur une bonne combinaison sur flanc gauche, Lewandowski s’étant désaxé centre pour Sané, mais l’ailier allemand manque le ballon. À la 18e minute, Boateng déséquilibre Milinkovic-Savic à l’entrée de la surface en prenant le ballon, mais après un court passage par la VAR, monsieur l’arbitre décide étonnamment de ne pas siffler pénalty pour la Lazio. A la 23e minute, Correa sert Luis Alberto sur la gauche de l’attaque mais l’espagnol manque de puissance dans sa frappe. Mais de puissance, le Bayern n’en manque pas à la 24e minute, avec ce crochet-débordement de Davies, qui passe à Goretzka, ce dernier décale pour Musiala dans l’axe aux vingt mètres. Et le jeune anglais de 17 ans contrôle et frappe du droit pour trouver le petit filet de Pepe Reina. Et au bout de 30 minutes, le malheureux Musacchio est remplacé par le bosnien Lulic. Les laziali poussent, mais ça laisse des espaces derrière, et Coman en profite à la 42e pour dévorer l’espace sur l’aile gauche, il se joue d’Acerbi de deux crochets dévastateurs avant de frapper du gauche, Reina repousse sur Sané qui inscrit là son premier but depuis deux ans en Coupe d’Europe et le premier en C1 avec le Bayern, le dernier étant avec Manchester City. Et c’est un Bayern en mode rouleau compresseur, et bien aidé par des biancocelesti vraiment peu inspirés et quelque peu lésés peut-être par l’arbitrage qui rentre avec trois buts d’avance à la pause. Et la catastrophe industrielle reprend après la pause. Une minute après la reprise, Sané fonce côté gauche, Patric prend le bouillon, et Sané tacle dans son but en voulant priver Lewandowski du ballon. La Lazio réduit le score à la 49e minute par Angel Correa qui s’offre un slalom dans la défense bavaroise avant de battre Neuer d’un plat du pied droit bien ajusté. La Lazio semble quelque peu revigorée sur son but, et sur un une-deux avec Immobile, Correa enroule du droit à l’entrée de la surface, mais Manuel Neuer se détend sur sa gauche pour aller chercher le cuir à ras du poteau. Le calvaire de Patric qui aura eu l’utilité d’une étoile de mer s’achève à la 53e minute, remplacé par Hoedt, comme Leiva qui cède sa place à Escalante. Et à la 62eminute, c’est le revenant Javi Martinez qui remplace Goretzka. Immobile tente sa chance de 25 mètres sur la gauche mais c’est sans problème pour Neuer. La Lazio est vraiment dépassée par la vitesse des munichois, à l’image de Marusic qui est obligé de commettre une faute sur Coman à la 64e minute à l’orée de la surface, le coup-franc de Kimmich passe à côté. Le match se tend un peu lors du second acte, et devient plus haché avec des cartons jaunes sortis pour Marusic et Escalante pour les romains, et Kimmich et Coman pour les bavarois. Kingsley Coman qui va céder d’ailleurs sa place à un compatriote à un quart d’heure du terme, Lucas Hernandez entrant en jeu, ce qui permet à Davies d’occuper le poste de milieu gauche. Musiala et Sané sortent, pour laisser le grand Bouna Sarr et l’inégalable Choupo-Moting participer à la fête à la 89e. Au final, un Bayern soi-disant affaibli inflige une correction à une Lazio « à domicile » qui devra s’imposer par 4 buts d’écart s’ils veulent se qualifier en quarts de finale. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A FC Porto- Juventus Turin 2-1 Taremi 2e, Marega 46e pour les Portistas, Chiesa 81e pour la Vecchia Signora Pour le retour de CR7 au pays, les Dragons rêvent d’un gros coup. Porto est un club solide, qualifié en huitièmes de finale quatre fois sur les cinq éditions, et qui n’a pas encaissé de but en Coupe d’Europe depuis cinq matches. Attention à l’iranien Taremi, recruté cet été, co-meilleur buteur des dragons en C1 cette saison et titulaire ce soir face aux bianconeri. Pour la Juve, on se déplace pour s’imposer, malgré les absences de Cuadrado et Bonucci notamment. Après deux sorties prématurées contre l’Ajax il y a deux ans, et contre Lyon la saison passée, la Vieille Dame est là pour prouver qu’elle fait partie du gratin européen. La dernière fois que Porto avait croisé la route du multiple Ballon d’or, l’ex-mancunien avait claqué une frappe de 35 mètres pleine lucarne, c’était en 2009 sous la liquette de Manchester United. Et les Dragons ouvrent le score dès la 2e minute, quand Szczesny joue sur le génie uruguayen Rodrigo Bentancur qui veut jouer en retrait pour Szczesny, mais se manque et l’iranien Taremi peut contrer le ballon pour le pousser dans les cages turinoises. La Juve essaie doucement de se réveiller avec un corner au quart d’heure d jeu, et une demi-occasion à la 20e de Mc Kennie bien devancé par Marchesin. La Juventus est complètement endormie sur les 25 premières minutes, et devant, ça ne se comprend pas entre CR7, Kulusevski, Chiesa et McKennie, alors que défensivement, c’est très instable malgré la présence censée être rassurante de Gogo-Gorilla, Giorgio Chiellini. Un Chiellini qui va sortir à la 33e minute, le capitaine se blesse et est substitué par le turc Demiral qui doit rentrer sans s’échauffer. Et le premier tir cadré de la Vieille Dame est à la 39e minute, quand un coup franc de …Bentancur est repris de la tête. Et la plus grosse occasion pour les bianconeri est à la 41e minute, quand sur un centre venu de la droite, De Ligt remet dans l’axe de la tête pour Rabiot, qui effectue un bon retourné qui oblige Marchesin à se détendre sur sa droite. Les bianconeri finissent mieux la première période qu’ils l’ont commencé, avec une tête de Demiral monté aux avant-postes, mais la tentative passe à côté. Et les débuts de période sont décidément très difficiles pour le champion d’Italie. Il ne faut même pas une minute (19 secondes en fait) après la pause pour que Marega reprenne un centre de Manafa qui a eu un boulevard sur le flanc droit pour trouver le malien qui conclut de près du gauche. Kulusevski essaie d faire bouger les choses avec une bonne action à la 50e minute, mais ni l’action du suédois, ni le corner qui suit ne donnent quoique ce soit. Et Sergio Oliveira va foncer à la 52e minute au milieu de la défense turinoise qui va carrément s’écarter pour le laisser passer !!! La frappe du portugais va s’écraser sur les gants du goal polonais de la Juve. Rabiot tente une frappe à 25 mètres, mais le tir du français frôle la transversale de Marchesin. À la 67e minute, Corona dos au but à l’entrée de la surface se lève la balle lui-même pour effectuer un retourné que Szczesny accompagne en sortie de but. À vingt minutes de la fin, Ronaldo venant de la gauche trouve Chiesa dans la surface, l’italien contrôle puis frappe du gauche, mais son tir est contré par un pied adverse, et le danger est écarté. Mais la Juve sauve l’honneur à la 81e minute, quand Rabiot déboule sur l’aile gauche, avant de servir Chiesa au ras du sol qui conclut d’une frappe croisée du droit petit filet opposé. À la 93e minute, Ronaldo est accroché dans la surface mais monsieur l’arbitre ne va pas consulter la vidéo et siffle la fin de la rencontre. La Juventus s’incline mais garde un espoir de qualification avec le but à l’extérieur inscrit par Chiesa. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Leipzig-Liverpool 0-2 Salah 53e, Mané 58e pour les Reds Quand l’élève rencontre le maître, Julian Nagelsmann face à Jürgen Klopp pour ce duel. Klopp doit composer avec sa défense toujours dégarnie, avec une charnière Kabak-Henderson, l’un arrivé il y a quelques jours d’un marasme nommé Schalke 04, et l’autre qui à la base est un milieu de terrain. Thiago Alcantara est titularisé à la place de James Milner. La dernière question est : Dans quel état mental est le gardien brésilien Alisson, coupable de plusieurs erreurs grossières coûtant les matches à son club les dernières semaines ? Leipzig quant à lui joue ce 8e de finale avec une défense à 3, mais sans avant-centre de formation, ni Poulsen, ni Sorloth, mais Nkunku en pointe, qui combine avec Dani Olmo. Les deux autres français sont également alignés dans le onze de départ, avec le futur bavarois Upamecano et l’ex-montpelliérain Mukiele, tous deux en défense. La première situation chaude est à la 4e minute, et elle est pour Leipzig. Angeliño centre et Olmo va piquer au premier poteau, mais la tête de l’espagnol tape l’intérieur du poteau d’Alisson avant dépasser dans le dos du portier brésilien et de sortir !! Liverpool se réveille au quart d’heure de jeu, quand Alexander-Arnold lance Salah sur l’aile droite, l’égyptien prend la défense des taureaux de vitesse pour aller tenter un piqué face à Gulacsi, mais le portier qui a commencé sa carrière pro à Liverpool (sans y avoir joué par contre) s’interpose face au Pharaon. Les Reds montrent des éclairs de génie comme à la 31e minute, quand Robertson récupère un ballon et avertit directement Sadio Mané, Gulacsi sort au pied et dégagé mais relance sur Robertson qui tente un lob de plus de trente mètres, mais la tentative de l’écossais touche la barre du hongrois avant de sortir!! À la 35e minute, Sadio Mané fait un numéro de funambule sur la gauche pour servir Firmino qui conclut de la tête devant Gulacsi, mais le ballon était sorti avant le centre du sénégalais. Et c’est finalement la dernière grosse alerte avant la pause. Les Reds vont entamer le second acte de la meilleure des façons. À la 52e minute, sur un long ballon de Robertson, le ballon est récupéré par Leipzig, Sabitzer veut remettre en retrait, mais c’est intercepté par Mo Salah. L’ancien de la Roma contrôle avant d’aller crucifier Gulacsi de l’intérieur du gauche sur la gauche d son vis-à-vis. Et cinq minutes plus tard, les allemands vont remettre ça. Sur un long ballon aérien, Mané est à la lutte avec Mukiele. Le latéral français se troue totalement sur son interception et laisse Mané partir seul inscrire le deuxième but des Reds d’un plat du pied gauche placé à ras du poteau sur la droite de Gulacsi. Leipzig tente de répliquer, notamment par Angeliño à la 60e, mais la frappe du latéral du RBL ne trouve que l’extérieur du petit filet d’Alisson. Les hommes de Nagelsmann vont tenter de réduire le score, mais ni Klostermann qui trouve le cadre mais est hors-jeu, ni Sabitzer ou Hwang qui n’ont pas trouvé le cadre n’ont permis au deuxième de Bundesliga de réduire l’écart. Il faudra jouer le match retour en marquant 3 buts pour Leipzig pour espérer se qualifier, Liverpool reprend des couleurs, en jouant dans un autre contexte que le championnat, et surtout en bénéficiant de deux grosses erreurs des lipsiens. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Bonjour,
Voici le débrief de FC Barcelone - Paris Saint Germain, 8ème de final aller de Ligue des Champions, saison 2020/2021. PS : Bon début de carême à tous les Chrétiens! Bonjour à tous!
Voici le débrief concernant le match entre l'Inter Milan et la Lazio de Rome comptant pour la 22ème journée de Serie A. Bonne écoute et bonne Saint Valentin! Leicester- Liverpool 3-1 Maddison 78e, Vardy 81e, Barnes 85e pour les Foxes, Salah 67e pour Liverpool Deux brillantes équipes qui sont en deçà de leurs top niveaux, une victoire en quatre matches pour les Foxes, deux défaites de suite pour Liverpool (dont la dernière est fortement imputable à Alisson), et un choc de Premier League pour rester dans le haut du tableau, c’est ce qui se jouait ce samedi après-midi dans ce choc anglais entre le 3 et le 4e de PL. Ozan Kabak, l’international turc prêté par Schalke 04 a également effectué ses débuts en championnat sous la tunique des Scousers. Le match part tambour battant, et à la suite du premier corner à la première minute, Leicester joue très vite, un dégagement de la charnière centrale sur Maddison dans le rond central qui lève la tête et voit un Alisson avancé. L’anglais tente une frappe du milieu de terrain mais le goal brésilien revient à temps dans sa zone de vérité pour capter le ballon. Sur l’action d‘après, après une perte de ballon au milieu, Alisson intervient hors de sa surface en repoussant le cuir du genou, et sur une longue ouverture d’Alexander-Arnold, Sadio Mané est trouvé aux abords de la surface, mais le sénégalais ne trouve pas la solution pour débloquer la situation. À la neuvième minute, Henderson fait admirer son jeu long pour trouver Mo Salah dans le dos de la défense de Leicester, mais l’égyptien est repris par Pereira. Le premier changement est à la 18e minute, quand Milner se blesse, et est remplacé par Thiago Alcantara. Et à la 19e minute, TAA trouve Salah sur la droite, l’ancien de la Roma se retrouve face à Schmeichel, il rentre dans l’axe et tente un extérieur pied droit, c’est dévissé mais ça se transforme en centre devant les cages désertées par le portier danois, mais Mané est trop juste pour pousser le cuir dans le but. A la 26e minute, sur une déviation aérienne de Mané dans la surface sur un centre de Robertson, Firmino reprend du droit dans les 6 mètres, mais Schmeichel dévie de la main tel un gardien de handball. Barnes va lui s’offrir une percée à la 35e minute sur le flanc gauche pour trouver la tête de Vardy, mais Alisson capte sans problème. À la 41e minute, sur un ballon long, James Maddison dévie d’une aile de pigeon pour Vardy qui va se présenter face à Alisson, mais la grosse frappe du droit de l’attaquant anglais tape le haut de la barre du gardien brésilien. Mais le score reste nul et vierge à la pause. Mais les Reds vont trouver la faille en seconde période. À la 67e minute, Curtis Jones tente une percée sur l’aile droite, il tente une frappe, le cuir lui revient, et il passe pour Firmino au point de pénalty, le brésilien dévie d’une talonnade/roulette pour Salah qui frappe en première intention pour tromper Schmeichel. Le rythme est quand même moins élevé en seconde période. À la 77e minute, Vardy se fait bousculer à la limite de la surface, mais le penalty n’est pas accordé. Sur le coup franc qui suit, Maddison enroule au second poteau et trouve le petit filet opposé d’Alisson, malgré la position litigieuse d’Amartey qui est à l’extrême limite du hors-jeu. Et trois minutes plus tard, c’est un ballon de Tielemans de presque 50 mètres qui va chercher un de ses attaquants, Alisson va sortir de façon totalement incompréhensible et va percuter Kabak, le ballon rebondit sur le talon du turc et revient sur Vardy seul dans la surface qui s’en va scorer dans le but vide. Alisson va repousser la catastrophe deux minutes plus tard sur une frappe contrée qui revient sur un Vardy esseulé dans les six mètres en repoussant la balle sur son poteau. Mais l’ancien de la Roma ne pourra rien sur l’enroulé du droit de Barnes à la 85e minute qui inscrit son 7e but de la saison, sur une bonne passe de Ndidi. Liverpool a dominé son adversaire pendant près de 80 minutes, mais a littéralement explosé en 7 minutes, sur des erreurs de Kabak et d’Alisson. Les Foxes prennent la deuxième place à Manchester United, et reviennent à 4 points de City, mais avec un match de plus que les Red Devils, et deux de plus que les Skyblues. Liverpool reste dans le Big 4, mais à portée de Chelsea et West Ham à un point des hommes de Klopp. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Bayern Munich- Tigres Monterrey 1-0 Pavard 60e pour le FCB Les Tigres de Monterrey, la première équipe mexicaine à disputer une finale de Coupe du Monde des Clubs, emmenés par l’inusable attaquant français André-Pierre Gignac (meilleur buteur de l’histoire du club mexicain avec 147 buts) veulent empêcher en ce jeudi soir l’ogre bavarois d’être la seconde équipe de l’histoire à s’offrir un sextuplé (seul le FC Barcelone en 2010 a réussi cet exploit). Les bavarois qui ont aussi leurs français alignés, avec Pavard et Hernandez en défense et Coman au milieu de terrain. Le Bayern a la possession du ballon, mais les mexicains ont les occasions en contre-attaque, comme à la15e minute, quand Quiñones oblige Manuel Neuer à sortir et à se jeter dans ses pieds. Mais ce sont les allemands qui font trembler les filets les premiers, lorsque Kimmich frappe sur le côté droit à la 17e minute pour aller trouver le petit filet opposé, mais Lewandowski est sur la trajectoire du cuir, et effleure la balle. L’avant-centre polonais est signalé hors-jeu, et le but de Kimmich est donc refusé. Le Bayern pousse, mais les mexicains tiennent à l’image d’un Salcedo, l’ancien de Francfort à la 23e stoppant un bon ballon dans sa surface, privant trois bavarois de reprendre dans la surface. À la 34e minute, c’est Leroy Sané qui trouve l’équerre sur une belle occasion du FCB. Mais les mexicains (et surtout Gignac) résistent, et font souvent la misère à la défense adverse, notamment Pavard et Süle, en difficulté face à la vitesse de Quiñones. Et les deux équipes se séparent sur un score nul et vierge au final du premier acte, après une dernière sortie de Neuer au pied hors de sa surface devant Gonzalez et Gignac dans le temps additionnel. Munich reprend le match pied au plancher, comme l’atteste cette superbe tentative de Gnabry à la 50e minute, mais l’enroulé du droit de l’ailier allemand passe de peu à côté. Et Herr Lewandowski va de nouveau être à la limite du hors-jeu à la 60e minute, lorsqu’il reprend de la tête un centre de Kimmich, le ballon est dévié par le gardien, puis par une possible main du buteur polonais, la balle arrive au second poteau Pavaaaaaaaard monté aux avant-postes qui peut pousser le cuir dans le but vide. À la 63e minute, Quiñones encore lui déborde côté gauche et Pavard s’impose en taclant, mais dévie la balle de la main en se relevant. Un français champion du monde de plus rentre à la 65e minute avec Tolisso, qui remplace Gnabry. Les mexicains commencent à s’énerver, et commencent à mettre des coups, à l’image de Rodriguez à la 69e minute qui écope d’un jaune pour un vilain geste dans un duel aérien. Alaba manque le cadre de peu à la 73e minute, mais la frappe de l’autrichien frôle la barre de Guzman. Le petit moment L1 nostalgie arrive à la 74e minute lorsque Lewandowski est sorti par Flick, et la légende, l’extraordinaire, l’inimitable Eric Maxim Choupo-Moting fait son entrée en jeu !!! Tout comme Douglas Costa qui remplace Coman. Et à 10 minutes de la fin, Tolisso tente une frappe à priori sans danger, mais Guzman n’est pas sûr dans sa prise de balle, et le ballon échoue sur le poteau avant de revenir vers le portier argentin. Gignac va manquer d’égaliser de façon acrobatique en tentant un retourné à la 83e minute, mais l’ancien lorientais ne peut toucher le ballon. Guzman qui enchaîne le très moyen, en sortant très hasardeusement à la 83e minute sur une remise de la tête de Salcedo, puis le très bon avec un double arrêt une minute plus tard, face à Costa récupérant une excellente remise de Choupo-Moting puis face à Kimmich sur la même action ! Et comme disait l’attaquant anglais Gary Lineker : « Le football est un sport simple : 22 hommes courent après un ballon pendant 90 minutes et à la fin, les Allemands gagnent », et cela se vérifie encore une fois ce soir, mais avec un Bayern qui est la seule équipe avec le Barça de 2010 à réussir le sextuplé après la Bundesliga, la Coupe d’Allemagne, la Ligue des Champions, et les Supercoupes d’Allemagne et d’Europe !! AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Bonjour à tous!
Voici le débrief concernant le 1/2 finale retour de Coupe d'Italie entre l'Inter Milan et la Juventus de Turin. Bonne écoute Wolfsbourg - Schalke 04 1-0 Weghorst 40e pour les Loups Le parcours, et la bulle d'oxygène pour Schalke s'arrête au 3e tour du DFB-Pokal. Les coéquipiers de Benjamin Stambouli se sont fait éliminer par des Loups qui ont trois fois plus tiré au but que leurs adversaires (17 frappes à 6 en faveur de Wolfsbourg), mais qui ont été peu précis (29% seulement, soit 5 tirs). La rencontre a basculé en faveur des locaux à la 40e minute, quand le brésilien WIlliam, tout juste arrivé à Schalke en provenance... de Wolfsbourg déséquilibre Schlager dans sa surface de réparation. Wout Weghorst se présente au point de pénalty. Le néerlandais frappe sur la gauche de Fährmann, le portier de Schalke repousse, mais le buteur local a bien suivi pour reprendre du gauche et donner un avantage aux siens, avantage qu'ils ne perdront plus. Schalke n'a plus qu'une mission commando, voire suicide pour essayer de se maintenir, tandis que les Loups continuent leur épopée. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A |
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