Bulgarie-Italie 0-2 Belotti (sp) 43e , Locatelli 82e pour l‘Italie L’Italie a fait tourner pour ce deuxième match de la semaine. Spinazzola, Acerbi, Sensi, Barella, Chiesa, et Belotti remplacent Emerson, Chiellini (rentré à Turin pour cause de blessure), Locatelli, Pellegrini, Immobile et Berardi. La Bulgarie a elle un espion infiltré, avec l’expérimenté Andrey Galabinov, qui a fait toute sa carrière professionnelle en Italie et qui évolue actuellement chez les promus de La Spezia. L’Italie va d’abord galérer à s’offrir des occasions franches, la faute à un bloc défensif bulgare compact à cinq derrière, et à un secteur offensif italien qui a beaucoup balancé soit à côté soit dans les gants du portier avant d’obtenir un pénalty à la 43e minute pour une faute de Dimov qui pousse Belotti dans la surface, et la sentence va être transformée par le même Gallo Andrea Belotti pour son 11e but en 32 rencontres. En seconde mi-temps, la Bulgarie se procure notamment une très grosse occasion à la 57 minute, lorsque Sensi tacle violemment son vis-à-vis dans sa propre surface, mais aucun pénalty n’est sifflé contre la Squadra Azzurra. Les azzurri vont doubler la mise à la 82e minute par Locatelli qui ouvre son compteur but en azzurro pour sa huitième cape. L’Italie s’impose pour son deuxième match de la semaine et s’impose avec un sixième clean sheet à l’extérieur, record dans l’histoire de la sélection italienne. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A
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Roumanie-Allemagne 0-1 Gnabry 16e pour le DFB L’Allemagne se présente en ce dimanche soir avec dix joueurs sur onze présents face à l’Islande dont ils ont disposé aisément 3-0 en milieu de semaine, avec Gnabry occupant la place de numéro 9 à la place de Timo Werner. On notera du côté roumain la présence du fils de la légende locale, Ionis Hagi, champion d’Ecosse avec les Glasgow Rangers, Claudiu Keseru, l’ex-nantais, ou encore Vlad Chiriches, le défenseur passé par Naples. À la 4e minute, Sané dribble depuis le flanc droit, il s’appuie sur Havertz qui talonne pour Can. L‘ancien de la Juventus enroule du droit depuis l’angle gauche de la surface mais ça frôle les montants de Nita. Havertz décale à la 9e minute Gnabry sur la droite de la surface, le milieu de Chelsea contrôle puis tente d’enrouler une frappe du droit, mais il bute sur Nita. À la 12e minute, un long ballon est lancé pour le jeune Mihaila, dont c’est la seconde cape avec les Tricolorii, mais le jeune roumain qui prend la charnière centrale de vitesse est devancé par Neuer. Et la Nationnalmannschaft va ouvrir le score à la 19e minute, quand Rüdiger effectue une superbe ouverture aérienne d’une trentaine de mètres pour Havertz sur l’aile droite, qui contrôle du gauche puis sert du droit Gnabry à ras du sol, et l’ailier du Bayern inscrit son 15e but en 19 matches d’un intérieur du droit dans les six mètres. Kimmich n’est pas loin de doubler la mise à la 19e minute, quand sa frappe de 25 mètres légèrement déviée va s’écraser sur la barre de Nita. Razvan Marin va à son tour essayer de provoquer le portier allemand à la 26e, mais le goal du Bayern s’interpose assez facilement. La 31e minute va voir Klostermann débouler côté droit et centrer pour Gnabry, mais l’ancien d’Hoffenheim va totalement manquer sa frappe et le ballon. L’Allemagne va finalement terminer sa première période en possédant le ballon, mais sans faire de gros pressing sur les cages roumaines. À la reprise, Sané va lancer Can sur le flanc gauche à la 49e minute, qui centre pour Goretzka. L monsieur muscle du Bayern contrôle et frappe du droit, mais Nita se couche sur sa gauche pour détourner la grosse occasion du bavarois. Les roumains se procurent tout de même des occasions, avec un centre détourné de la gauche par Ginter, et Tanase tente une première fois du droit et c’est repoussé par Neuer, la deuxième tentative, du gauche cette fois-ci passe largement au-dessus des cages de Neuer. Et Serge Gnabry qui récupère à la 57e minute, il claque un petit pont à un premier adversaire, sème un second en vitesse, il profite de l’appel de Havertz sur sa droite pour aller frapper du gauche à l’entrée des 18 mètres, mais Nita se détend parfaitement à gauche. Nita va s’employer sur l’action suivante en détournant une frappe de Gündogan sur une remise en retrait de Sané. Keseru va trouver les gants de Neuer d’une belle frappe du gauche en venant de l’aile droite à la 62e minute, et sur la contre-attaque, c’est Leroy Sané à qui il manque quelques centimètres pour dévier le centre venant de la gauche de Kai Havertz. Werner remplace son coéquipier à Chelsea Havertz à un quart d’heure de la fin, et il se montre à la 79e minute, en obligeant Nita à une belle parade en cherchant le petit filet opposé du droit. Puscas va avoir une superbe occasion à la 87e minute, sur une perte de balle dans le camp allemand. L’attaquant roumain va provoquer Rüdiger qui ne va pas sur lui, et le buteur roumain peut tenter une belle frappe du gauche mais ça atterrit dans les gants d’un Neuer vigilant. Les roumains auront encore une banderille à la 90e minute, avec un Sané qui veut remettre en retrait pour un coéquipier, mais c’est Stanciu qui hérite du ballon dans la surface allemande, et le milieu du Slavia Prague fait trembler les filets, mais de l’extérieur. Amin Younes va remplacer Leroy Sané au bout du temps additionnel, mais monsieur Bastien siffle la fin de la rencontre pour une deuxième victoire des hommes de Löw, moins sereine et nette que celle face à l’Islande, sur la plus petite des marges. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Italie –Irlande du Nord 2-0 Berardi 14e, Immobile 39e L’Italie se présente en 4-3-3 avec notamment Donnarumma dans les cages, les briscards Chiellini et Bonucci en défense, les parisiens Florenzi et Verratti à droite de la défense et au milieu, et le bomber Immobile devant. L’Italie ouvre le score au quart d’heure de jeu. Alessandro Florenzi alerte Domenico Berardi sur le flanc droit. Le joueur de Sassuolo rentre dans la surface et se met sur son pied gauche pour enrouler intérieur du pied et aller chercher le petit filet opposé. Ciro Immobile est l’autre italien le plus remuant dans les vingt premières minutes, avec plusieurs tentatives mais le buteur de la Lazio ne trouve pas le cadre. Et Ciro Immobile va trouver le chemin des filets à la 39e minute. Sur une contre-attaque, on va trouver Insigne à la sortie du rond central. Le napolitain va décaler Immobile sur l’aile gauche en une touche de balle. L’attaquant romain va y aller en puissance pour frapper du gauche depuis l’entrée de la surface au premier poteau, Peacock n’étant pas de tout reproche, ne gardant pas son poteau. Les nord-irlandais se réveillent et tentent de tromper la vigilance de Donnarumma, comme les occasions de Whyte à la 46e et à la 56e, puis de Smith dans la foulée, mais le goal du Milan AC veille au grain. Pellegrini va céder sa place à Barella à la 64e minute. Le feu follet de la Juve Federico Chiesa et Leonardo Spinazzola entrent en jeu pour Emerson et Berardi à la 75e minute. La Squadra Azzurra croit inscrire son 3e but à la 82e minute mais un hors-jeu empêche les transalpins d’aggraver le score, et Steven Davis voit son tir du droit à la 83e but stoppé par Donnarumma. Pessina le bergamasque ainsi que l’ « allemand » Vincenzo Grifo de Fribourg rentrent à la 84e minute pour Locatelli et Insigne. Les nord-irlandais tentent le tout pour le tout avec des frappes non-cadrées de McNair et d’Evans aux 88e et 89e minutes, les azzurri tentent d’aggraver le score par Spinazzola, Immobile et Chiesa en fin de rencontre mais le score restera de 2-0 pour les hommes de Mancini, invaincus depuis deux ans et demi et 23 matches. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Allemagne-Islande 3-0 Goretzka 2e, Havertz 7e, Gündogan 56e L’Allemagne a failli ne pas jouer cette rencontre avec Jonas Hofmann le joueur de Mönchengladbach qui a été touché par la Covid, Marcel Halstenberg qui était son camarade de chambre a été déclaré cas contact. Et les hommes de Joachim Löw n'ont pas de temps à perdre. Dès la 2e minute, Goretzka joue sur Kimmich, qui écarte sur le côté gauche sur Sané, c’est centré dans la boîte et mal dégagé par la défense islandaise. Kimmich récupère et sert Goretzka d’une louche par-dessus la ligne défensive. L’ancien de Schalke conclut de près du gauche. Et à la 7e minute, Gundogan récupère le cuir, Kimmich va trouver Sané sur l’aile gauche, qui remet en retrait par Havertz qui marque du gauche à ras de terre du gauche son 2e but en sélection. À la 26e minute, on a un ballon mal négocié par les allemands et Bodvarsson hérite d’un excellent ballon, mais la frappe de l’avant-centre islandais est déviée par Rüdiger et ça passe à ras du poteau gauche de Neuer. À la 35e minute, il y avait un chiffre qui démontrait la mainmise des allemands : 380 passes pour les allemands, 61 seulement pour les islandais !!! Et Kimmich va obliger Halldorsson à se détendre sur sa droite à la 42e minute, le corner de Kimmich va être repoussé, mais le couteau suisse du Bayern va récupérer le cuir pour centrer sur la tête de Rüdiger qui frôle le poteau droit de Halldorsson. Au retour des vestiaires, l’Allemagne continue sa marche en avant avec un troisième but signé Gundogan à la 56e, sur une frappe aux vingt mètres, Havertz est sur la trajectoire de la balle et dans le champ de vue du portier islandais mais la frappe du joueur de Manchester City n’est pas détourée par son compatriote et donc le but est accordé. Havertz fait trembler une nouvelle fois les filets à la 59e minute, mais le joueur de Chelsea est hors-jeu. Les islandais ne se laissent pas abattre et ont des occasions, notamment en passant par le côté gauche de Klostermann souvent dépassé, et Ingason, puis Gunnarsson font des misères au latéral allemand. Goretzka va chercher un une-deux avec Gündogan à la 67e pour aller tenter une frappe du droit, mais le portier du Valur Reykjavik se détend sur sa droite. Florian Neuhaus de Mönchengladbach va prendre la place de Goretzka à la 71e minute. Werner va rentrer à la place de Sané, ainsi que le très jeune Musiala qui avait joué avec les équipes de jeunes anglaises fête sa première cape va remplacer Leroy Sané à la 78e minute. Younes sera le dernier remplaçant allemand à entrer en jeu à quatre minutes de la fin du temps réglementaire pour Gnabry, et après une dernière occasion de Sigurdsson à l’entrée du temps additionnel, l’Allemagne commence ses qualifs pour le mondial 2022 par une victoire confortable. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Bayern Munich – Lazio Rome 2-1 Lewandowski 33e, Choupo-Moting 73e pour Munich, Parolo 82e pour les biancocelesti Après le franc succès du match aller à Rome 1-4 des bavarois, le Bayern accueille la Lazio pour finir le travail. La Lazio aura à cœur de ne pas faire les mêmes erreurs que lors du premier acte (mauvaise relance de Musacchio, erreur(s) de Patric). La plus grosse absence côté FCB est celle de Neuer remplacé par Alex Nübel, l’ancien de Schalke qui chauffe le banc mais qui joue ce mercredi son premier match de Ligue des Champions, ainsi que celle du canadien Davies, mais remplacé par le champion du monde Lucas Hernandez, les laziali se présentent sans Immobile, sans Lucas Leiva, sans Musacchio, ni Patric, les deux derniers cités payant peut-être leur mauvaise performance du match aller. La première alerte est à mettre au crédit de la Lazio, et pour Muriqi, mais la frappe du kosovar n’est pas cadrée. La première très grosse occasion est pour le Bayern et Leroy Sané à la 13e minute, quand l’ailier allemand repique de la droite vers l’axe pour enrouler du gauche, mais sa frappe frôle le poteau opposé de Reina. Le Bayern a la possession du ballon mais c’est pu efficace comme le démontre le simulacre de frappe que Sané lâche à la 27e minute, ça passe largement à côté des cages de Reina. Et à la 30e minute, sur un corner venant de la droite, Muriqi accroche Goretzka dans la surface, et l’ancien Schalker est déséquilibré. C’est évidemment Robert Lewandowski qui vient tromper Pepe Reina en tirant du droit sur la droite du goal espagnol, le prenant à contre-pied. À la 37e minute, Sané récupère le cuir sur une mauvaise relance laziale, il décale Kimmich mais la frappe du couteau suisse allemand est stoppée par la défense. Et à la pause, le Bayern mène 1-0 et a 4 buts d’avance sur les deux rencontres. Juste après la pause, alors que Boateng a cédé sa place à Süle, Lewandowski se retrouve devant Reina moins d’une minute après la reprise mais ne peut armer. A la 55e minute, sur un mauvais appui, Manuel Lazzari tombe sur sa main gauche, et se tord de douleur en se tenant la main gauche, il est remplacé par Marco Parolo. Lewandowski se retrouve tout seul à la 66e minute avec une action apportée sur l’aile gauche, avec Davies entré deux minutes auparavant pour Goretzka et Gnabry, mais la frappe du droit du polonais s’écrase sur la base du poteau droit de Reina ! Musiala remplace Müller, ainsi que Choupo-Moting qui prend la place de Lewandowski à vingt minutes du terme. La Lazio a une occasion de faire briller Alexander Nübel à la 72e minute, lorsque Correa est servi à la limite du hors-jeu, mais le portier bavarois se couche bien, et dans la foulée, Alaba monte aux avant-postes trouve Choupo-Moting. L’ancien parisien va ajuster Reina d’une balle piquée du droit pour doubler la mise. L’expérimenté Javi Martinez remplace Kimmich à un quart d’heure de la fin. À dix minutes de la fin, la Lazio obtient un coup franc à une trentaine de mètres des buts de Nübel, et Parolo se joue du marquage de Martinez et se trouve à la retombée du coup-franc tiré par Pereira pour placer une tête bien placée et qui passe entre les jambes de Nübel pour réduire le score. Les laziale se réveillent, un peu trop tard, mais se réveillent dans les dix dernières minutes. Sur un corner suite à un débordement sur l’aile droite, c’est Acerbi qui voit sa tête flirter avec la transversale de Nübel. À une minute de la fin du temps réglementaire, Sané va trouver une passe laser pour Gnabry côté gauche qui élimine quatre défenseurs, mais l’ancien d’Hoffenheim voit son tir du gauche dévié par Reina. Et le Bayern sort ainsi la dernière équipe italienne encore en lice en Ligue des champions, et le tenant du titre sera au rendez-vous des quarts de finale. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A Manchester City- Borussia Mönchengladbach 2-0 De Bruyne 12e, Gündogan 18e pour City Le match ne pourrait être plus déséquilibré, entre un Borussia qui a perdu 7 de ses 8 derniers matches, et un City qui reste sur 4 victoires sur ses cinq dernières parties. Les Citizen jouent ce huitième de finale sans avant-centre de formation, avec un Kevin de Bruyne en position de faux numéro 9, Jesus et Agüero étant sur le coup au coup d’envoi. Le suisse Breel Embolo et le français Marcus Thuram remplacent Kramer et Pléa, par rapport au match aller où les anglais s’étaient imposés 2-0 au Borussia-Park. La première occasion est à la 7e minute pour Man City, avec Cancelo qui lance Foden d’une balle aérienne en profondeur, le jeune anglais reprend acrobatiquement du gauche mais Sommer veille au grain. Le Borussia ne se laisse pas faire, et Embolo met Ederson à contribution à la 9e minute, quand la frappe en lucarne du Suisse oblige le portier brésilien à un arrêt réflexe. Et City ouvre le score à la 12e minute. Ryad Mahrez se défait de deux défenseurs de Gladbach avant de servir De Bruyne qui envoie une ENORME frappe du gauche depuis l’entrée de la surface, et ça va heurter le bas de la barre avant de rentrer ! Et dès la 18e minute, Foden s’emmène le ballon au centre du camp de Gladbach, avant de servir Gündogan qui contrôle et pique son ballon au-dessus d’un Sommer qui se couche assez vite pour inscrire son 3e but en Coupe d’Europe et le 101e but de City cette saison toutes compétitions confondues ! Sur l’engagement quasiment, Ginter va envoyer une très longue balle jusqu’à Hofmann qui va tromper la vigilance de la défense anglaise pour aller coller une frappe du droit trop croisée sur la droite de la surface de City pour inquiéter Ederson, le milieu allemand était de toute façon hors-jeu. Gündogan est à la finition d’un joli mouvement collectif à la 26e minute, mais Sommer est bien sorti et le milieu allemand n’arrive pas à reprendre le ballon en déséquilibre. À la 31e minute, Thuram récupère la balle sur le flanc gauche, rentre vers l‘axe t tente une frappe du droit depuis la gauche de la surface mais Ederson s’interpose. À la 34e minute, City bénéficie d’un bon coup franc dans l’axe à un peu plus de 20 mètres des buts, et De Bruyne oblige Sommer à s’envoler et dévier le ballon au-dessus de la barre. À la 40e minute, Marcus Thuram va passer en finesse sur le flanc gauche, avant de décaler pour Embolo sur sa gauche, le suisse fait le geste qu’il faut en croisant du gauche en première intention, mais c’est un chouia trop croisé pour tromper Ederson. Et à la pause, Mönchengladbach devrait marquer quatre fois pour se qualifier. À la 55e minute, on sort le premier carton pour Cancelo qui touche la cheville d’Embolo. À la 61e minute, on voit un coup franc près du poteau de corner tiré de la gauche directement sur les cages de Sommer mais celui-ci se saisit tranquillement du cuir. Pléa et Wolf remplacent Embolo et Thuram, tandis que Zinchenko et Fernandinho prennent les places de Rodri et Cancelo côté Skyblues. À la 67e minute, sur un corner joué à deux, Foden fait le spectacle avant de transmettre à Mahrez, dont la tentative va être détournée par Sommer. À la 77e minute, Hannes Wolf va tenter une belle frappe du gauche mais la praline du jeune autrichien passe juste au-dessus de la barre d’un Ederson battu sur ce coup-là. Le capitaine Lars Stindl va céder sa place à dix minutes de la fin à Ibrahima Traoré, ainsi que Tony Jantschke le défenseur formé au club et présent depuis 2008 qui prend la place d’Elvedi, tout comme le suédois Wendt qui remplace Bensebaini à la 88e minute. Les hommes de Pep Guardiola se qualifient donc aisément pour les quarts de finale de Ligue des Champions, tandis que les Fohlen de Rose doivent se ressaisir pour accrocher une place en Coupe d’Europe, eux qui sont à neuf points du 5e Dortmund. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A |
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