Aujourd'hui lundi avait eu lieu le tirage au sort des 32es de finale de cette Coupe de France.
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Real Madrid – Eintracht Francfort 2-0 Alaba 38e Benzema 65e pour le Real Qui va décrocher la Supercoupe d’Europe ? Est-ce que le conte de fées (et non le Conte de Foot, comme l’excellente chaîne Youtube du même nom) va continuer pour l’Eintracht ? Ou est-ce que le Real Madrid va asseoir sa domination sur le football continental ? Après le deuxième titre continental de l’histoire du club, et avant le départ (très probable) du meneur de jeu Filip Kostic, les allemands suivis par 8000 supporters seront présents à Helsinki. Die Launische Diva (la Diva capricieuse) a été invaincue la saison dernière en Coupe d’Europe, et ils viennent sans crainte défier le recordman de victoires de Ligue des Champions, le Real Madrid. On peut également noter que les deux équipes se sont déjà affrontées dans une finale européenne, en Ligue des Champions 1959-60, pour ce qui reste la finale la plus prolifique de l’histoire avec un 7-3 en faveur des espagnols. Les madrilènes peuvent en cas de victoire rattraper le Barça et le Milan avec cinq victoires, après 2022, 2014, 2016 et 2017. Carlo Ancelotti reconduit exactement le même onze que lors de la finale de Ligue des Champions remportée face à Liverpool, alors qu’Oliver Glasner a remplacé le serbe Filip Kostic en partance pour la Juve par le plus défensif Christopher Lenz. L’Eintracht a déjà commencé le championant ce weekend, en ramassant une raclée à six buts face au Bayern Munich, alors que le Real n’a pas encore repris le chemin de la Liga. En ce qui concerne les français ou joueurs passés par la Ligue 1, Karim Benzema et Ferland Mendy sont titulaires pour les Merengue, et ils sont quatre anciens pensionnaires du Championnat de France sur le banc, avec les français Tchouaméni et Camavinga, ainsi qu’Hazard passé par Lille et Mariano qui a joué à Lyon. Dans les rangs des Adler il y a quand même quatre joueurs passés par l’Hexagone, avec Ndicka formé à Auxerre, mais aussi le franco-malien Touré (ex-Monaco), l’allemand Trapp (ex-PSG) dans le onze de départ, plus Kolo Muani arrivé cet été de Nantes sur le banc. La première occasion est pour le Real, avec un corner concédé à la 7e minute, tiré par Kroos mais sans tête madrilène à la réception. Lindström a une superbe occasion sur une déviation de Borré à la 12e, mais le danois parti hors-jeu voit sa frappe du droit buter sur Courtois. Thibaut Courtois se fait voir une seconde fois à la 14e minute, lorsque Knauff trouve Kamada absolument tout seul sur la gauche de l’attaque allemande, mais le tir du japonais file droit sur le gardien belge ! Le Real accélère par à-coups, notamment avec Valverde à la 17e qui déboule sur l’aile droite, qui trouve Benzema dans l’axe, le français décale à l’entrée des 18 mètres pour Vinicius, mais Tuta vient tacler sur sa ligne pour éviter à son compatriote d’ouvrir le score ! On a un gros choc à la 27e entre Carvajal et Lenz, mais si l’espagnol se relève après quelques secondes, l’ancien de l’Union Berlin est resté sonné un peu plus longtemps. À la demi-heure de jeu, Francfort bénéficie d’un corner sur la droite, Kamada ne trouve cependant que la tête d’Alaba. Vinicius est sûrement le madrilène le plus dangereux de cette première période, avec une frappe bien détournée à la 37e, détournée par Trapp. Sur le corner qui suit, Benzema gagne son duel avec Sow, le ballon revient sur Alaba qui ouvre le score, Trapp ayant déserté sa cage. Sur l’engagement, Lenz va chercher Borré, mais le colombien ne peut tromper Courtois. Benzema est à deux doigts de doubler la mise à la 41e minute, quand il est à la réception de Kroos, mais le numéro 9 madrilène ne cadre pas. Et après avoir fait jeu égal pendant plus d’une demi-heure, l’Eintracht a flanché sur une banderille madrilène, et rentre menée sur le plus petit des scores. Kevin Trapp se rattrape quelque peu après sur un gros arrêt sur Vinicius à la 54e minute, suite à un centre de Mendy. Kolo Muani et Götze rentrent à la 57e minute pour Rode et Lindström. Valverde s’offre un tir en taclant à la 59e minute au terme d’une action avec Benzema, tout comme Casemiro qui voit son tir du gauche une minute plus tard s’écraser sur la barre. Mendy trouve une nouvelle fois Vinicius à la 65e sur le flanc gauche, le brésilien n’est pas attaqué et trouve KB9, qui trompe du droit un Trapp fébrile sur sa ligne. Modric laisse sa place à Rodrygo, alors qu’Almamy Touré est remplacé à 20 minutes de la fin par Alario. Autant Glasner jette toutes ses forces offensives dans la bataille, autant Ancelotti gère avec l’entrée de Camavinga pour Valverde à un quart d’heure de la fin. Le Real tente maintenant de loi, comme cette frappe de Kroos qui passe à côté des cages de Trapp à la 80e. Ancelotti fait trois derniers changements, avec Dani Ceballos, Antonio Rüdiger et Aurélien Tchouameni qui entrent pour Vinicius, Kroos et Carvajal. Lucas Alario vient prendre le premier jaune de la partie à la 91e minute, ce qui sera le dernier fait de jeu de la partie. Le Real a encore une fois été plus réaliste, plus clinique que son adversaire, et remporte sa 5e Supercoupe d’Europe, rattrapant le FC Barcelone et le Milan AC avec 5 titres. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus Juventus Turin- AC Fiorentina 2-0 Bernardeschi 32e Danilo 94e pour la Vecchia Signora Cette demi-finale oppose deux équipes qui ont un différend depuis les années 90s, et le transfert en 1990 d’un certain Ballon d’Or italien 1993 (R.Baggio). Mais il s’agit cette saison de bien plus. Il faut sauver la saison, du côté turinois, il s’agit de la dernière possibilité de décrocher un trophée, étant décroché en Serie A et éliminé par Villarreal en Ligue des Champions. Pour les toscans, la 6e place, synonyme de qualification en Europa Conference League n’est pas assurée, la Lazio luttant avec la Viola pour le dernier strapontin international. La Viola ne s’est imposée qu’à 3 fois en 20 rencontres. L’affiche oppose également le serbe Dusan Vlahovic, vice-meilleur buteur de Serie A à son ancien club, la Fiorentina, tout comme Federico Bernardeschi, passé par la Fio entre 2014 et 2017. D’autres ex-toscans pourraient rentrer en cours de partie, avec Juan Cuadrado, ayant joué sous la liquette mauve entre 2012 et 2015, ou l’iconique défenseur turinois Giorgio Chiellini, ayant débuté à Florence lors de la saison 2004-05. Matia Perin est titularisé dans les cages, et on peut noter une ligne de 4 plutôt… étonnante au milieu avec Rabiot, Zakaria, Danilo et Bernardeschi, préféré à de jeunes pousses comme Fabio Miretti par exemple. L’unique buteur (malheureux) du match aller Lorenzo Venuti est titularisé dans la défense florentine. Un français est également titulaire au coup d’envoi du côté Fiorentina, il s’agit de l’ex-lillois Jonathan Ikoné, qui n’est pas encore totalement intégré au système de Vincenzo Italiano, avec seulement 6 titularisations en 15 parties pour le joueur formé à Paris, qui a un but et deux assists depuis son transfert de l’autre côté des Alpes. La Fiorentina s’offre une première situation à la 2e minute, avec un De Ligt devant dégager un centre en corner, puis c’est Bonucci qui doit s’employer sur l’action qui suit. Cabral va contrer une frappe de Torreira qui a failli faire trembler les filets dès la 4e minute, mais une faute sur Perin est sifflée auparavant. Vlahovic trouve Morata dans l’axe sur un deux contre deux à la 8e minute, mais l’espagnol bute sur Dragowski. Ikoné va débouler à la 12e minute sur l’aile droite, mais Bonucci contre le français, et sur le contre, Morata sert Vlahovic, mais le serbe ne croise pas assez son tir du gauche pour tromper le gardien polonais de la Fio. Bonucci stoppe Saponara en l’accrochant à la 15e, mais le coup franc de Biraghi ne donne rien. Jonathan Ikoné tente une frappe du gauche à la 18e puis Torreira à la 20e, mais ça passe à côté des cages turinoises. Vlahovic trouve Morata d’une sublime talonnade à la 25e, mais l’espagnol est repris in extremis par Quarta. Vlahovic fait du mal à son ancien club, et il tente un piqué à la 28e mais Dragowski dévie de la main gauche. Mais la Juve maîtrise bien trop son sujet sur la première demi-heure, et à la 33e minute, sur un contre éclair, Morata centre depuis la gauche, Dragowski se manque sur sa sortie, c’est mal dégagé par Quarta et ça revient sur Bernardeschi qui reprend du gauche pour nettoyer la lucarne opposée! De Sciglio contre un centre de Biraghi, la Viola réclame un pénalty mais c’est la hanche de l’ex-lyonnais qui dévie le cuir après check de la VAR. Mattia Perin nous sort le grand jeu face à Cabral à la 40e, après que le brésilien arrivé de Bâle ait chipé le cuir à De Sciglio. De Sciglio vient mettre une semelle dans les arrêts de jeu à Saponara, et il sera suspendu pour la finale si la Juve se qualifie. La Fio pousse en fin de premier acte, mais la Juve est regroupée sur son but, et sur une remontée de balle de Rabiot sur 60 mètres, Bonucci claque la dernière banderille avant la pause, qui s’envole dans les travées de l’Allianz Stadium. Malgré une nette possession florentine (67e %), ce sont les turinois qui mènent. Lucas Torreira laisse sa place au marocain Sofyan Amrabat au retour sur le pré. Après quelques secondes seulement, Rabiot reste au sol, touché au nez. Mattia Perin est encore une fois impérial à la 50e minute, sur ce coup de boule contré d’Igor, le remplaçant de Szczesny sortant le cuir d’une manchette incroyable ! Zakaria est servi sur la droite de la surface toscane à la 55e par Vlahovic, mais le suisse va voir son tir du droit toucher le poteau de la Viola ! Danilo concède un corner à la 58e minute, Cabral reprend de la tête, mais ça s’envole loin au-dessus de la barre. Les mauves sont installés dans la moitié turinoise, mais ne parviennent pas à tromper la vigilance d’un Perin impassable sur la première heure de jeu. Riccardo Sottil remplace son homonyme Saponara à la 62e minute. Denis Zakaria offre un excellent coup franc à la 65e minute, après une faute plein axe, à un peu plus de 20 mètres. Cristiano Biraghi et son pied gauche voit sa tentative frôler les montants turinois ! Dybala dispute son 287e match en bianconero en entrant pour Morata à la 67e. Italiano tente un coup de poker en sortant Venuti pour Callejon. Rabiot retrouve le chemin des filets d’une belle frappe du gauche après 39 rencontres (et le 23 mai dernier) à la 69e, mais le français est hors-jeu de l’épaule gauche. Biraghi bouscule De Ligt dans sa surface à la 73e minute, mais aucun pénalty n’est sifflé. Zakaria va tenter une demi-volée à la 76e minute, mais le suisse est contré par Igor. Cabral va prendre le dessus sur De Ligt à la 78e minute, mais ce n’est pas cadré une fois de plus. Mattia De Sciglio sort à la 79e minute pour Juan Cuadrado, alors qu’Italiano fait rentrer Maleh et Piatek pour Duncan et Ikoné. Le buteur du soir, Bernardeschi laisse sa place au capitaine Giorgio Chiellini à la 82e minute, alors que Vlahovic laisse son poste à Moise Kean. Chiellini dégage un premier ballon quelques secondes après son entrée, il n’a même pas eu encore le temps d’ajuster son brassard qu’il est déjà à l’œuvre, l’emblématique numéro 3 piémontais ! De Ligt nous rappelle qu’il est néerlandais à la 85e avec un sombrero au-dessus d’un vis-à-vis avant d’enchaîner une volée dans le petit filet ! À l’approche des arrêts de jeu, tous les joueurs de champ des visiteurs sont dans le camp turinois, et à la 89e Amrabat place un plat du pied droit à l’entrée de la surface de la Juve, mais Perin se couche sereinement pour capter la balle. Et dans les ultimes secondes, Cuadrado maltraite Biraghi sur l’aile droite, avant de déposer le cuir dans les pieds d’un Danilo qui n’a plus qu’à pousser la balle dans le petit filet opposé pour entériner définitivement la qualification des bianconeri ! Les coéquipiers de Chiellini tenteront le 11 mai face à l’Inter Milan de décrocher une 15e Coupe d’Italie, la 6e en huit ans. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus Hamburger SV -SC Freiburg 1-3 Glatzel 88e pour le HSV, Petersen 11e, Höfler 17e, Grifo 35e (sp) Entre un géant endormi en 2e division (6 championnats, 2 Coupe d'Europe, 3 Pokal) , et un "petit" qui vise les sommets cette saison, on attendait une belle bataille. Finalement, de bataille il n'y en eut que peu. Les hommes de Christian Streich n'ont pas fait le déplacement de la Forêt Noire jusqu'au Volksparkstadion pour rien. C'est d'abord l'inusable Nils Petersen qui ouvre le score à la 11e minute, sur une frappe de Höfler mal repoussée par Heuer, que le meilleur buteur du SCF reprend de la tête aux six mètres. Six minutes plus tard, Höfler trouve le chemin des filets d'une frappe déviée depuis l'entrée de la surface par une cuisse hanséatique. Nico Schlotterbeck va obtenir un pénalty à dix minutes de la pause, et Vincenzo Grifo se charge de croiser son tir du droit. Glatzel sauvera l'honneur d'un beau but de la tête enfin d partie, mais c'est le SC Freiburg qui disputera le 21 mai la première finale de son histoire soit face au RB Leipzig soit face à l'Union Berlin, qui s'affronte ce mercredi soir. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus Roma-Lazio 3-0 Abraham 2e 22e Pellegrini 40e pour la Louve Un derby, ça ne se joue pas, ça se gagne, surtout quand l’adversaire est juste devant (ou derrière) au classement. Après les déclarations marquantes de Mourinho sur Sarri, le derby de la Ville éternelle voit deux des meilleurs buteurs cette saison s’affronter, Ciro Immobile co-meilleur buteur avec Vlahovic et ses 21 buts face à l’ex-blue de Chelsea Tammy Abraham et ses 13 buts en Serie A. Le match aller (suivi depuis le stade par votre serviteur) avait débouché sur un 3-2 pour la Lazio. La Roma s’offre un premier frisson, qui va se transformer en joie, quand sur le premier corner giallorosso, le capitaine Lorenzo Pellegrini trouve les poings de Strakosha qui repousse sur Abraham qui dévie de la cuisse au second poteau pour inscrire son 14e but en championnat. Il est le 2e anglais à scorer dans un derby après Paul Gascoigne en novembre 1992, sous le maillot des biancocelesti pour l’ancien de Newcastle et Tottenham. L’anglais va s’offrir un doublé à la 22e minute, quand sur un bon décalage de Mkhitaryan pour Karsdorp sur le flanc droit, le néerlandais centre fort au second poteau pour l’anglais qui reprend de volée du droit pour le 15e but de l’attaquant romain ! Et le 3e but est un chef d’œuvre à la 40e minute. Sur un coup franc à 25 mètres, Pellegrini va catapulter le cuir en pleine lucarne ! Mkhitaryan va même voir sa frappe déviée par Acerbi à la 42e atterrir sur la transversale de Strakosha ! Sarri va devoir trouver une solution miracle pour remotiver ses ouailles en seconde période. Aucun changement ni pour Sarri ni pour Mourhino on repart avec les mêmes pour le second acte. Abraham est à deux doigts de s’offrir un triplé à la 66e mais l’anglais ouvre trop son pied. La Lazio a un excellent coup franc à dix minutes du terme à 20 mètres des cages de Rui Patricio, mais la tentative de Cataldi s’envole. L’ancien nantais Jordan Veretout, qui a perdu sa place de titulaire depuis le match aller, remplace Sergio Oliveira à dix minutes du terme. Le capitaine Pellegrini a le droit à son ovation à la 87e, et c’est le jeune Edoardo Bove qui fait son entrée. Une dernière accélération de Pedro à la 91e va obliger Rui Patricio à se coucher au premier poteau. La Roma tient sa vengeance du match aller, et s’impose pour le derby de la phase retour. Les giallorossi reprennent la 5e place, synonyme de qualification en phase de groupe d’Europa League, à leurs frères ennemis. La Lazio n’aura jamais trouvé la faille pour tromper Rui Patricio et l’arrière-garde romanista, et glisse à la 6e place, qui pourra être menacée lors de la prochaine journée par l’Atalanta et la Fiorentina, respectivement à un et deux points des hommes de Sarri. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus AC Fiorentina – Juventus Turin 0-1 Venuti (csc) 91e pour la Juve Il reste un adversaire pour arriver en finale. Que ce soit pour la Juve qui peut ainsi sauver sa saison avec un titre, ou pour la Viola, qui en plus de se venger d’un ennemi qu’elle méprise depuis les 90’s, et qui lui pique ses meilleurs éléments depuis quelques saisons (Bernardeschi, Chiesa, Vlahovic) pourrait remplir une armoire à trophées qui n’a plus servie depuis 2001 (sans compter le titre de champion de 3e div en 2003), il s’agit d’arriver au boss final, qui sera une équipe de Milan. On notera qu’on a de nouveau une myriade de blessés côté juventino, dont Chiellini, Dybala ou Chiesa alors que seuls Matija Nastasic et Lucas Martinez sont les seuls absents pour la Viola. Les vingt premières minutes voient la Juve dominer, mais de façon stérile ne parvenant pas à s’approcher des cages turinoises. La première mi-temps voit les hommes d’Italiano dominer, mais ils ne trouvent pas la précision suffisante pour tromper la vigilance d’un Perin vigilant. La seconde période, où l’on voit le jeune Aké remplacé par Cuadrado après la pause ainsi que Venuti pour Odriozola pour la Viola, se réveille quelque peu en début de seconde période notamment avec un tir de Vlahovic enfin trouvé dans une position de tir jouable à la 56e, mais la frappe du gauche du serbe est détournée par Terraciano. Moïse Kean, qui n’a rien ouvert ce soir, ni la mer en deux, ni le score est remplacé à l’heure de jeu par Morata. Sottil ainsi que le nouvel arrivant Cabral rentrent à la 65e pour Saponara et Piatek, alors que Cuadrado trouve le petit filet à la 77e minute. Et alors qu’on se dirige vers les prolongations, la Juve va placer un coup de poignard dans les arrêts de jeu ! Rabiot sur le flanc droit va trouver Cuadrado, qui va adresser un centre au ras du sol tendu, et c’est Venuti qui, en voulant le dégager, va le détourner dans ses propres filets ! La Juve recevra donc la Viola à Turin avec un avantage d’un but au match retour, fin avril, sans avoir été vraiment dangereuse sur cette première manche. Les coéquipiers de Jonathan Ikoné peuvent se mordre les doigts de ne pas avoir été plus précis dans le dernier geste (21 tirs à 6 pour les Toscans) et devront marquer à deux reprises sans encaisser de but pour voir la finale. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus Juventus Turin –US Sassuolo 2-1 Dybala 3e Tressoldi (csc) 88e pour la Vecchia Signora, Traoré 23e pour Sassuolo Les Turinois recevaient Sassuolo pour les quarts de finale de Coppa Italia. Lors du tour précédent, les Neroverdi se sont imposés à domicile face à Cagliari, tandis que la Vecchia Signora s’est qualifiée face à la Sampdoria Gênes. La Juventus voit toujours quelques uns de ses cadres sur le flanc, comme les deux Federico, Chiesa et Bernardeschi, ainsi que le capitaine Giorgio Chiellini et l’attaquant Moïse Kean. Les deux recrues Denis Zakaria et Dusan Vlahovic sont titulaires au coup d’envoi, et on peut remarquer les présences du colombien Juan Cuadrado et de l’américain Weston McKennie sur les ailes. Sassuolo affiche un effectif au complet, dont l’ex-marseillais Maxime Lopez dans l’entrejeu. La Juve va vite prendre l’avantage. Dès la 3e minute, Alex Sandro est décalé sur le flanc gauche. Le latéral brésilien remet en retrait pour McKennie dont la frappe est manquée. La balle rebondit jusqu’à Dybala qui ajuste Pegolo d’une belle frappe du gauche ! Sassuolo ne se laisse pas faire et Berardi obtient une bonne situation à la 7e minute, mais il est contré in extremis par un De Ligt venu tacler au premier poteau. Berardi se procure encore un bon spot à la 12e minute, mais Perin, titularisé pour Szczesny dans les cages turinoises, se couche bien sur sa gauche pour détourner en corner. Sassuolo est offensif et Kyriakopoulos envoie une grosse frappe du gauche à la 16e minute, bien détournée par Perin. Et à force de pousser, La Juventus défend en reculant, et laisse Junior Traoré s’offrir un slalom depuis la gauche dans la surface avant de conclure d’un joli enroulé dans la lucarne de Perin. McKennie va claquer une belle tête sur un centre d’Alex Sandro, mais Pegolo vigilant va se coucher sur sa droite, pour choper le cuir au ras du poteau. Vlahovic va être lancé à la 36e minute d’un très long ballon aérien dans l’axe, mais le serbe, qui tente du droit, bute sur Pegolo venu lui boucher l’angle. La Juventus va avoir une nouvelle chance de reprendre l’avantage, mais Sandro ne reprend pas le ballon comme il faut à la 41e minute. Et c’est coude-à-coude que les deux équipes rentrent aux vestiaires. Sassuolo repart pied au plancher en seconde période, et Scamacca fait déjà passer un frisson dans les travées quand sa tête à la 47e frôle la barre de Perin. Cuadrado va trouver le crâne de De Ligt, mais la belle tête croisée du hollandais est sauvée sur la ligne par une jambe adverse. Scamacca est le danger principal du côté des Neroverdi grâce à son jeu de tête comme à la 53e minute. Et quand c’est pas le gardien, c’est l’aluminium qui empêche McKennie à la 55e de scorer, sur un superbe tir du droit. De Ligt va smasher une tête à la 58 alors qu’Henrique et Defrel remplacent Berardi et le buteur Traoré. Locatelli et Morata font eux leurs entrées à la 60e pour Zakaria et De Sciglio. Arthur laisse sa place à Rabiot pour les vingt dernières minutes. Les bianconeri poussent à l’entrée des vingt dernières minutes, mais ni Morata après un une-deux avec Vlahovic ni McKennie de la tête ne parviennent à scorer, l’américain trouvant cette fois le poteau à la 73e minute !! Morata est à deux doigts de marquer à la 75e minute, mais ce sont deux doigts de la main gauche du goal adverse qui lui barrent la route du 2-1 ! Rabiot va à son tour tenter de tromper Pegolo d’une tête lobée à 10 minutes de la fin, mais le goal de Sassuolo se détend une nouvelle fois pour sortir une superbe parade ! Mais la lumière va venir à la 88e minute. Alors qu’on pensait déjà aux prolongations, Vlahovic part sur l’aile gauche, rentre dans l’axe en se débarrassant d’un défenseur, il longe la ligne de but avant de revenir sur son pied droit, sa frappe est déviée, et ça finit dans les cages de Pegolo !!! Deux changements sont effectués dans les dernières secondes avant les arrêts de jeu avec le norvégien Ceide qui remplace Lopez pour Sassuolo et Kaio Jorge qui remplace Vlahovic. Au final, la Juventus se qualifie pour les demi-finales où ils retrouveront la Fiorentina. Vlahovic crucifiera-t-il son ancien club pour envoyer son nouveau club en finale? Il faudra lire le prochain article pour le savoir ! AuteurCamille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus HORS ACTU MERCATO :
- Aucun problème physique pour Bastoni qui a quitté l'équipe nationale aujourd'hui ! Mancini a donné l'opportunité au défenseur de l'Inter d'être avec sa fille qui vient de naître il y a quelques jours. (RUMEURS) - Le FC Bayern dépassé Inter Milan dans la course pour Matthias Ginter de Borussia Mönchengladbach comme remplaçant de Niklas Sule (qui refuse pour l'instant de prolonger son contrat au Bayern). Süle est en pole position avec Chelsea, suivi de Barcelone et enfin de Juventus - Début avril, L'inter prévoit de BOUCLER le renouvellement de Skriniar (expire en 2023) jusqu'en 2026 avec un ajustement du salaire à 4,5M€/an. - Malgré l'arrivée de Gosens, Perisic se verra proposer un renouvellement de contrat. Perisic veut rester à l'Inter, mais les demandes ne se rencontrent pas et la discussion pour le renouvellement est bloquée. Ivan demande beaucoup, il y aura un sommet avec les directeurs pour reparler de la situation. (EN COURS D'OFFICIALISATION) - C'est fait pour Gosens à l'Inter pour 22 millions plus les bonus. (prêt avec option d’achat obligatoire de 25M) Aussi fait pour Caicedo : prêt de 5 mois. D'ici ce soir Robin Gosens sera officiellement un joueur de l'Inter : deal global entre 25 et 27 millions, bonus compris. Prêt avec option d'achat obligatoire sous certaines conditions après 18 mois, en juin 2023. D'ici ce soir Gosens à Milan pour les visites médicales. FC Sankt Pauli –Borussia Dortmund 2-1 Amenyido 4e Witsel (csc) 40e pour Pauli, Haaland 55e pour le BVB Le premier de Bundesliga 2 recevait ce mardi soir le dauphin en Bundesliga 1 du Bayern Munich. Dans leur antre du Millerntor, les Paulaner (rien à voir avec la bière) devaient affronter Haaland, Reus, et l’armada des Schwarzgelben. Ils auront évidemment l’appui de leur bruyant public, un des plus bouillants d’Allemagne. Du côté des locaux, le danger est un ex-Schalker en la présence de l’autrichien Guido Burgstaller qui devait faire vibrer le port de Hambourg. Le BVB est plutôt attentiste, et à la 4e minute, sur un bon travail côté droit, le togolais Ameniydo récupère le cuir en marchant un peu dessus sur son contrôle avant de conclure du droit ! Hazard est trouvé en profondeur à la 7e, mais même en s’y prenant à deux fois, le belge bute sur un Smarsch vigilant ! Le BVB a une belle situation à la 15e minute, mais Marco Reus, le capitaine du BVB ne peut frapper correctement le cuir et il ne peut trouver qu’un corner, qui ne donnera rien. Smarsch fait échouer Reus à la 16e, puis ça ne smarsch pas non plus pour Hazard à la 18e. Le BVB pousse et Haaland tombe encore sur un bon Smarsch à la 20e minute, le portier des locaux s’imposant face au norvégien. Les Pirates tentent même de doubler la mise à la 27e par Hartel, mais le joueur formé à Köln voit sa frappe échouer au ras du poteau gauche de Kobel. Pauli a un temps fort à l’approche de la demi-heure de jeu, bien aidé par les approximations défensives des joueurs de la Ruhr, à l’image d’un Akanji complètement à côté de ses pompes. L’engagement et les efforts sont présents pour Sankt Pauli , mais manque de justesse, ils ont du mal à trouver le cadre de Kobel. Mais à force de volonté, les Pirates vont doubler la mise, et Burgstaller , servi sur l’aile droite à la 40e minute , va centrer dans la surface jaune et noire et c’est le belge Axel Witsel qui va dévier dans son propre but en taclant! Et Sankt Pauli continue à pousser en seconde période, comme avec Burgstaller, qui claque une bonne tête à la 53e minute, et qui oblige Kobel à sortir une grosse parade sur son poteau gauche, puis sur une frappe du gauche qui atterrit dans le petit filet de Kobel ! A la 55e minute, Hummels monté aux avant-postes, va vouloir centrer mais Medic dévie le centre du bras, et ça fait pénalty pour Dortmund, que transforme Haaland pour son 22e but de la saison ttc. Malen remplace Hazard à la 67e minute, et le néerlandais se met tout de suite en lumière, avec une belle occasion détournée par Smarsch. Le togolais Ameniydo et le suédois Ohlsson sortent à la 74e minute, le second perclu de crampes, remplacés respectivement par Dittgen et Zander alors que le français formé au PSG Zagadou prend la place d’un Akanji peu en verve ce soir. Youssoufa Moukoko rentre à la 89e minute pourWitslalors que Burgstaller est remplacé à l’entrée du temps additionnel par Makienok. Et sur un dernier dégagement de Kobel, et un entre-deux suite à un ballon touché par l’arbitre, après le leader de l’élite allemande sorti au tour précédent, c’est son dauphin qui se fait lui aussi sortir par un Zweitligist, à coup d’efforts et de solidarité dans son chaudron du Millerntor ! AuteurCamille Franciosi, #Camouf, @CamilFranciosi, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Juventus Bonsoir à tous et surtout bonne année 2022!
Petit florilège d'informations concernant l'Inter Milan. - Info Covid 19 : La ligue a décidé de ne PAS reporter les matchs prévus ce jeudi 6 janvier 2022 dans un contexte d'épidémie de COVID-19 dans plusieurs clubs. EDIT 20:25 : Bologna - Inter est annulé ! Les autorités sanitaires ont interdit aux joueurs de Bologna (où il y a un foyer de cas positifs) de se réunir ! Le match est donc reporté à date inconnue. RUMEURS : - Handanovic pourrait rester à l'Inter et prolonger son contrat d'un an. Il serait la doublure d'Onana, et devrait réduire son salaire de 3,5M€ à 1,5-2M€. Les pourparlers sont en cours. - Gros derby sur le mercato. Le raid de l'Inter pour Onana. Le gardien de l'avenir est pris. Kolo Muani sprinte vers le Milan. - L'échange entre Villar et Vecino n'est pas d'actualité. - D'ambrosio, au sujet d'une récente interview d'un ancien coéquipier évoluant (Ndlr: En quelque sorte) maintenant en Angleterre, il plaisante: "Qui ? Jorginho ??" "Sérieusement, concernant Romelu je peux dire que quiconque dit ce qu'il pense, dans les mots se trouvent des conséquences." "Pour nous hier c'est le passé et demain c'est le futur. Seul le présent compte. Seul le présent de l'Inter compte." - La situation de l'Inter dans le dossier Julian Alvarez : L'agent du joueur est attendu à Milan pour tenter d'avoir un accord. Un transfert à United est très peu probable (Rumeurs créées pour susciter l'intérêt d'autres clubs. - Vlahovic n'exclut pas de rester en Italie : la Juve est dessus mais avec des départs de Sanchez et Vidal, l'Inter pourrait rentrer dans la course. - Selon la Gazzeta Dello Sport, si aucune discussion n'a encore eu lieu entre DeVrij et l'Inter, c'est en raison d'une possible vente de ce dernier afin d'en tirer un bon prix. - Simone Inzaghi est le Coach du mois de décembre de la Série A TIM |
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Janvier 2024
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