Borussia Mönchengladbach- Manchester City Normalement, Manchester City, et son équipe d’All-Stars devrait passer, et avec la meilleure défense de phase de groupe (UN SEUL BUT !) mais attention aux Poulains entraînes par Marco Rose, qui ont finis deuxième dans un groupe composé du Real Madrid, de l’Inter Milan et du Shaktar Donetsk, tenant tête en phase aller aux espagnols et aux italiens, et avec un bilan de 10-0 sur les deux confrontations contre les Ukrainiens, notamment grâce à leur duo de Franzose devant, Pléa (auteur de 5 buts) et Thuram. Lazio Rome- Bayern Munich Le gros tirage pour les Laziale qui se sont qualifiés difficilement, en piquant la deuxième place aux belges du FC Bruges lors de la dernière journée. Ils seront face à un des épouvantails de la Coupe d’Europe, le Bayern Munich qui a décroché 16 points sur 18 (nul contre l’Atletico), et la meilleure attaque de la phase de groupe, avec 18 buts marqués. Il faudra compter sur Ciro Immobile pour la Lazio, auteur de 5 buts en 4 matches. Atletico Madrid- FC Chelsea Les Colchoneros ont terminé seconds de leur groupe derrière les intouchables bavarois. Mais or le fait de n’avoir décroché qu’un point face au Bayern, c’est plutôt les deux matches nuls face au Lokomotiv Moscou qui paraissent intrigants pour une équipe voulant faire partie du gratin européen. Surtout face à des londoniens qui ont certes fait match nul au début et à la fin de la phase de poules, mais qui en a collé 4 à Krasnodar et à Séville à l’extérieur, et qui ont fini avec 14 points et la deuxième meilleure défense (2 buts encaissés) RB Leipzig- FC Liverpool Leipzig a un point commun avec l’Atletico Madrid : ils sont les deux seuls qualifiés à être passés en ayant une différence de buts particulière. Les hommes du wunderkind du banc Julian Nagelsmann voudront rééditer la performance de l’an dernier, quand ils ont été en demi-finales de C1 pour la première fois de l’histoire du club, malgré leur qualification lors de la dernière journée en s’imposant face à Manchester United. Ils devront faire face à des sextuples champions d’Europe, qui voudront peut-être rendre hommage à Gérard Houillier décédé ce 14 décembre, et qui ont finis premier avec un accident de parcours contre l’Atalanta et un nul contre Midtjylland. FC Porto- Juventus Turin Le FC Porto paraît sur le papier être un excellent tirage pour les coéquipiers de Cristiano Ronaldo, mais on parle d’une équipe n’ayant perdu qu’un match sur six (l’aller contre Manchester City), et étant meilleur deuxième ex-aequo avec les étonnants sévillans derrière le FC Barcelone. Le problème, c’est qu’ils jouent contre l’équipe qui a fini devant les catalans. La Juventus qui a fini première de son groupe à la différence de buts particulière (grâce à la victoire 3-0 au match retour), et on voit mal Cristiano Ronaldo, formé au Sporting et rentrant au pays pour la double confrontation ne pas au mieux briller dans une Juve dominant son sujet, au pire porter la Vieille Dame sur ses épaules si les hommes d’Andrea Pirlo bafouillent leur football. FC Barcelone- Paris Saint-Germain Vaincre, exorciser les fantômes de la Remontada. Tel doit être l’état d’esprit de Marquinhos, Marco Verratti et de tout le club parisien au moment d’affronter les Catalans. Quel Barcelone sera face au PSG en février ? Celui actuel plus que moyen en championnat qui peine à mettre un pied devant l’autre, ou celui qui a collé une démonstration à la Juventus Turin lors de la 2e journée de phase de poules ? Et surtout comment croire qu’une équipe puisse finir second de groupe avec 15 points sur 18, ce qui est plus que 5 premiers d’autres groupes ? Mais Paris qui s’est fait peur avec deux défaites lors des trois premiers matches n’est plus le Paris de 2017. Il a gagné en maturité, a une ossature (et surtout un gardien) de top niveau, et a goûté à la saveur d’une finale de Ligue des Champions pour la première de son histoire (et à une finale de coupe d’Europe pour la première fois depuis 24 ans). Est-ce que Barcelone est dangereux ? Oui, ne serait-ce que par Lionel Messi, qui reste un joueur qui peut décider à tout moment, dans n’importe quel match de débloquer la situation. Est-ce que Paris doit avoir peur ? Non, Paris a grandi, et à l’instar du slogan qui est clamé à tout va depuis l’arrivée de QSI Paris doit rêver plus grand. FC Séville- Borussia Dortmund Séville, l’exemple type de l’équipe compliquée à jouer. Une équipe emmenée par l’ancien marseillais Lucas Ocampos, qui s’est inclinée une seule fois (sévèrement 4-0 contre Chelsea), mais qui n’a que très rarement flanchée, avec quatre victoires sur six. Ils auront comme adversaires les Schwarzgelben qui ne seront plus entraînés par Lucien Favre, remercié ce dimanche par le club de la Ruhr. Est-ce qu’ils auront un Erling Haaland en pleine forme, le norvégien étant absent jusqu’à courant janvier minimum ? Cela serait souhaitable pour l’escouade de Marco Reus, car l’ancien de Salzburg est co-meilleur buteur avec 6 buts en 4 matches, des réalisations qui ont grandement permis aux allemands de finir premiers du groupe, avec 4 victoires en 6 matches. Atalanta Bergame- Real Madrid La révélation (avec Leipzig) de la saison dernière contre le recordman de C1 remportées. L’insouciance face à l’expérience. On peut difficilement faire deux équipes plus éloignées que les coéquipiers de Papu Gomez et ceux de Sergio Ramos. Le Real Madrid arrive à finir premier avec deux défaites contre le Shaktar Donetsk et un nul (décroché miraculeusement contre Mönchengladbach, étant mené à la 85e minute). C’est surtout grâce aux deux victoires face à l’Inter Milan que les Merengue se sont qualifiés, et sur un match joué à l’expérience face aux allemands lors de la dernière journée que Benzema et sa team se sont hissés en huitièmes. Leurs adversaires bergamasques ne sont plus à prendre à la légère, avec un seul gros craquage, le 5-0 encaissé à domicile par Liverpool lors de la 3e journée. Ils sont capables aussi de maîtriser ces mêmes Reds à Anfield, ou de s’imposer à Amsterdam face à l’Ajax. La clique coachée par Gasperini aura envie de refaire le même coup que l’an dernier en hissant en quarts de finale, où ils échouèrent de très peu face à Paris, avec un but de Choupo-Moting dans les ultimes secondes. AuteurCamille Franciosi, #Camouf, aka Papy Football, amoureux du foot des années 1990/2000, de la Juventus Turin, mûri en fût grenat à Saint-Symphorien et spectateur assidu de la Bundesliga et de la Serie A
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