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Le Racing grand gagnant de cette journée

7/5/2023

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34e journée de Ligue 1 

FC Nantes 0-2 RC Strasbourg

Buteurs : Diallo (27') et Diarra (47') pour le Racing

Avant match : Dans un match où on pourrait dire malheur au perdant, le FC Nantes en grand danger et battu mercredi en Ligue 1 à Brest (2-0) accueillent des strasbourgeois pas mieux en ce moment et tout aussi en danger sur cette fin de saison. Les nantais se doivent de prendre les devants s'ils ne veulent pas voir la Beaujoire se retourner contre eux 

Première période : Dans une Beaujoire accueillante les deux équipes, la Brigade Loire avait pour seul mot d'ordre " C'est le moment ou jamais de nous sortir du brouillard " . Le coup d'envoi retardé dû au manque de visibilité suite à l'utilisation d'engins pyrotechnique était donné par les nantais. Ce sont les locaux qui se lancent immédiatement vers l'attaque et Mohamed trouvé par Ganago buta sur Sels (1') et Blas derrière ne pouvait pas assurer. Comme à chaque 9e minute à la Beaujoire le chant en hommage a E. Sala résonne. Dans un début de match à l'avantage des nantais, les strasbourgeois à l'initiative de Diarra tente un centre mais Diallo trop court ne peut pas mettre sa tête (12'). 
Ganago sur son côté gauche à la 19e se permettait un débordement dégagé en corner par les strasbourgeois. Sur ce corner, la défense bleue se cafouille un peu et Mohamed frappe mais celle ci s'envole au dessus du but de Sels (20').
Sur une récupération de Diarra au milieu de terrain il peut s'approcher de la surface nantaise mais sa frappe s'envole loin du but de Lafont (21'). 
​Ganago lancé en profondeur par Moutoussamy et légèrement bousculé ne peut assurer sa frappe qui s'envole également dans la tribune Loire (24')
Sur un corner nantais c'est Girotto qui met sa tête mais bien captée par Sels (24'), dans la continuité Sels relance trés vite et c'est Sanson qui rate son duel face à Lafont (25'). Toujours dans le fil de l'action Castelleto fait faute dans la surface nantaise et Mr Bastien n'a pas d'autre choix que de siffler penalty pour le Racing. Diallo ne se posait aucune question et transforme son duel en l'ouverture du score (0-1) à la 26e. Dans la surface nantaise une nouvelle occasion avec Diarra qui pouvait transmettre pour Diallo mais cette fois c'est Lafont qui remporte son duel (29'). La réaction nantaise ne se fait pas trop attendre et Merlin dans la surface strasbourgeoise centra, plusieurs nantais ne pouvaient pas reprendre à part Centonze qui n'assurait pas et frappa au dessus (32'). 
​Sur un coup franc strasbourgeois de Saison il réussit à trouver Djiku qui essaie de remettre mais c'est Lafont qui s'oppose, la défense nantaise a du mal mais réussit malgré tout à se dégager (45'+1') Bellegarde auteur d'un geste magnifique sur Pallois peut sur le côté droit centrer mais personne pour reprendre (45'+2').
​L'arbitre après 3 minutes de temps additionnel pouvait siffler cette mi-temps en faveur des strasbourgeois avec ce but d'avance et des sifflets de la Beaujoire.

​Deuxième période : Dans une deuxième période où les nantais se devaient de changer des choses, Kombouaré procéda aux remplacements de Joao Victor et Centonze remplacés par Mollet et Coco (46')
Les strasbourgeois qui n'en n'avaient que faire de ses changements repartaient vers l'avant et Sanson qui contrait une relance qui trouva Diallo qui lui même trouva Diarra pouvait ajuster tranquillement Lafont et permettre aux strasbourgeois de mener 2-0 (47')
​Les nantais sonnés tentèrent par Mollet sur coup de pied arrêté de repartir à l'attaque mais son coup franc était stoppé par Sels (49'). Mollet encore lui et trés remuant depuis son entrée n'assurait pas sa frappe qui se logea dans les bras de Sels (56')
​Alors que la Beaujoire commençait à se retourner contre ses joueurs ce sont Delort et Hadjam qui remplaçaient Mohamed et Merlin (60') . Les strasbourgeois qui pouvaient se montrer dangereux par Bellegarde à la lutte avec Pallois dans la surface semblait déséquilibré mais l'arbitre ne siffla rien (64') . C'est finalement sur coup franc que le FC Nantes essaie de se montrer dangereux avec Mollet qui pouvait trouver Delort mais ce dernier trop court voyait l'arbitre signaler un hors jeu (68').
Rapporté par l'homme de terrain d'Amazon on assistait à des scènes bizarre sur le banc nantais avec Joao Victor sorti à la pause et revenu habillé en civil semblait plus actif avec son téléphone que sur sa première mi-temps. 
​Dans un stade devenu totalement silencieux et un brin chambreur envers son équipe Ludovic Blas sortait remplacé juste avant le dernier quart d'heure par M. Simon (75')
​Dans un nouveau moment d'attaque nantaise c'est Mollet qui obtenait un énième corner mais aucun danger dans la surface strasbourgeoise (85'). Mollet certainement le meilleur des jaunes cet après midi reprenant un centre de Castelleto mais sa tête passa à côté du but de Sels (86'). 
Après 8 minutes de temps additionnel Mr Bastien siffla la fin de ce match et permet donc aux strasbourgeois de faire la bonne opération dans le bas de classement au vu des résultats et se hisse à la 14e place et d'envoyer des nantais un peu plus au bord du précipice

Auteur

Alexis 

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Toulouse, la vie en rose

29/4/2023

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Finale de la coupe de France

FC Nantes 1-5 Toulouse FC

Buteurs : L. Blas (75') pour les jaunes et verts ; L. Costa (4' et 10') Dallinga ( 23' et 31') et Aboukhlal (79') pour le TFC

Pour cette 106e édition la de coupe de France ce sont le FC Nantes et le Toulouse Football Club qui se donnent rendez-vous pour cette finale. Vainqueurs l'année passée face aux niçois le FCN espère conserver son trophée et inscrire son nom une 5e fois au palmarès. Concernant le TFC, promu en Ligue 1 cette saison ils réalisent une saison honorable avec une 12e place actuelle. Cette finale au Stade de France est la première de l'histoire du club toulousain.

​21H00, après le coup d'envoi de l'arbitre ce sont les joueurs de Montanier qui prennent le meilleur des départs avec l'ouverture du score de Logan Costa dès la quatrième minute et qui enflamma la tribune toulousaine déjà bien chaude en cette journée qui s'annonce historique. Aucune réaction côté nantais et même pire, c'est encore Logan Costa une nouvelle fois qui doubla le score en faveur des toulousains à la dixième minute. Complètement sonnés les jaunes et verts essayent de réagir mais Suazo, le latéral gauche toulousain sauve cette tentative sur sa ligne. Aussi incroyable que cela puisse paraitre le TFC retourna de l'avant et Dallinga donna encore plus d'ampleur au score en inscrivant un troisième but à la 22e minute. Alors que le Stade de France, la tribune toulousaine et le Capitole s'enflammèrent et chantèrent à la gloire de leur club, aucune réaction ne provenait de la part des nantais complètement K.O et qui en plus encaissèrent un quatrième but toujours inscrit par Dallinga comme un clin d'oeil à la 31e minute. Tout souriait au club toulousain en cette première période avec un score historique et une avance de quatre buts en faveur des Violets qui jouent en blanc ce soir.

Se devant de faire tout simplement mieux et dès la reprise A. Kombouaré procède à trois changements côté nantais avec les entrées de Delort, Ganago et Moutoussamy. Malgré un début de seconde période un peu à l'avantage des nantais c'est Delort de la tête mais celle-ci passa au dessus de la transversale (53'). A l'attaque, les nantais se créèrent une nouvelle occasion par Sissoko mais sa volée ne trouva pas le cadre (57'). Côté toulousain, ça faisait rentrer du sang neuf avec la sortie d'un des héros de la soirée Dallinga et Dejaegere remplacés par Onaiwu et Sierro (68'). 
Alors qu'on entamait le dernier quart d'heure, Mr Millot siffla un penalty en faveur des nantais. Ludovic Blas transforma (75') mais c'était déjà bien trop tard car quatre minutes plus tard Aboukhlal d'une frappe monstrueuse (79') trompa pour la cinquième fois un Alban Lafont complètement désabusé comme des milliers de nantais ce soir. 

​Après une minute de temps additionnel Mr Millot pouvait libérer un club, une ville et une place qui pouvaient se préparer à fêter une journée historique avec ce score mérité. 
Quant au FC Nantes des jours compliqués s'annoncent avec cette finale à oublier pour se concentrer pour sauver sa place en Ligue 1 et ça commence dès mercredi avec un déplacement à Brest. 

​Toulouse qui remporte sa première coupe de France devrait donc disputer la Coupe d'Europe la saison prochaine malgré les anomalies avec RedBird propriétaire du Milan AC et du TFC.

Auteur

Alexis qui ne trouve pas de mots à cette victoire des violets 

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Lyon prend les ren(n)es du match grâce à ses anciens

9/4/2023

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Dimanche 9 Avril 2023
Lyon 3-1 Rennes 
Buteurs : Tolisso 60', Lacazette 68' et Barcola 79' pour les lyonnais et Gouiri 12' pour les bretons

Dans un Groupama Stadium très clairsemé et surtout boycotté par les Bad Gones 87, l'Olympique Lyonnais recevait le stade Rennais en ce week end pascal. A six points de son adversaire de l'après midi, les hommes de Blanc qui ont vu les espoirs de se qualifier pour l'Europe mercredi à Nantes via la CDF s'envoler se doivent de s'imposer pour espérer jouer le jeudi soir l'an prochain. Malgré une irrégularité, les bretons eux veulent réussir cette étape vers la coupe d'Europe.

​Résumé de la 1ere mi-temps 

1' C'est parti à Lyon sous les sifflets des supporters lyonnais
2' Centre de Meling côté gauche pour Bourigeaud qui frappe ! La défense lyonnaise se dégage comme elle peut
7' Combinaison rennaise sur coup franc, Kalimuendo servi se voit contré ! Le corner ne donne rien 
12' Perte de balle de Barcola contré par Gouiri qui peut servir Kalimuendo qui remet de suite pour Gouiri qui se régale et bat Lopes d'un tir sous la barre ! Les rennais ouvrent le score
16' Coup-franc de Bourigeaud au dessus du but de Lopes
18' La tête de Lukeba qui n'inquiète pas Alemdar qui remplace Mandanda 
22' Preuve que rien ne va à Lyon, Tagliafico dégage sur Diomandé qui remet sur Bourigeaud ! Sa frappe finit dans le petit filet
23' Frappe de Kalimuendo arrêtée par Lopes qui maintient l'OL à flots
26' Frappe de Santamaria une nouvelle fois stoppée par Lopes ! L'OL est proche de la rupture
31' Quand ça veut pas ! Ça veut pas ! Tagliafico servi par Lacazette ne peut pas contrôler et les rennais s'en sortent
40' Coup franc de Lacazette dans le mur rennais, sur le contre Kalimuendo frappe à côté
45' Mi-temps et les sifflets sont toujours présents


Résumé 2e période 
58' Lacazette semble bousculé dans la surface rennaise mais l'arbitre avec l'aide de la VAR ne siffle rien
60' Quel but !!! Quelle frappe de Tolisso !!! A 30 mètres le milieu déclenche une frappe énorme qui trompe Alemdar et égalise pour les Gones
​68' Reprise manquée de Lepenant qui finit en centre pour Lacazette qui à la limite du hors-jeu bat Alemdar pour permettre aux lyonnais de prendre l'avantage 2-1
​77' La tête de Lukeba pas assez appuyée mais un hors-jeu est sifflé 
79' Cherki dans la surface réussit 2/3 grigris peut servir Barcola qui réussit à ajuster Alemdar et donner deux buts d'avance aux Rhône-alpins 
88' La reprise de Bourigeaud à côté du but de Lopes 
90' 3 minutes sont rajoutées au temps additionnel 
90'+1' Coup franc de Bourigeaud qui est boxé des 2 poings par Lopes 
90'+3' C'est terminé pour cette rencontre et les sifflets se transforment en légers applaudissements 

Auteur

Alexis suiveur moyennement assidu de la Ligue 1 depuis la descente des girondins

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Le Mandandassico

18/9/2022

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Olympique de Marseille - Stade Rennais 

L’OM a à cœur de gagner avant la trêve et de continuer son sans faute en Ligue 1 pour relever la tête suite aux mauvais résultats en LDC, Rennes souhaite lancer sa saison et qui reste sur le nul face au Fener’ jeudi. Le retour de Mandanda au Vélodrome, voilà le contexte de ce match. 

Lors des 10 premières minutes ce sont les Rennais les plus dangereux en obtenant beaucoup de corner et jouant avec un bloc très haut.

27’min, l’OM ne voit pas le jour, le milieu de terrain est mangé, les olympiens sont trop loin du porteur du ballon, manque d'agressivité, le pressing est désordonné. 
Traoré déborde, centre et par un coup de flipper le ballon rebondit sur Guendouzi et But du Stade Rennais c’est mérité. 

Je ne vois pas comment l’OM va s’en sortir avec un double pivot si nul au football lorsqu’il faut relancer et créer le danger, un numéro 10 comme Harit incapable d’attaquer son ballon ou de réussir son contrôle. 

Tudor doit vite changer son milieu, un pivot composé de Guendouzi et Gerson avec devant eux Ünder accompagné de Payet ou Harit pour servir Sanchez/Suarez/Dieng serait plus adapté pour jouer au football comme une équipe professionnelle. 

Les deux équipes repartent aux vestiaires sur le score de 1-0 pour les visiteurs.

Au retour des vestiaires, les intentions sont tout autres, l’OM surpasse les hommes de Genesio. Les marseillais parviennent même à égaliser à la 51’par Guendouzi premier poteau sur un corner tiré par Veretout. 1 but partout. 

L’OM continue de pousser, Tavares martyrise son homologue rennais, et quand l’OM passe par le côté droit, Guendouzi montre à Truffert qu’il n’a pas le niveau nécessaire pour lui prendre le ballon. 

Mais ce n’est pas suffisant, bien que la défense rennaise soit au bord de la rupture, seuls les changements peuvent amener au point de non retour. Mais Tudor, comme son nom l’indique, ronfle sur le banc. Malheureusement il se réveille et sort Guendouzi le meilleur joueur offensif que l’OM avait sur le terrain. Cengiz Ünder rentre trop tard ce match qu’il aurait dû commencé, Clauss est gardé sur le terrain alors qu’il est nul et semble cramé physiquement. Le double pivot de boxeur est toujours présent .Bref. Que de mauvais choix qui perdureront jusqu’à la fin du match. Pape Gueye sera même préféré à Gerson lors d’une nouvelle phase de changement alors que la victoire était accessible, Payet à encore une fois réalisé une entrée digne des plus grands centres de tourisme. 

Le stade Rennais de Genesio est absolument insuffisant. l’équipe bretonne a eu en tout et pour tout 3 occasions franches. Malgré des joueurs tels que Gouiri (qui à passé son match dans la poche de Balerdi) Majer, Kalimuendo, Sulemana, Doué et Doku. 
Un nul qui semble satisfaire tout le monde avant la trêve, malheureusement on reste sur notre faim. 
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Le rocher déguste le champagne

18/9/2022

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Stade de Reims - As Monaco

​Avant le match les locaux sont 16èmes avec 6 points et les visiteurs sont 9èmes avec 11 points. Deux équipes qui cherchent à remonter au classement pour retrouver des ambitions qui sont les leurs, notamment les joueurs d’Oscar Garcia qui sont en danger lors de cette saison à quatre descentes.
Oscar Garcia a choisi d’aligner un 3/4/1/2 pour bien contenir les latéraux monégasque tout en gardant le buteur japonais Ito et le gunners Balogun qui réalisent un très bon début de saison, avec derrière eux Arber Zeneli pour dicter le jeu. Monaco aligne son 4/4/2 habituel depuis des années. Matazo accompagne Fofana qui vient d'être appelé en EDF par Didier Deschamps tout comme Badiashile titulaire également en défense centrale. Akliouche milieu gauche, Golovin côté droit. Aguilar préféré à Vanderson et Ben Yedder avec Embolo en pointe. Lors des 10 premières minutes, les rémois poussent et pressent très haut dans le camp monégasque sans jamais réellement inquiéter Nübel. Aguilar est contraint de laisser sa place à Vanderson dès la 11’min, l’international français se plaint du pied. Les hommes d’Oscar Garcia laissent le ballon aux joueurs de Philippe Clément tout en pressant haut dès que possible et mettent le feu grâce à Ito et Balogun. Puis à la 21’min, sur une relance Locko va toucher le mollet de Breel Embolo involontairement car c’est dans le geste de frappe. Le plus frustrant c’est le fait que l’arbitre ne voit pas l’action, il arrête le jeu car Embolo est au sol mais sans aller voir la VAR ou connaître l’état de l’attaquant suisse, l'arbitre novice du championnat de France décide de sortir un carton rouge et s’entête dans sa décision qui est prise contre le football. L’erreur vient de l’homme en jaune qui se comportant comme un gendarme vient mettre un carton jaune au coach rémois. Une pensée pour Jean-Pierre Caillot suspendu jusqu’à fin décembre suite à son coup de gueule après le match contre Lyon, Reims avait injustement été sanctionné d’un carton rouge la ou l’OL en avait esquivé un de par Maxence Caqueret. Suite au carton rouge, le cours du match n’est plus le même, les rémois sont obligés de subir les vagues monégasques tout en reprenant parfois le ballon et se montrant dangereux notamment sur la frappe de Munetsi à la 31’min bien arrêté par le gardien allemand. 5 cartons jaune et 1rouge. Tout le monde rentre aux vestiaires. A noter qu’Amazon Prime nous apprend que le coordinateur sportif rémois a pris un carton rouge pour contestation lors du retour aux vestiaires de l’arbitre. Aguilar est de retour sur le banc des visiteurs, malheureusement équipé de béquilles. Deux changements avant de reprendre le match, Camara remplace Matazo au milieu de terrain et Arber Zeneli cède sa place à Diakité. Le match reprend, Reims est acculé dans leur camp, 10 joueurs de Monaco avec. But ! A la 47'min, Disasi réalise un centre incroyable pour Golovin qui reprend ce ballon d’une tête plongeante. Quelques minutes après le but, Garcia réagit en faisant entrer Cajuste à la place de Maxime Busi. Monaco virtuel 5ème du championnat tient le ballon avec 70% de possession avec peu de rythme. Les rémois font ce qu’ils peuvent tant le club du rocher semble avoir déjà fait le nécessaire dans ce match. Clément fait entrer Minamino pour Golovin et Gelson Martins pour Akliouche en espérant enfoncer le clou. Les occasions s'enchaînent pour Monaco mais ça ne veut pas, les locaux se défendent bien et passent même tout près de l’égalisation via Gravillon qui ne parvient pas à cadrer. Jusqu’à la 87’min, Embolo lance Minamino qui n’a plus qu'à crucifier le jeune Diouf et se remettre en confiance juste avant la trêve avec le Japon. 3min plus tard, contre attaque mené par Minamino encore qui sert Ben Yedder qui n’a plus qu'à battre DIouf à son tour pour le but du 3-0

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L'été Olympiens

28/7/2022

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Que se passe-t-il à l’OM ? Sampaoli part, Tudor arrive 3 jours après avec un staff jugés décevant, les recrues ne sont pas convaincantes pour la TeamOM, le hashtag #McCourtOUT prend de l’ampleur et Longoria est critiqué.

Voyons cela de plus près. 

Juin 2022, l’OM met un temps fou pour passer l’examen du gendarme de la finance française : la DNCG. Les supporters s’impatientent grâce notamment à des faux journalistes comme Vézirian qui depuis 2020 gagne sa vie en inventant, mentant sur une supposée vente à des investisseurs saoudien. d’après lui un communiqué officiel est en relecture pour annoncer la vente. Problème ! Cela fait 2ans qu’il a annoncé cela et toujours rien. 

Une fois l’OM passé et validé par la DNCG, tout le monde s’attend à ce que l’OM enchaîne les recrues comme l’an passé afin de préparer la nouvelle saison du mieux possible. Mais il n’est rien, au contraire, seulement quelques jours après le retour des joueurs à l'entraînement, Jorge Sampaoli démissionne. Il annoncera ne pas être sur la même longueur d’ondes que les dirigeants en termes d’ambitions. 

Twitter s’affole. Rien ne pouvait pressentir ce départ. Aucune source ne l’annonçait. Longoria accompagné de Javier Ribalta, arrivé en Juin en tant que Directeur du football se présente face à la presse. Mauvaise idée… Oui il fallait communiquer sur ce départ mais pas comme cela, 30min avant le début de la conf de presse on apprend que cela se déroulera en rediffusion car l’OM ne souhaite pas être en direct. On retiendra que Sampaoli part suivi de son staff sans aucune indemnité. Chose rare aujourd’hui dans le monde du football. Longoria, président de l'Olympique de Marseille, annonce que le successeur de l’ancien sélectionneur de l’Argentine et du Chili arrivera dès lundi.

La poudre s’enflamme. La Team aigris/pessimiste se réjouit car ils demandent la tête du Samp' depuis Octobre malgré la demi-finale de conférence ligue et la deuxième place en championnat synonyme de qualification direct en LDC et gain d’argent extrêmement vital pour la santé financière du club. Puis étant donné qu’ils n’aiment l’OM uniquement quand il est en crise, ils s’en prennent encore au coach sortant car d’après eux il abandonne le club comme un lâche. 
   Une bénédiction pour les pro ventes qui annoncent que c’est le signe d’un rachat lunaire étant faux. Les rumeurs commencent, certains annoncent l'arrivée de De Zerbi qui à une position spécial étant le coach du Shakhtar Donetsk et l’horrible conflit se jouant sur le sol ukrainien. Le journal La Provence va dans ce sens. Puis la vieille histoire sur l’amitié entre Marcelino et Longoria resurgit. Mais c’est le nom d’Igor Tudor qui ressort le plus, jusqu’à l’officialisation que l’ancien joueur croates va s’asseoir sur le banc olympien. 

C’est repartie, la team pessimiste est de retour, Tudor va se faire détruire dû à son cv de coach et le staff qui le suit jugés de seconde division. Les gens demandent le départ de Longoria et McCourt a cause de ce choix, sauf qu'ils n'ont jamais accepté aucune décision, même celles faisant preuves de réussites. Après avoir demandé son départ depuis des mois, ils vont se mettre à pleurer la démission du Samp’. Ce qui montre qu’ils n’ont aucune légitimité et changent d’avis comme de slip, comme un certain Thibaud Vézirian qui le matin du départ de Sampaoli annonce en vidéo qu' aucun départ n’est à prévoir et qu’aucune de ses sources ne vont dans ce sens. Le soir même dans une nouvelle vidéo il dira :” Et voilà comme je vous l’annonçait ce matin, Jorge Sampaoli à quitté l’OM.” Encore une preuve que ce type est une immense fraude et un piètre journaliste. 

On apprendra par l’équipe que le coach argentin a demandé à Longoria de signer Griezmann et Renato Sanches ainsi que de garder Saliba et de prolonger Boubacar Kamara. 

Tudor reprend le groupe pour la prépa, accompagné de Camoranesi, célèbre joueur de la Juve. En conférence de presse, Igor Tudor présente l’ancien joueur italien comme son bras droit. Ce dernier quitte l’OM quelques jours plus tard une fois son poste d’adjoint par intérim terminé. 
  Personne ne comprend ce manque de clarification sur ce qu’il ce passe en interne et cela inquiète.

Les matchs amicaux commencent le 13/07 contre Marignane Gignac. Victoire 4-1, logique et rien à relevé lors de cette rencontre. 

Le 16/07 contre Norwich, une victoire facile semble arrivée. Défait 3-0 l’OM de Tudor à était pitoyable. Rien à retenir de ce match à part la colère des réseaux sociaux qui pestent contre ce résultat honteux. 
Puis une défaite 2-0 contre Middlesbrough. Encore une fois, l'équipe est inoffensive, ne montre aucun visage, aucun principe de jeu. De quoi faire monter la mayonnaise auprès des supporters. Bamba Dieng qui inscrit un triplé contre Marignane ne rentre même pas en jeu alors que l’attaque n’a pas conclu face à deux équipes de deuxième division anglaise. 

Les performances d’Isaak Touré sont remarquables, en effet le défenseur en provenance de Le Havre surprend. Il est juste contrairement à des joueurs comme Duje Caleta Car qui rate absolument tout ce qu’il entreprend. 

L’OM signe Rùben Blanco, Jonathan Clauss, Chancel MBemba et Luis Suarez pour compléter le groupe lors du voyage en terre anglaise mais ce n’est pas suffisant pour la team pessimiste qui s'attendait sûrement à l'arrivée de Paulo Dybala. Certains affirmant même qu’avec Jorge Sampaoli l’OM aurait eu une chance de signer “la Joya”. 

27 Juillet l’OM affronte le Bétis Séville, on ne s’attendait à rien et nous sommes quand même déçu. Score final 1-1, l’OM n’a pas impressionné. La gestion de Bamba Dieng provoque énormément de sel. Tant le jeune champion d’Afrique est largement préféré à Milik et Bakambu qui ne mettent plus un pied devant l'autre depuis plusieurs mois alors que la pépite de Diambars est appréciée et promet une grande saison s’il venait à rester. Mais aucune minute de jeu depuis 3 matchs, 1 seul but lors de ses 3 mêmes matchs, et d’après un journal qui tente par tous les moyens de déstabiliser le club, la direction pousse par la sortie Bamba Dieng afin de récupérer quelques liquidités tant demander par Frank McCourt.

C’est pour cela que Luan Pères arrivé l’été dernier pour 4,5M d’euros est vendu pour 5 M à destination du Fenerbahçe. Dans le même temps, Nuno Tavares, latéral gauche d’Arsenal arrive en prêt sec pour le remplacer. 

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Une victoire qui donne de l'air

11/4/2022

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10 avril 2022, Stade Orange Vélodrome. L’Olympique de Marseille reçoit le Montpellier Hérault pour le compte de la 31’ journée de Ligue 1. 

9’min. L’OM laisse le ballon aux joueurs de Dall’Oglio, jusqu’au décalage de Rongier dans le dos de la défense pour Amine Harit seul sans hors-jeu, l’international marocain résiste au duel dans la surface et à la lucidité de donner ce ballon à Bamba Dieng seul au deuxième poteau et trompe Omlin. 
Deux grosses actions pour Montpellier qui réagissent à l’ouverture du score olympienne. C’est bien repoussé, jusqu’à la 17’min. Gerson trouve Dieng dans la surface, l’attaquant sénégalais s’écroule sur un tacle par derrière, l’arbitre ne siffle pas, et va attendre un arrêt de jeu pour utiliser la Var. Stinat se dirige vers l’écran en bord de terrain et sans aucun doute siffle logiquement le penalty tiré par Cengiz Ünder, 2-0 pour les hommes de Sampaoli en ce début de match. 

25’min, les pailladins sont éteint, L’OM reprend le ballon et dicte son football, cela faisait longtemps que les joueurs de l’olympique n’avait pas joués comme ça 
Dieng en contre attaque à la possibilité de tuer ce match, il est seul face au gardien mais le pauvre joue en timberland et pousse trop loin son ballon et le donne au portier adverse. 

Les deux équipes se regardent, les joueurs de Dall’Oglio tentent des centres mais rien de dangereux puisqu'ils ne trouvent personne. 
Au retour des vestiaires, Kamara rate sa passe dans la surface et offre ce ballon a Téji Savanier qui va trouver le petit filet au premier poteau, Gueye tacle mais la Var ne trouve pas d’obstruction. Il faisait chaud devant le but de Mandanda. 
L’OM gère son avance, Montpellier ne trouve pas la solution, Le staff du club pailladins fait entrer Cabella et Germain tandis que le coach argentin fait entrer Payet et Luis Henrique, les deux joueurs devraient jouer le quart de final retour en Grèce jeudi.

69’min sur une sortie de balle extraordinaire d’Amine Harit, Luis Henrique est lancé côtés droit et repique dans l’axe, il est percuté de plein fouet par Leroy a l’entré de la surface, le milieu Héraultais qui vient d’être avertis il y a peu pour une béquille sur Harit qui ne portait pas le ballon dans le rond central. Aurait du écoper d’un deuxième jaune synonyme de rouge ! Mais Jérémy Stinat qui était juste devant l’action n’a pas sifflé et n’a pas semblé intéressé par l’état de santé de l’ailier brésilien puisque c’est Rémy Cabella. L’ancien marseillais qui décide de sortir le ballon alors qu’une contre attaque était possible pour son équipe. 
85’min, il faut reconnaître que le match de kamara, Gerson et Harit sont à montrer dans toutes les écoles de foot. L’OM se rassure et montre de belles choses en prévision de son quart de final retour ce jeudi face au PAOK, en Grèce, malheureusement Kamara Gerson Dieng et Sampaoli sont suspendu, Jorge Désio prendre la place sur la touche et devra faire sans 3 joueurs titulaires ce soir dont 2 joueurs très important dans l’équilibre de l’équipe ! 

90’Min CARTON ROUGE POUR MONTPELLIER !  Luis Henrique lancé par Payet seul face à Jonas Omlin se fait tacler à l'entrée de la surface par le gardien, Stinat l’arbitre du match sort la biscotte rouge.  Bertaud prend place dans le but visiteur. Mais le coup-franc ne donnera rien, les deux équipes se laissent sur ce score de 2-0 pour les olympiens qui sont mtn tournée  Pendant ce temps, Sampaoli offre la première au vel au jeune Selim Ben Seghir. 
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Le coup-franc ne donnera rien, Payet le tire loin au dessus, les deux équipes se laissent sur le score de 2-0, L’OM reste sur 7 victoires consécutives toutes compétitions confondues et distances ses adversaires au podium, Nice se trouve désormais à 8 points, Strasbourg à 7 et garde Rennes à 3 points avant d’affronter Paris au parc des princes dimanche prochain. 
Payet ayant pu se reposer ce soir sera attendu tout comme Harit, Ünder Rongier et Milik qui n’ont pas joué les derniers matchs à 100% depuis la trêve. 

   
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Un coup tactique et puis s’en vont

15/2/2022

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Dimanche 13 Février, veille de la Saint-Valentin.

Les Grenats du F.C Metz reçoivent les Olympiens de l’Olympique de Marseille pour clôturer la 24ème journée du championnat de Ligue 1. 

Le 19ème de Ligue 1 doit affronter sur sa nouvelle pelouse changée récemment à cause de l’état catastrophique de l’ancienne, le seul deuxième suite à l’échec niçois plus tôt dans le week-end au Groupama Stadium 2-0. 

Vous l’aurez compris, ce match est sans doute capital pour les deux équipes tant l’OM cherche à se séparer de l’OGC Nice et prendre la deuxième place. Tandis que les messins, eux, doivent à tout prix gagné afin d'éloigner les bordelais qui ont perdu quelques heures avant 3-2 face au R.C Lens; mais ne pas se retrouver largué par l’ASSE de Pascal Dupraz qui eux ont gagné leur rencontre du week-end 2-1 à Clermont. 

Deux équipes de part et d’autre du classement qui potentiellement jouaient leurs saisons l’un contre l’autre. Ce dimanche à 20h45 sur les antennes de Prime Vidéo. Dans l’avant match, Sampaoli et Longoria se succèdent aux micro du diffuseur prioritaire du pays. Le président marseillais vient s’expliquer sur le cas Alvaro Gonzalez, qui plus tôt dans la semaine à exprimer son ressenti sur sa situation et pousser le premier coup de gueule du vestiaire envers le coach argentin. Il reproche notamment d’avoir était mise au placard peu de temps après avoir prolongé malgré son effort salarial permettant en aout dernier de finaliser le prêt d’Amine Harit. Poussé vers la sortie cet hiver par le club, on apprendra finalement que c’est son agent qui aurait mandaté le jeune président espagnol afin de trouver un point de chute à son client. Ce dernier devrait être sanctionné d’après la Provence suite à un rendez-vous programmé cette semaine entre Longoria, Alvaro et son agent. 

Puis Jorge Sampaoli vient expliquer ses choix de joueurs et de dispositif suite à la sortie de sa compo qui fait parler. En effet tout le monde attendait la présence d’Arek Milik à la pointe de l’équipe au vu de sa forme actuelle. Où encore celles de Kolasinac qui à était présenté comme la doublure de Luan Peres rester dans le sud pour se reposer physiquement et la titularisation de Cengiz Ünder sur le côté droit de l’attaque. 

Rien de tout ça. L’OM va se présenter avec un dispositif inédit : 3/2/3/2. Avec le retour dans le 11 de Pape Gueye et Bamba Dieng suite à leurs sacrent avec le Sénégal vainqueur de la Coupe d’Afrique des Nations. Bakambu de nouveau aligné, deuxième fois de suite en ligue 1 depuis son retour en France. Lirola qui n’a pas beaucoup joués Mercredi face à Nice va prendre le couloir droit ainsi que Boubacar Kamara qui était suspendu signe son retour. 


Antonetti, lui, récupère Kouyaté et Sarr de retour également de la CAN. Le premier est titulaire au milieu de la défense à 5, Sarr va débuter sur le banc. Caillard préféré à Oukidja 
Mafouta est seul en pointe dans ce 5/4/1, Boulaya couloir gauche. Sur le banc la puissance de feu est présente. Hormis Sarr, il y a également Opa N’Guette et Ibrahima Niane qui rentreront plus tard dans le match. 

Le match commence très fort, dès la 5ème minute Bamba Dieng croise trop sa frappe à la suite d’un mouvement collectif de haut niveau. Les Olympiens avaient l’occasion de prendre le dessus rapidement mais ça ne sera pas pour maintenant. 

6’min, les messins semblent partir en contre quand l’arbitre de la rencontre Eric Wattellier siffle une faute sur Bamba Dieng lors de la récupération du ballon. 

L’OM possède le ballon comme on pouvait s’y attendre mais font face à un groupe grenats bien en place, jusqu’à la percée dans l’axe de Matteo Guendouzi repris par Vincent Pajot sans faute qui sauve sûrement son équipe d’un premier but marseillais à la 8’min. 

9’min et la réponse messines ne se fait pas attendre, Thomas Delaine bien servi par Farid Boulaya dévisse totalement son ballon mais sonne une première alerte dans le camp Olympiens. Puis à la 14’min, Delaine encore lui, dans la surface va rater son contrôle et laisser le ballon fuir en six mètres. Le 19ème de Ligue 1 n’est pas du tout impressionné par son adversaire du soir et le montre bien.

17’ puis 18’ l’OM à l’occasion de s’illustrer sur coup de pied arrêté mais son capitaine Dimitri Payet se rate complètement et gâche des munitions qui auraient pu casser les esprits grenats. 

20’min MAFOUTA ! L’attaquant qui découvre le monde professionnel à 29 ans et tout proche d’ouvrir la marque suite à un ballon fuyant dans le dos de Caleta Car; Il est gêné par la sortie de Pau Lopez, ça passe tout près encore une fois ! 

23’min. Les marseillais poussent devant la cage de Marc-Aurel Caillard avec deux corner, malheureusement ils sont tirés par Payet qui se rate complètement sur les deux. 

25’min, tournant du match. Sur un corner tiré à ras de terre par le réunionnais. Panique dans la défense messine. Gerson frappe au but et va voir sa frappe déviée par un messin en corner, de la main ou de la cuisse on ne sait pas. Certains plans semblent montrer une main grenat dans la surface, la VAR intervient et indique à l’arbitre de la rencontre qu’il y a bien corner. Les joueurs de Sampaoli ne sont pas du même avis et le font savoir. 
  Payet retire le corner et trouve parfaitement Saliba vers le second poteau qui ajuste une tête stoppé par la main de Bronn. L’arbitre ne siffle pas et cela profite à Bakagoal qui va tacler la balle au fond des filets pour ouvrir le score. BUT 1-0. 
  Selon moi, l'arbitre aurait dû siffler penalty car la trajectoire du ballon est clairement impacté par la main du défenseur.

Suite à ce but, un court répit dans cette première mi-temps avec une frappe sans danger de Lirola avant de repartir en fanfare dans la surface de Lopez, en effet Boulaya est servi enchaîne mais pas assez vite ce qui permet à William Saliba d’intervenir et contrer ce ballon en corner. 
  Partout il y a des débiles et ce soir, en tribune on n'échappe pas à la règle, un supporter lance un briquet sur la pelouse, le speaker est contraint de faire une annonce générale sinon le match ne reprend pas. 
33’min  L’annonce faite, Boulaya tire le corner, repoussé par la défense et départ en contre mené par Pol Lirola qui va trouver Guendouzi sur l’aile droite et va déposé un ballon à la limite du hors jeu pour Bamba Dieng qui est très présent dans ce match, malheureusement pour le champion d’Afrique, Caillard repousse cette bombe frappé par l’attaquant marseillais. 

Les hommes d’Antonetti ne rechignent pas à l’effort et ne veulent pas s’avouer vaincu, sur un corner à la 37’min Ibrahim Amadou gagne son duel contre Pape Gueye, le portier espagnol capte cette tête sur sa ligne. Depuis l’ouverture du score le F.C Metz se montre entreprenant et met l’OM en difficulté en cette fin de mi-temps. 

Puis 45’min Gueye tout proche d’enfoncer le clou juste avant le quart d’heure de pause. Ce dernier sert Bakambu à droite de la surface qui va centrer en retrait pour…Pape Gueye qui vient conclure l’action qu’il avait commencé et tacle le ballon qui va effleuré le poteau opposé. Un carton pour Traoré pour une faute sur Dieng et nous partons à la mi-temps puisque le coup franc ne donnera rien.  
 
Les hommes à domicile en veulent plus lors du retour des vestiaires et ça se voit, Boulaya et Candé mettent le feu sur l’aile gauche. 

53’min BUT, égalisation messine ! Habib MaÏga sert Candé côté gauche qui lui rend au point de penalty dans le dos de Pape Gueye qui n’a pas suivi l’action, Maïga n’a plus qu'à crucifier Pau Lopez et revenir dans ce match totalement ouvert ! 

65’min, entré de Pape Matar Sarr et d’Ibrahima Niane à la place d’Habib Maïga et de Mafouta suivi à la 70’min par Opa N’Guette à la place de Vincent Pajot. 

Entre les changements messins, Bamba Dieng se retrouve deux fois en position de frappe, la première et repoussé par Caillard et la seconde, 2min plus tard passe au-dessus du but. 

75’min, Tournant du match, Sampaoli rabat ses cartes. Sa stratégie entre en marche, l’objectif ? Reprendre l’avantage sans laisser la possibilité à son adversaire de réagir. 

Le tacticien argentin dégoupille son deuxième système, l’OM passe en 4/3/3 avec Payet à gauche, entré de Cengiz Ünder dans le couloir droit et Milik en pointe pour l’attaque. Kolasinac prend le couloir gauche et remplace Gueye, Kamara prend la sentinelle devant Caleta Car et Saliba. 

  Cependant cela ne fonctionne pas, 4min plus tard il rechange et met en place son 3ème schéma tactique. 80’min, Il lance son 4/2/3/1, Gerson couloir gauche Payet dans l’axe, double sentinelle Guendouzi Kamara. 
 L’OM marque, le coup tactique à fonctionné, sur une ouverture de Lirola côté droit, le latéral espagnol centre, c’est mal repoussé par les défenseurs qui n’ont pas d’autre choix que de ressortir plein axe. Kolasinac passe devant son vis à vis et gagne son duel de la tête. Milik contrôle ce ballon de la poitrine et tente un retourné acrobatique surpuissant entouré de 3 défenseurs messins ! BUT le polonais Arek MILIK qui venait d’entrer en jeu redonne l’avantage à son équipe sur son premier ballon du match ! 2-1 à la 82’min. 

Ensuite, l’OM va gérer son allure, Payet va prendre un carton jaune à la 87’min pour avoir subis une semelle qui lui à retiré son crampon, l’arbitrage français dans toute sa splendeur. 

92’min, Dernier changement marseillais et nouveau dispositif le 5/4/1 avec l’entré en jeu de Balerdi à la place de son capitaine Dimitri Payet qui n’a pas été bon ce soir. 

L’OM s’impose en terre Grenat, et distance les niçois de Christophe Galtier de 4 points grâce à cette victoire importante. Les joueurs d’Antonetti n’ont pas à rougir de leurs prestations. Ils peuvent accrocher le maintien sur ils parviennent à maintenir cet état de forme jusqu’à la fin du championnat.

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Determilik !

8/2/2022

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Après la débâcle scandaleuse face à Lyon mardi soir, les hommes de Sampaoli reçoivent le SCO d’Angers coaché par Gérald Baticle. L’ancien adjoint lyonnais qui en Ligue 1 a un bilan plutôt mitigé avec 7 victoires, 8 nuls et 8 défaites, se déplace au Vélodrome face à une équipe marseillaise fatiguée par un enchaînement de matchs épuisants et va jouer son 3ème match en 6 jours.
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Sampaoli, qui a compris son erreur face à l’OL de Peter Bosz mardi, se réinvente avec un coup tactique et un dispositif en 4/4/2 Losange, ou diamant comme disent les anglais qui ont plus d’argent.
En plus d’un nouveau dispositif, le coach argentin va faire des choix forts. Les recrues Bakambu et Kolasinac vont effectuer leur premier match au Vélodrome, Balerdi est titulaire à la place de Caleta Car et Lirola se retrouve au poste d’arrière droit. Tandis que Ünder, Rongier et Luan Peres sont mis au repos.
La défense est donc remaniée puisque sur les 3 centraux habituellement titulaire seul Saliba commencera le match accompagné de Leo Balerdi qui n’a pas commencé un match de Ligue 1 depuis Octobre 2021 à mon plus grand regret.

Si la défense est modifiée, l’attaque est revue à zéro ! Aucun ailier titulaire, deux numéro 9 titulaires (Milik et Bakambu) . Payet en 10 derrière eux accompagné de Gerson, Guendouzi et Kamara pour constituer le milieu de terrain.

Le SCO d’Angers en face, va aligner un 3/4/1/2 très technique avec Bentaleb, Ounahi, Boufal et Fulgini.

Le match va très mal commencer pour les olympiens puisque dès la 8’min sur une mauvaise passe de Saliba dans le rond central, les angevins vont partir en contre attaque et suite à une deuxième erreur de Gerson cette fois ci, Fulgini peut frapper et trouver le second poteau de Pau Lopez.

  D’entrée de jeu l’OM est surpris et prend un coup de massue. Comme pour avertir les joueurs de la dangerosité des hommes de Baticle. Ce n’est pas suffisant pour réveiller le 11 marseillais.
  11’min, Bentaleb trompe le portier espagnol à contre pied d’une frappe à l’entrée de la surface contrée par Kamara. 2-0, le stade n’apprécie pas du tout l’entame de son équipe après le match piteux joué plus tôt dans la semaine.

Il n’en faudra pas plus pour créer le sursaut, puisqu’à la 18’min Bakambu va créer le décalage et permettre à Guendouzi de lancer Milik dans la surface pour crucifier Petkovic d’un petit piqué et revenir au score.

21’min Lirola trouve Gerson dans l’axe qui grâce une nouvelle fois à un appel de Bakambu qui va aspirer son défenseur pour permettre au milieu international brésilien d’enclencher
une frappe de loin à ras du poteau et égaliser dans un vélodrome en fusion ! Le VAPO se rattrape de son erreur et permet à l’OM de se relancer complètement dans ce match, 22’min et déjà 2-2 !

Quelques frayeurs de chaque côté jusqu’à la mi-temps avec notamment un face à face entre Pau Lopez et Azzedine Ounahi gêné par le retour de William Saliba mais nous en resterons à 2 buts partout.

Au retour des vestiaires, aucun changement de part et d'autre.

A la 53’min, Cabot à la limite de commettre une faute dans la surface va écoper d’un carton jaune pour une grosse faute sur Gerson, ça sera à l’extérieur du petit rectangle, première alerte.

57’min, contre attaque angevine, Ounahi peut fixer Balerdi afin de lancer Boufal, il va mal négocier son ballon et va trop tarder sa passe ce qui permet à Balerdi d’effectuer un retour in extremis dans les pieds du numéro 10 algérien.

58’min le défenseur angevin Traoré se fait marcher dessus par Mangani et va avoir du mal à s’en remettre, Baticle envoie Romain Thomas à l’échauffement, il va bientôt entrer.

64’min, moment clés de ce match avec l’entrée de Romain Thomas qui revient d’une blessure au dos à la place de Traoré qui ne se remet pas du coup donné par Mangani.

Mais au même moment, Sampaoli fait entrer Ünder, Rongier et Luan Peres pour Bakambu, Kolasinac et Kamara.

70’. 6min après les changements, Ünder déclenche Gerson en profondeur qui va jouer de son corps pour protéger son ballon et avant de servir d’une passe lobée Milik qui ajuste le but d’une tête assez simple puisque Petkovic était sorti de manière hasardeuse. 3-2 pour l’OM qui était mené 2-0.

Mendy va prendre un jaune à la 76’.
78’, Ünder côté gauche, va entrer dans l’axe sur son pied gauche et apercevoir Milik plonger seul à l’entrée de la surface. Le petit prince du Vel va glisser une merveille de passe, un petit bonbon au miel qui va casser 2 lignes de défense, le numéro 9 polonais n’a plus qu’a pousser le cuir de la semelle en taclant pour tromper le gardien angevin pour la 3ème fois ce soir. Quelle entrée de la part de l’international Turque concerné sur deux buts depuis son entrée il y a14min.

FunFact : Milik à inscrit 6buts en 2 matchs face au SCO d’Angers.

81’min le capitaine marseillais va céder sa place à Amine Harit. Guendouzi va écoper du brassard, comme un symbole pour le milieu français arrivé cet été et véritable métronome de l’équipe et du vestiaire.

83’, Milik pas loin du quadruplé, servi en profondeur il dépose Thomas et tente une frappe croisée qui flirte avec le second poteau.

85’min, Ünder nous régale d’une reprise de volée en première intention sur un centre de Luan Peres mal repoussé par les angevins plein axe à l’entrée de la surface, la lucarne de Petkovic est nettoyé.

Les olympiens s’imposent 5-2 après avoir été mené 2-0. Quelle réaction d’orgueil, Sampaoli s’est totalement réinventé, ne s’est pas arrête à ses principes. Cela a payé avec une masterclass de Milik, Bakambu très percutant, Gerson encore décisif.

Le retour de Balerdi est très concluant, sa présence permet d’éviter à Lopez de sortir de la surface et donc prendre des risques, plus tueur que Caleta Car avec des passes qui coupent les lignes ennemies, joue plus souvent en première intention avec une meilleure qualité de relance. Une équipe qui a su briller sans un grand Payet, chose impensable avant ce match tant l’influence du meneur de jeu est immense sur cette équipe. En plus d’un nouveau système de jeu fonctionnel, le groupe marseillais va récupérer Pape Gueye et Bamba Dieng victorieux de la CAN (Coupe d’Afrique des Nations) avec le Sénégal qui remporte sa première compétition face à l’Égypte de Moh’ Salah.
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Bienvenu chez les sudistes

18/1/2022

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Une affiche du championnat de France, assez décevante pour plusieurs raisons que nous allons traiter.

L’OM reçoit le LOSC, sans droit d’erreur car tous les concurrents au podium ont gagné ce week-end. Les lillois eux veulent retrouver la première partie de tableau et pour cela il faut au minimum un match nul afin de repasser devant l’OL.

Malheureusement, ce match qui nous promettait pas mal d’intensité et une belle rencontre a été cassé d’entrée par l’arbitre qui avec un air de cowboy dégaine un carton jaune dès la 4è  minute à Guendouzi qui demande un coup-franc à l’entrée de la surface. A partir de ce moment-là, on savait que ce match allait être haché, censuré et cassé par des décisions ridicules. D’ailleurs 2 minutes plus tard, Yilmaz qui conteste une position de hors-jeu, lui ne sera pas sanctionné,  bien évidemment le staff olympien ne va pas accepter cet arbitrage à deux vitesses.

A la 8’min, Gerson dans la surface récupère un centre de Cengiz Ünder et se fait bouger dans le dos par Benjamin André, cela aurait dû amener à un penalty, nouvelle erreur du cowboy.

L’OM va prendre en main la possession comme à chaque match mais va se mettre en danger à la perte de balle face aux attaques placées des joueurs de Jocelyn Gourvennec.

Sur un corner à la 15è les lillois vont ouvrir le score grâce à Sven Botman qui va dévier le ballon au second poteau de Pau Lopez après avoir largué son marquage par Saliba.

Beaucoup d’engagement dans ce match, à la 30è minute, André va réclamer une touche auprès de l’arbitre et va prendre son premier carton jaune. Deux minutes après, sur un tacle en retard à l’entrée de la surface sur Matteo Guendouzi, le milieu lillois va prendre son deuxième jaune synonyme de carton rouge.

Au retour des vestiaires, les lillois sont venus uniquement pour jouer le match nul, comme une équipe tout droit venue de CFA. Une belle pub sur le football français en voyant le champion en titre. En face, l’OM n’a rien à proposer. Une possession et un tiki-taka digne des meilleures équipes de handball. Comme trop souvent cette saison d’ailleurs, Rongier va entrer à la 67e  à la place de Duje Caleta Car pour apporter un joueur en plus afin de redistribuer le jeu et paraître plus offensif. Sampaoli n’a pas compris que pour faire sortir le bus du LOSC il faut le faire percuter, avec des va et vients incessants sur les côtés comme Luis Henrique permet de le faire à Gauche pour centrer. Au lieu de cela il va dire à Ünder de prendre le couloir gauche et donc de jouer sur son mauvais pied (le droit) et laisser Lirola qui n’apporte rien sur ce match prendre le couloir droit.

A la 75e, sur un corner joué rapidement par Payet, le petit Prince turque qui se trouve à l’entrée de la surface va recevoir le ballon de son capitaine à ras de terre et enrouler le pied droit au deuxième poteau pour l’égalisation.

Tout semble relancé dans ce match, les deux équipes sont à égalité et les deux doivent gagner. On s’attend alors à des coups tactiques pour faire craquer l’adversaire…Au lieu de ça, Gourvennec fait du poste pour poste avec Lihadji pour Bamba et Xeka pour Renato Sanches qui en sortant va faire un doigt aux supporters marseillais présents en tribune Jean Bouin derrière les bancs de touche.

Le staff olympien va faire entrer Harit pour Milik. Le joueur prêté par Schalke va être catastrophique comme d’habitude. Une erreur de casting sur ce changement, qui est inutile, le joueur offensif qu’il fallait faire entrer était Luis Henrique qui à gagné en confiance depuis son dernier but et sa passe décisive contre Strasbourg ou encore lancer le jeune Ben Seghir qui aurait pu prendre la place de Pol Lirola dans le couloir droit, Henrique prendre la place de Kamara pour amener deux joueurs offensifs en gardant Milik en pointe et sans déséquilibrer le bloc défensif car il resterait Saliba, Rongier, Luan Peres et Guendouzi pour assurer les retours défensifs et la relance.

Les marseillais ont énormément de choses à travailler notamment les frappes de balle à l’extérieur de la surface, la technique pour créer des décalages. Il faut également travailler pour trouver des combinaisons avec Arek Milik ou bien l’utiliser en sortie de banc.

L'arrivée de Cédric Bakambu va je l'espère faire beaucoup de bien à cet effectif et permettre de retrouver une puissance offensive que l’on a découvert en début de saison avant de s’effondrer et devenir inoffensif malgré les joueurs de qualité et les principes de jeu du coach.
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    Alexis

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    Alexis suiveur moins assidu sur la Ligue 1 depuis la descente des Girondins

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