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Pioli is on fire... A certains moments

18/3/2025

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​La genèse de Pioli

Stefano Pioli est né le 20 octobre 1965 à Parme, il est un ancien défenseur qui a énormément joué en Serie B notamment à la Fiorentina durant la première moitié des années 90 en plus d’avoir fait quelques matchs pour la Juventus durant les années 80. Il prend sa retraite en 1999 à Colorno Calcio, un club de la banlieue de Parme évoluant dans les divisions amatrices italiennes et intègre directement le staff de Bologne où il devient entraîneur des jeunes.
Il faudra attendre 2003 pour qu’il obtienne sa chance en tant qu’entraîneur (tout en étant devenu, auparavant, entraîneur des jeunes de Chievo Vérone en 2002) à la Salernitana, mais ce n’est pas une franche réussite.
Après des passages sur le banc de Modène entre 2004 et 2006 (deux passages) en Serie B, il devient entraîneur principal d’une équipe de Serie A en 2006 à la tête du Parma FC, mais il ne termine pas la saison et est remplacé par Claudio Ranieri qui sauve le club de la relégation en 2007 sans toutefois prolonger.
Il doit attendre 2010 pour avoir une nouvelle chance en Serie A au Chievo Vérone (après des passages non marquants en Serie B à Grosseto, Plaisance et Sassuolo) où il ne reste qu’un an avant de partir pour Palerme, puis Bologne.
2014 est un tournant dans sa carrière, car il est nommé entraîneur principal de la Lazio, club qui ambitionne de retrouver sa place au sommet de la Serie A après quelques années d’irrégularités depuis le rachat du club en 2004 par Claudio Lotito. Sa première saison (2014-2015) est probante avec une troisième place qualificative pour la Ligue des Champions et une finale de Coppa perdue contre la Juventus. Sa deuxième saison est plus difficile terminée à une 8ème place et il est remercié fin de saison pour être remplacé par un certain Simone Inzaghi.
A la suite d’une saison 2015-2016, ayant vu l’inter échouer de peu à la qualification européenne (l’inter finira 4eme, mais n’ayant plus 4 places en Europe, le 4ème étant reversé en Europa League) , l’inter s’attacha les services de l’illustre Franck de Boer, pour impulser un vent nouveau, et la ramener enfin en C1..

12 journées de championnat, une 9eme place au classement 4 journées d’Europa league et une dernière place plus tard, le technicien Hollandais prit logiquement la porte.

Stefano Pioli, étant chargé avant tout de redresser la barre, et d’amener l’inter à un classement, beaucoup plus en phase avec ses ambitions. Il prit ses fonctions le 8/11/2016.

Le premier match qu’il dirigea fut… le derby contre le Milan AC qui finit par un nul 2-2. Et un but de Perisic dans les arrêts de jeu pour arracher le match nul.

Il faut savoir que sa mission remontée fut en partie une belle réussite car entre la 13e et la 19e journée, l’inter ne perdit que 3 matchs, pour 2 match nuls et 12 victoires dont une série de 7 victoires d’affilés dui avait complément relancé l’inter, qui naviguait cette fois ci entre la 5ème et 6ème place.

Bien évidemment, s’il n’est plus là, c’est qu’il a donc été débarqué. Oui. En effet, car il n’a pas résisté à une terrible série de 7 matchs sans victoires entre la 29e et la 35e journée. Il fut remplacé par Stefano Vecchi pour les 3 derniers matchs de championnat.

Au final que retenir de son passage à l’Inter ? Il est venu en pompier de service, pour essayer de redresser un effectif dont il n’a pas du tout dessiné les contours , il y a eu du bon, du mauvais, mais difficile de lui imputer la saison en dent de scie du club, puisque les erreurs (Joâo Mario, 40M, merci Kia, je ne te pardonnerai jamais) ne lui sont pas imputables. Il a fait ce qu’il a pu. Avec ce qu’il avait à disposition.

Si je devais le noter, je donnerai un 5,5/10.

C’est donc avec un certain scepticisme de la part des tifosi qu’il est nommé entraîneur du Milan AC le 8 octobre 2019 suite au licenciement de Marco Giampaolo.

Un entraineur décrié… Mais gagnant
Pour son premier match de championnat sous ses nouvelles couleurs, Pioli décide d'évoluer en 4-3-3 avec la composition suivante face à Lecce :
Donnarumma ; Conti, Musacchio, Romagnoli (C), Theo Hernandez ; Paqueta, Biglia, Kessie ; Suso, Leao, Çalhanoğlu, avec un nul obtenu 2-2. Çalhanoğlu et Piatek étant les buteurs milanais.
La première partie de saison ne fut pas couronnée de succès jusqu'au mercato hivernal et l'arrivée d'un ancien pensionnaire de la maison du Diavolo, un certain Zlatan Ibrahimovic (parti bourlinguer en 2012 au PSG, Manchester United et enfin le Los Angeles Galaxy) et un passage en 4-2-3-1 essayé le 9 février 2020 lors du derby de la Madonnina tout de même perdu 4 à 2. Le premier succès de ce schéma arrive face au Torino (but de Ante Rebic servi par Castillejo le soir du 17 février 2020).
Malgré des résultats en demi-teinte, le club termine à une honorable 6e place en championnat. La saison suivante (2020-2021), le club renaît petit à petit de ses cendres et termine à la deuxième place avec 79 points à bonne distance (12 points) du champion, le rival Interiste.
La saison suivante fut un franc succès puisque Stefano Pioli et ses hommes obtiennent le tant recherché scudetto devant le rival avec deux points de différence grâce notamment à un doublé de l'international français Olivier Giroud dans le derby.
L’année suivante est plus difficile terminée à une quatrième place suite au retrait de points de la Juventus pour des affaires de corruption, mais tout de même avec une belle campagne en Ligue des Champions terminée en demi-finale où le club tombe à nouveau face au rival de toujours.
La saison 2023 – 2024 sera la dernière de Stefano Pioli à la tête du Milan AC. Le club se qualifiera à nouveau pour la Ligue des Champions en terminant 2ème malgré une nouvelle élimination précoce sur la scène européenne.

Oui, mais et alors ? Quel bilan tirer de cette période ?

Stefano Pioli au Milan AC, c’est donc 240 matchs pour 130 victoires, 58 nuls et 52 défaites répartis sur presque 4 saisons complètes.
Cependant, tout n’a pas été rose pour cet entraîneur : il est arrivé comme un pari au pied levé suite au licenciement de Giampaolo qui devait être l’incarnation du renouveau milanais suite au jeu léché qu’il proposait à la Sampdoria et il a dû faire ses preuves.
Sa première saison devait être à la base l’unique de son mandat, puisqu’il était avant tout un pari et que personne n’osait imaginer la suite de son parcours, mais il a fait mentir les statistiques et les bookmakers pour finalement rester presque 4 saisons complètes dans le club.
Pour autant, il faut nuancer son travail. En effet, l’effectif n’a jamais réellement taillé selon ses envies et il utilisait les joueurs comme bon lui semblait.
Certains joueurs, qui étaient destinés à devenir le futur du club étant donné leurs potentiels, n’ont jamais percé sous ses ordres, on peut citer Paqueta ou Charles de Ketelaere entre autres. En effet, Pioli n’a jamais été un entraîneur qui aime lancer des jeunes dans le grand bain et il est vrai que peu de joueurs issus du centre de formation ou achetés ont réussi à faire leur trou durant son mandat. Pire encore : il préférait utiliser Rade Krunic tel un couteau suisse (tantôt milieu défensif, tantôt milieu offensif, tantôt arrière droit ou encore tantôt ailier droit) plutôt que donner sa chance à de jeunes joueurs de l’effectif comme Terraciano ou encore replacer Theo Hernandez pour un match comme défenseur central plutôt que de donner sa chance à Jan-Carlo Simic.
Pioli aimait aussi tenter des choses concernant la tactique puisqu’il utilisait essentiellement le 4-2-3-1 mais passait de temps en temps à une défense à 3 sans vraiment que les résultats soient au rendez-vous. Par ailleurs, il n’aimait pas jouer avec un meneur de jeu en position de numéro 10, ce qui explique les difficultés de Paqueta, Charles de Ketelaere ou encore Brahim Diaz qui n’étaient pas exploités selon leurs qualités intrinsèques et naturelles.
En outre, Pioli arrivait rarement à motiver ses troupes une fois que le score n’était pas en sa faveur, ceci explique les difficultés de son équipe sur la scène européenne lors de son mandat. Il se reposait énormément sur ses vieux briscards qui étaient les tauliers de l’équipe : Ibrahimovic à son retour, puis Giroud sans oublier Kjaer en défense. On peut remarquer cette perte d’influence lors de sa dernière saison où le jeu était relativement poussif. En effet, Kjaer avait pris sa retraite et Giroud avait décidé de partir en pré-retraite sous le soleil de Californie.

Pour conclure, on peut dire que Pioli était on fire, car il avait des joueurs d’expériences sur qui se reposer et qu’il utilisait à bon escient pour que l’équipe tourne correctement, mais n’était pas un meneur d’hommes et encore moins un fin tacticien. Ses résultats en compétition européenne parlent pour lui. La campagne 2020 – 2021 n’est qu’une parenthèse enchantée, car de nombreux joueurs avaient quelque peu boudé la compétition au premier tour au profit de la Coupe du Monde qui se jouait durant cet hiver-là.

Le scudetto de 2020 n’est pas (totalement) une surprise non plus, car l’effectif bâti par Boban (avant son départ) et Maldini était taillé pour jouer les premiers rôles en Serie A, mais il n’est pas dû aux qualités de manager de Stefano Pioli. Il est avant tout dû à une équipe bâtie autour d’une colonne vertébrale composée de Maignan – Kjaer – Tonali – Giroud ainsi qu'une solidarité et une combativité sur le terrain. 


Ses résultats à Al-Nassr parlent également pour lui, car malgré l’apport de Cristiano Ronaldo, Sadio Mané ou encore Marcelo Brozovic, l’équipe n’arrive toujours pas à décrocher le titre tant espéré au point qu’on parle déjà d’un éventuel départ en fin de saison.


Article écrit par Micky, Jeff (@jdlvcch) et Syrus Jake

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AC Milan : Aveu d'échec ou révolution interne silencieuse ?

9/2/2025

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Lors du mercato estival 2024, l'AC Milan n'a pas été très actif lors du marché des transferts, malgré un solde positif , jugeant que l'équipe n’avait besoin que de quelques ajustements.
Au cours de cet été-là, l'état-major de la direction recrute (péniblement) Emerson Royal en prêt de Tottenham pour 15M, Alvaro Morata pour 13M depuis l'Atletico de Madrid, Tammy Abraham en prêt depuis l'AS Roma, Strahinja Pavlovic pour 20M depuis le Red Bull Salzbourg, Robbie Vos en provenance de l’Ajax Amsterdam et enfin Youssouf Fofana difficilement depuis l'AS Monaco pour 20M.

Dans le même temps, dans le sens des départs, Pierre Kalulu est parti assez bizarrement en prêt avec option d'achat à la Juventus, ainsi que Yacine Adli, également en prêt avec option d'achat à la Fiorentina. Tout en commençant à faire le ménage en se délestant de quelques joueurs ne faisant pas partie du projet à l’image de Mattia Caldara qui rejoint Modène gratuitement, le jeune Andrea Bartoccioni (qui n’a fait aucune apparition avec l’équipe A) pour Renate (club de Serie C), Devis Vasquez pour Empoli, Jan-Carlo Simic pour Anderlecht, Daniele Maldini pour Monza, le jeune Marco Nasti (qui n’a fait aucune apparition avec l’équipe A) pour la Cremonese (club de Serie B), Tomasso Pobega pour Bologne, Alexis Saelemaeckers en prêt à la Roma avec option d’achat et surtout Olivier Giroud qui part en pré-retraite au Los Angeles Galaxy.

Mais voilà, une demi-saison et un entraîneur plus tard (Fonseca viré à la fin de la première partie de la saison à cause de résultats trop irréguliers et remplacé dans la foulée par son compatriote Sergio Conceicao qui était libre depuis son départ du FC Porto à la fin de la saison 2023-2024 ponctuée par une troisième place en Primeira Liga), les choses ont bien changé chez les Rossoneri. Si Ibrahimovic (conseiller spécial de Cardinale, PDG de l'équipe) disait en début de saison que cette équipe-là était parfaite pour gagner des titres, y compris le scudetto, il semblerait que les avis aient bien changé depuis...

Lors de ce mercato hivernal 2025, dans le sens des départs, les mouvements sont les suivants :

Marco Pellegrino qui n’aura jamais réussi à percer son trou est parti en prêt avec option d’achat pour Huracan (club de première division en Argentine) Emerson Royal a failli partir, mais il s'est blessé au cours d'un match juste avant son transfert, faisant capoter l'affaire (et on ne comprend pas trop si Conceição a fait un mauvais choix, ou si le staff n'a pas communiqué avec son entraîneur).
Alvaro Morata, auteur d'une demi-saison plus que mitigée, où il aura fait plus parler de lui pour ses déboires conjugaux que pour ses buts, est déjà parti en prêt avec option d'achat à Galatasaray. Noah Okafor est également parti en prêt avec option d'achat du côté du Napoli, Ismaël Bennacer est lui aussi parti en prêt avec option d'achat à l'Olympique de Marseille.
Davide Calabria, quant à lui, a quitté le club après 18 ans de bons et loyaux services pour Bologne sous la forme d’un prêt payant de 2M assorti d’une option d’achat D’autres joueurs ont failli parti à l’image de Fikayo Tomori qui a été offert à la Juventus, mais le joueur ne souhaitait pas un départ et son entraîneur actuel, Sergio Conceição, tenait à conserver le défenseur anglais ou encore Strahinja Pavlovic, longtemps évoqué du côté de Galatasaray, mais qui a refusé ce transfert.

Dans le sens des arrivées, voici les mouvements finaux : Kyle Walker est arrivé pour remplacer numériquement Calabria sur le flanc droit en prêt avec option d'achat depuis Manchester City, João Félix arrive en prêt sec payant de 2.5M depuis Chelsea, Santiago Gimenez est arrivé depuis le Feyenoord Rotterdam pour 32M et des bonus, Walter Bondo est arrivé en provenance de Monza en prêt avec option d’achat, Riccardo Sottil arrive enfin, sur le fil, en prêt payant (1M) avec une option d'achat depuis la Fiorentina.

Quelles conclusions pouvons-nous tirer de ces deux périodes de transfert ? Lors de la période estivale, Zlatan (qui est arrivé dans le staff de l'équipe cet été également) a semblé " diriger " les mouvements et... ça n'a pas été une franche réussite. À part Fofana, aucun joueur cet été n'a semblé être à la hauteur.
Pire que ça, la direction a tenté de vendre tous les joueurs achetés pour acheter d'autres joueurs, qui, sur le papier peuvent être meilleurs. Beaucoup peuvent se demander (à juste titre) pourquoi ne pas avoir effectué le marché de janvier cet été ? Effectivement, celui-ci semble bien être plus cohérent.
On peut reprocher éventuellement que João Felix arrive sans option d’achat et donc reparte à Chelsea cet été, mais les relations entre les deux clubs sont plutôt bonnes, puisque Milan avait déjà acquis Pulisic durant l’été 2023. Donc qui sait si João, aidé par son agent (le même que Conceição, le célèbre et puissant Jorge Mendes) pourrait faciliter un transfert définitif cette fois pour l'été 2025. 
Cependant, il est toujours préférable de se méfier tout de même de Jorge Mendes, qui adore l’ingérence dans les clubs (il suffit de regarder l’exemple de Wolverhampton où la majorité de l’équipe et du staff sont des poulains de ce cher Jorge). Toujours est-il qu’il est aussi intéressant de travailler (jouer avec le feu) avec ce genre d’agent qui peut amener des joueurs avec un potentiel énorme (au risque de se brûler ?).
Ne parle-t-on pas de la possible arrivée du défenseur du Benfica Antonio Silva (tiens tiens, encore un joueur de l’écurie Mendes) à l’été 2025 ? On peut remarquer que les joueurs recrutés l’ont été, une fois n’est pas coutume, avec l’aval de Sergio Conceicao qui n’a pas eu peur de bloquer des transferts, comme celui de Fikayo Tomori par exemple.
Ces différentes recrues vont permettre au coach de varier les systèmes allant du traditionnel 4-2-3-1, en passant par un 4-3-3 plus offensif et même au 4-4-2 qui n’est autre que sa formation préférée. En effet, Joao Felix, s’il s’intègre et s’il arrive enfin à montrer l’étendu de son potentiel qui a fait que Diego Simeone (entraineur de l’Atletico de Madrid) avait demandé à son club de le recruter pour la modique somme de 126 M en provenance du Benfica à l’été 2019, peut jouer en pointe aux côtés de l’autre recrue offensive de cet hiver Santiago Gimenez, mais également comme ailier et même comme milieu offensif.
Kyle Walker, quant à lui, avait fait le tour de la question à Manchester City, va apporter toute son expérience et son leadership dans un vestiaire qui en manque cruellement. Il a beau avoir 34 ans, il est encore en jambes et il n’est pas rare que les défenseurs étirent leurs carrières à l’instar de Pepe qui a joué jusque 41 ans.
En effet, beaucoup de supporters (et sûrement certains dirigeants) espéraient que Theo Hernandez et Rafael Leao reprennent le flambeau des Ibrahimovic, Giroud, Kjaer et compagnie dans le rôle de leader. Cependant, entre la méforme et les mauvaises prestations à répétition du premier nommé et la nonchalance légendaire du second, la mayonnaise n’a jamais pris. Pour ceux qui ont vu le premier match de Kyle Walker lors du derby (terminé sur le score de 1-1) auront remarqué qu’il s’est déjà bien acclimaté à l’équipe et n'hésite pas à communiquer avec les défenseurs centraux. Santiago Gimenez sera attendu au tournant.
Le poste de n°9 est malheureusement orphelin d’Olivier Giroud et Alavaro Morata n’a jamais réussi à le faire oublier. Un poste clé qui n’est plus aussi performant depuis le départ des légendes du début de ce millénaire (Andreï Shevchenko, Filippo Inzaghi et Zlatan Ibrahimovic une première fois) et qui attend enfin un joueur capable d’alimenter le marquoir. Warren Bondo, malgré sa blessure, a été recruté dans le but d’entrer dans la rotation au milieu de terrain.
Celui-ci a une envie de bien faire étant donné qu’il a refusé plusieurs offres pour pouvoir signer au Milan AC et soyons sûr qu’il sera motivé et fier de porter le maillot du Diavolo. Riccardo Sottil est la grande inconnue de ce mercato.
​Remplaçant à la Fiorentina, il y a de grandes chances qu’il ait signé pour des questions administratives (la fameuse liste de joueurs italiens pour les compétitions européennes). Cependant, il pourra entrer en concurrence avec Rafael Leao et pourrait peut-être être la bonne surprise de ce mercato. Du côté de la direction, on peut remarquer que Zlatan a, cette fois-ci, relativement bien travaillé et que, contrairement aux mercatos passés, peu de mouvements sont dus à Geoffrey Moncada, habituel recruteur pour le club. Gageons également que le lion a appris de ses erreurs du mercato de l’été 2024. Alors, au Milan AC, aveu d’échec de la direction ou révolution interne silencieuse ?

​Cet article a été écrit par Jeff et Micky pour La Table Ronde

 

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La Juve remporte sa 15e Coppa Italia!

15/5/2024

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Atalanta Bergame- Juventus Turin 0-1
 
Vlahovic 5e  pour les bianconeri
 
Avant de jouer la finale de l’Europa League, l’Atalanta Bergame de Gasperini a une autre finale à jouer : la Coppa Italia, face à l’équipe qui en a pris le plus dans l’histoire de la compétition, 14 fois vainqueur, la Juventus de Turin, alors que la Dea attend depuis 61 ans. Les derniers matches entre les 2 équipes ont accouché de 3 nuls, avec deux 0-0, et un 2-2. L’Atalanta a un absent notable avec Gianluca Scamacca, suspendu. La Juventus a elle aussi un absent de marque avec Locatelli, lui aussi suspendu ! Il est remplacé par le jeune Nicolussi Caviglia.
 
La Juventus va vite ouvrir le score. Dès la 5e minute, Dusan Vlahovic est lancé sur le demi-espace droit dans la profondeur, il fausse compagnie à De Roon avant de fusiller Carnesecchi du pied droit ! Sur un corner à la 8e, McKennie est à la retombée du corner pour reprendre de la tête mais ça passe au-dessus ! Hien chope le premier jaune dès la 16e pour une semelle sur Chiesa. Chiesa cherche depuis la gauche Iling, c’est Rabiot qui obtient le cuir, mais l’international français ne peut tirer correctement. Sur ces 20 premières minutes, cette Juve est enthousiasmante, et bon sang, que ça fait du bien ! L’Atalanta tente par moments de revenir, mais il y a toujours une jambe turinoise, ou les gants de Mattia Perin ! Nicolussi Caviglia tente une nouvelle frappe à la 33e minute, mais c’est contré et capté par Carnesecchi. De Ketelaere dans les 18 mètres à la 35e va frapper du gauche, mais ça passe au-dessus. Dusan depuis son flanc droit tente un centre-tir du gauche à la 38e, mais c’est direct sur Carnesecchi ! À la 43e minute, la Dea attaque, par Pasalic qui bénéficie d’un décalage depuis la droite, l’ex-monégasque voit sa frappe du droit aux abords de la surface déviée par Gatti et McKennie ! L’Atalanta pousse dans le temps additionnel, la plupart des joueurs sont dans les 30 mètres mais la Juventus dégage à coup de longs ballons comme Bremer à la 46e ! La Juventus mène à la pause face à une Atalanta qui a poussé en fin de période !
 
De Ketelaere est remplacé à la pause par un autre ancien de Ligue 1 El Bilal Touré, passé par Reims. L’Atalanta continue sur sa lancée de fin de première mi-temps en poussant et en essayant d’égaliser, en butant en début de second acte. Nicolussi sort pour Miretti. La Juve aurait pu (dû) obtenir un penalty juste avant l’heure pour une poussette dans la surface, mais étant donné que c’est la Juventus, le penalty n’est pas accordé…  De Roon et Carnesecchi doivent se mettre à deux pour stopper Vlahovic à la 64e. Et Cambiaso sort le grand jeu à la 72e pour Vlahovic qui dévie le ballon pour le 2-0, mais c’est signalé hors-jeu, qui n’est évidemment pas montré à la télé. Lookman est à 2 doigts d’égaliser à la 79e mais c’est le poteau qui empêche de scorer pour les bergamasques ! Miretti va lui aussi taper l’aluminium avec un tir sur la barre à la 83e ! Djimsiti pousse Milik dans le dos à la 85E dans la surface mais ce n’est pas sifflé ! La Juve pousse cette fois dans le temps additionnel pour finir avec 2 buts d’avance ! Lookman oblige Perin à se coucher à la 94e ! Max Allegri hors de lui va même finir avec un carton rouge ! Il y avait 6 minutes de temps additionnel, et Perin se couche à la 99e pour capter le cuir !
​
Et la Juventus décroche sa 15e Coppa Italia ! La Juventus retrouve les joies de la victoire après 3 ans de disette !

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Camouf57, tifoso bianconero soulagé!

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On fait l'bilan (calmement) de l'AC Milan

8/4/2024

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En championnat, tout roule ?


L’AC Milan pointe actuellement à la deuxième place avec 68 points (plus encore que l'année du scudetto !), ce qui représente 11 points derrière le rival historique avec leurs 79 points (avant le match de ce soir) et 6 points de plus que le poursuivant bianconero avec leurs 62 points depuis le match joué hier soir. Stefano Pioli, bien aidé par les recrues de l’été 2023 montre de très belles choses. Pour vous donner quelques chiffres, Christian Pulisic (affectueusement appelé Captain America) en est déjà à 13 buts et 8 passes décisives, Loftus Cheek montre déjà 10 buts et une passe décisive, Reijnders est à 3 buts et 3 passes décisives, Chukweze malgré des débuts mitigés a marqué 3 buts pour 2 passes décisives, Jovic (bien qu’il soit plutôt un joueur remplaçant que titulaire) c’est déjà 8 buts et une assist, quant à Okafor (bien que gêné par les pépins physiques) a déjà trouvé 5 fois les filets et 2 fois un partenaire. Bien qu’il soit évident que d’autres arrivants de l’été dernier soient encore discrets, peu utilisés ou encore envoyés en prêt, tous sont encore en période d'adaptation et de rodage au sein de l'effectif milanais. Certains sont encore jeunes et peuvent encore s'améliorer. Autant de changements dans l'équipe (et d'autres sont à prévoir cet été comme on en avait déjà discuté lors d'un précédent article) ne peuvent pas permettre au club d'être présents et protagonistes sur tous les fronts, au grand damne des supporters... Avec 4 clubs la saison prochaine en ligue Des champions, milan est quasi assuré de faire la prochaine campagne (+10 sur la quatrième place détenue par Bologne). Ce qui démontre que l’AC Milan se comporte très bien en championnat et le tacticien fait taire ses détracteurs. Oui mais, parce qu’il y a un mais. 

L’AC Milan / Pioli a montré ses limites ?


Sortis en Poule et reversés en Europa League, nombreux sont les détracteurs de l’entraîneur italien et même du staff du club, et c’est compréhensible d’une part, lorsqu’on sait que ce même club a joué une demi finale de LDC la saison précédente (perdue contre l’Inter). L’entraîneur ou l’effectif peut-il envisager objectivement d’être protagonistes sur tous les fronts à court terme ?


Ma réponse pourrait paraître simple, voire simpliste mais elle est bien plus complexe et réfléchie qu’il n’y paraît. C’est un non. Comme je le disais plus haut, beaucoup de changements ont été opérés l’été 2023, et autant de changements en un seul mercato ne peut pas facilement permettre (même s’il est qualitatif) d’être acteur majeur au niveau national ET européen. Certains joueurs sont encore en rodage (on remarquera d’ailleurs la montée en puissance de Adli qui a encore délivré deux passes décisives le week-end dernier) et jeunes, et donc très largement perfectibles. Bien que racheté par Redbird il y a maintenant un an, il n’est pas prévu pour demain que le club rossonero dépense des centaines de millions d’euros, mais environs cinquante chaque année plus une ou deux ventes pour apporter plus de revenus et aussi alléger la masse salariale du club. Nous en parlons également et régulièrement lors de nos podcasts hebdomadaires mais cet effectif n’est pas taillé pour être vainqueur de Ligue Des Champions, ou en tout cas pas à court terme. Les joueurs, comme le collectif doit grandir, gagner des matchs, évoluer, apprendre. Les tiffosi (tout comme moi, parfois) demandons souvent à ce que le club remporte des titres (Bah oui, ils ont tout de même remporté le scudetto en 2022!) mais rien n’y prédestinait. Redbird, comme Eliott (propriétaires de l’AC Milan l’année du dernier scudetto) n’envisageait certainement pas une telle réussite à court terme, mais l’objectif principal était et est de remettre le club sur de bons rails au niveau financier ainsi que sportivement, à commencer par le championnat où le club vise surtout une régularité année après année (Il faut traduire cela par accrocher le podium chaque saison). Tout cela peut paraître rageant, lorsque l’on aime son club et que l’on sait surtout son palmarès européen, mais il faut aussi se rappeler là où il se trouvait il n’y a pas si longtemps que cela, et Milan ne s’est pas fait en un jour.


Mais Pioli, ou le staff, ils sont responsables, non ?


Stefano Pioli, très décrié sur les réseaux sociaux pour ses échecs (et notamment ses résultats face au rival…) montre que si sur le plan national tout va « pour le mieux » (excepté la saison précédente…) sur le plan européen il donne l’impression d’être sans idée, impuissant. Il lui reste une saison sur son contrat, et doit-il être changé cet été ?


Ces derniers mois, plusieurs noms ont été observés par le club, par l’intermédiaire de Zlatan Ibrahumovic (présent dans l’organigramme et décisionnaire depuis quelques mois) comme Motta (actuel tacticien de Bologne), Antonio Conte (avec qui le suédois entretient de bonnes relations), ou encore Postecoglu, pour ne citer qu’eux. Thiago Motta devrait d’ailleurs rejoindre la Juventus Turin qui devrait alors se séparer de Allegri (pour le grand bonheur de nombre des supporters du club [Coucou Camille]). L’état major rossonero ne semble pas vouloir d’un changement cette saison, qualifiant cela d’un « pari risqué, sans assurance d’un résultat positif. Selon toute vraisemblance, s’il devrait y avoir de nouveaux changements dans l’effectif milanais, l’homme à la tête du club devrait rester le même au moins la prochaine saison. On peut alors se demander s’il s’agira de sa toute dernière saison en tant qu’entraîneur, ou s’il sera prolongé par Furlani / Ibra au cours de la saison prochaine, mais pour l’heure nous n’avons aucune information à ce sujet là.

Quelle conclusion tirer de tout ça ? 

Un club semble tendre vers un succès sportif à long terme avec des joueurs en devenir, une qualification constante en ligue des champions et l'assainissement des finances du club (par les partenariats commerciaux, les qualifications en UEFA Champions League par exemple) afin de réunir sportif et et économique. En cela, en tout cas jusqu'à la fin de la saison prochaine, Stefano Pioli semble être un bon candidat pour parvenir aux objectifs. Est-ce qu'un saut qualitatif viendra ensuite pour passer un niveau supplémentaire tant nationalement qu'internationalement viendra ? Tant de sujets qui vont faire couler beaucoup d'encre sur les réseaux et nous vous informerons dès qu'un changement viendra.

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A la bourre, la Table Ronde fait le bilan du Milan AC

10/2/2024

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Dernier membre de la team Table Ronde aujourd'hui c'est avec Jeff que nous faisons le bilan de la mi-saison ( Ouais on est en février ) de son club le Milan AC. 
Grand supporter mais également admiratif de Y. Adli ( On est 2 ) Jeff a aussi beaucoup de mal avec le coach Pioli ! Ce qu'on peut dire c'est quand même que 2 de nos membres supporters se rejoignent sur un point : C'EST QU'ILS NE SUPPORTENT PLUS LEURS COACHS RESPECTIFS 

Quand on lui demande le joueur à retenir pour cette demie-saison Jeff nous répond Yac... Non faut pas exagérer mais Ruben Loftus-Cheek est le joueur qui trouve grâce à ses yeux 

A la question quel est le top il nous a sorti 3 noms, bien évidemment RLC est le premier mais Reijnders et Maignan complètent son podium.
Quant au flop qui d'autre que Pioli peut on dire ? 

En 2024 ( Ouais bon c'est plus trop les voeux ) mais Jeff souhaite surtout pour son club voir Pioli dégager et que Milan nomme un entraineur capable d'utiliser le potentiel des joueurs, les mettre en avant et faire les bons changements. 
​Et surtout voir Adli prendre encore du galon à Milan ( Non ça c'est moi qui le rajoute )

Enfin de base on parlait du mercato hivernal mais du coup on envisagera l'été avec un arrière gauche capable de tenir le remplacement de Théo et un défenseur central ( Est-ce toujours d'actualité ?)  

Voilà le bilan de la mi-saison fait au mois de Février pour Jeff et le Milan AC

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La Table Ronde fait le bilan de l'OM

1/1/2024

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Tout d'abord avant de débuter ce 3e bilan de la mi-saison de l'OM je vous adresse au nom de la Table Ronde nos meilleurs voeux pour cette nouvelle année, que ces 366 prochains jours soient rempli de football et de succès pour votre club de coeur.

​Pour ce troisième bilan nous donnons la parole à Anthony membre de la table ronde pour répondre aux questions de cette mi-saison. 
Comme auparavant nous avons posé 4 questions pour faire un bilan de la mi-saison du club olympien. Eliminés en tour préliminaire de la C1, le club dirigé par Gattuso a su rebondir sur le plan européen en se qualifiant pour les barrages d'Europa League au printemps prochain.

Quand on pose la question à notre supporter de choisir le top de cette mi-saison à l'OM il nous répond que J. Clauss est celui qu'il faut mettre en avant. En revanche dans la catégorie du flop c'est Aubameyang qui est malheureusement mis en tête de liste chez Anthony.

Comme dit plus haut le club marseillais a subi un changement d'entraineur à la fin du mois de Septembre avec l'arrivée de Gennaro Gattuso en remplacement de Marcelino. A la question de savoir comment s'était passé ce changement et Anthony déclare que le changement était obligatoire

​Nous avons aussi abordé le côté mercato et notre membre de la Table Ronde convient qu'il faut un milieu et un attaquant pour renforcer le club cet hiver d'autant plus que les olympiens seront privés de plusieurs joueurs durant ces prochains jours qui partiront à la CAN.

Et enfin pour finir nous avons demandé ses souhaits pour le club pour ces prochains mois. Anthony souhaite une seconde partie de saison extraordinaire pour rattraper le retard et pour espérer accrocher une place européenne et pourquoi pas le podium qui est déjà à 6 points de l'OM

Merci Anthony pour tes réponses  

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La Table Ronde fait le bilan de la Juve

23/12/2023

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Après l'Inter la semaine dernière place aujourd'hui à l'épisode 2 de nos bilans de mi-saison. Nous faisons le bilan avec Camille, l'encyclopédie de la table ronde, la seule personne à nous donner le buteur d'un match auquel on ne parlera jamais ... Nous donner les compositions d'équipe d'un match joué en 1980 enfin bref c'est notre monsieur stats de la table ronde 

Grand supporter de la Juve depuis plus de 20 ans c'est en revanche un peu plus compliqué pour lui demander du positif concernant Allegri. Camille c'est aussi le seul à nous faire vibrer sur des vocaux annonçant un but de la Juve sur notre conversation Whattsapp. 

​Comme la semaine passée nous avons posé les mêmes questions concernant le bilan de mi-saison de la Juve

1) Quel est pour toi le joueur de cette mi-saison à la Juve ?
Réponse : Le joueur de la mi-saison c'est un podium avec Vlahovic, Chiesa et Szczesny

​2) Après le top quel est pour toi le flop de la Juve ?
Réponse : Le flop c'est Allegri ( Vous voyez que c'est compliqué qu'il dise quelque chose de positif ) le coach de la Juve et le master toscan ... Sinon Rabiot par rapport à la saison dernière ou Sandro et Allegri

3) Y a t'il des besoins de recrues pour cet hiver ?
​Réponse : Oui, il nous faut un arrière gauche ( Ça fait des années ) et un milieu créatif de haut niveau 

4) Et pour finir vu qu'on est dans la période de Noel que peut on souhaiter à ton club pour 2024 ?
Réponse : Ce que je souhaite à la Juve c'est de retrouver la place qui lui revient, la 1ere, le titre de champion

Merci Camille pour tes réponses et on espère que tu finira par nous dire quelque chose de positif sur Allegri 

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La Table ronde se met à table

16/12/2023

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C'est l'histoire d'une bande de gens, devenue une bande d'amis et une bande de collègues que vous avez pour habitude de lire sur La Table Ronde ou même d'écouter en podcasts qui ont lieu tous les lundis soir depuis maintenant un an quasiment.

​Cette histoire de personnes nous allons vous la raconter tout au long de ces prochains jours avant la période de Noel pour faire le bilan de cette mi-saison des clubs qu'ils supportent depuis plusieurs années. Des clubs dont ils aiment venir parler autour de la table malgré les aléas des week end de leurs équipes tous les lundis ... Des clubs qui font partie intégrante de leur vie. 

​Tout au long de ces prochains jours vous pourrez retrouvez des résumés de mi-saison de nos membres qui sont supporters de l'Inter, de l'OM, du Milan AC, de Porto, de la Juve, des Girondins ou Mayence pour terminer.

Aujourd'hui en ce samedi place au premier supporter, place à celui qui vous permet d'écouter les podcasts et qui vous permet de lire nos écrits.
Place aujourd'hui à Syrus créateur de ce site, supporter de l'Inter Milan tombé amoureux de ce club lors d'un Inter-Lazio en finale de la coupe UEFA en 1998. Admiratif notamment de Ronaldo et qui ne donne pas le numéro 4 à ses joueurs sur PlayStation à cause ou grâce à Javier Zanetti, nous avons posé 4 questions pour résumer la moitié de saison de l'Inter.

1) Quel est pour toi le joueur de cette mi-saison concernant l'Inter ?
Réponse : S'il y avait 2 réponses j'aurai cité Sommer et Lautaro Martinez mais vu qu'on ne peut désigner qu'un seul joueur je choisis Lautaro. Parce que son leadership depuis l'an passé a décuplé qu'il continue à progresser et cela se voit dans son jeu. 
Il réalise un fantastique début de saison, historique même car il est dans les temps d'Higuain/Immobile lorsqu'ils ont tous 2 battu le record de buts en une saison de Série A ( 36 buts ). Et c'est un capitaine qui montre la voie à ses coéquipiers ( de surcroit presque irréprochable )

2) Après le top, quel est pour toi le flop de cette mi-saison ?
Réponse : Alexis Sanchez. Après sa très belle année à l'OM, j'attendais qu'il ait plus d'impact au niveau de l'attaque intériste et ça n'a pas été le cas, il manque encore de rythme. J'espère qu'il va pouvoir remonter la pente car on aura besoin de lui pour faire souffler les 2 titulaires en attaque.

3) Y a t'il des besoins de recrues pour cet hiver ?
Réponse : Il y a un besoin au poste d'attaquant car ayant été longtemps privé d'Arnautovic et Sanchez, l'Inter s'est retrouvé avec Lautaro et Thuram comme seuls attaquants disponibles. Egalement au poste de piston droits Cuadrado rechute ( Il n'est plus tout jeune ) et n'a que très peu joué en cette moitié de saison.

4) Et pour finir vu qu'on est dans la période de Noel que peut on souhaiter à ton club pour 2024 ?
Réponse : Gagner le plus de trophées possible et de maintenir ce niveau d'excellence ( meilleure attaque/défense du championnat, meilleur buteur pour Lautaro et meilleur passeur pour Thuram

Merci pour les réponses 



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Il était une fois en Bavière

11/12/2023

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Deux meilleurs amis, deux passionnés par le ballon rond. Tous deux se retrouvent le temps d'une journée en Allemagne, du côté de la Bavière, plus précisément à Munich dans le but d'aller voir le match du Bayern Munich face au FC Copenhaguen. Vous l'avez bien compris, il s'agit d'un match de ligue des champions. Au cours de cet article et ces quelques photos, nous allons vous raconter leur voyage.

Arrivée à 12H30

Restaurant Ratskeller Münvhen - Marienplatz

En arrivant, un peu de visite de la ville, notamment la Marienplatz puisqu'il s'agit d'une place centrale où l'on peut trouver restaurants, bars et marché de Noël à quelques pas, surtout pour se restaurer au restaurant Ratskeller München pour y boire une bonne bière ainsi qu'un bon plat chaud. Ensuite, nos deux touristes continuent sur une balade dans la ville avec son marché de Noël. Quelques stands et surtout un bon vin chaud !



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16H45 - Arrivée Au Stade - Le Musée
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L'un connait déjà quelque peu les ambiances européennes, et l'autre perdait ce soir là en quelques sortes sa virginité en la matière. Tout commence par la visite du musée. Grand, impressionnant. Notre féru de Bundesliga Camille y réalisa 2 quizz et fit la bonne performance de faire 2x 4/5 même si celui-ci fut déçu de ce score. Un passage O-BLI-GA-TOIRE à la boutique du stade puis un autre verre avant l'ouverture et ça y est, ils se retrouvent ENFIN dans l'enceinte mythique de l'Allianz Arena. Quelle ambiance ! Quand le premier, encore une fois, est un habitué des soirées européennes c'est des frissons pour son acolyte et pas seulement à cause des températures hivernales. La musique légendaire de la ligue des champions, l'entrée des joueurs dans le stade, l'ambiance des supporters qui étaient incroyables des deux côtés.

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21H - Le match

Un match passionnant avec des occasions de part et d'autres, ce que l'on peut surtout en noter ? Une action en fin de match (main dans la surface) qui aurait pu (dû) donner lieu à un penalty en faveur du Bayern Munich, mais après vérification de la VAR le match a repris son cours et la rencontre s'est soldée par un 0-0 immerité pour les hommes de Tuchel.

Tout de suite après la rencontre nos deux protagonistes quittent le stade pour retrouver le bus avec lequel ils étaient arrivés le matin même pour revenir chez eux, des souvenirs plein la tête.
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Balaise Matuidi

27/12/2022

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Salut les footeux ! C’est les fêtes et pourtant une nouvelle m’attriste bien que je m’y attendais. Le plus célèbre des Charo, l’immense Blaise Matuidi prend sa retraite. Alors aujourd’hui, on va faire un retour sur la carrière d’un des milieux les plus sous-cotés de sa génération.
 
Déjà, il y a un truc que la plupart des gens oublient, c'est que Blaise aurait pu faire partie de la fameuse génération 87. Cette même génération 87 dont font partie les 4 fantastiques de devant, Ménez, Ben Arfa, Nasri et Benzema. Cependant, il ne fait pas partie de l’équipe qui remporte l’Euro des moins de 17 ans en 2004, intégrant les jeunes bleus à l’été 2004. 
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​Le natif de Toulouse va débuter sa carrière avec Troyes lors d’un match de Ligue 2 le 23 novembre 2004 face à Gueugnon, le directeur du centre de formation trouve le jeune milieu de terrain trop avancé avec ses capacités pour évoluer avec les équipes de jeunes, il le transmettra une coach de l'équipe première, Jean-Marc Furlan. Les premiers observateurs du futur soldat de Didier Deschamps voient en lui en un premier temps le successeur du récupérateur Claude Makélélé, mais ses coachs successifs voient en lui plus le nouveau Jean Tigana au vu de son abattage et de son volume de jeu. Sa première saison le voit faire 2 autres apparitions, en Coupe de France contre Albi, ainsi qu’en Ligue 2 face à l'En Avant Guingamp. L’ESTAC monte en Ligue 1 en fin de saison et le joueur formé à Clairefontaine devient immédiatement un des titulaires indiscutables dans l’Aube, avec 31 matches dans l’élite française, dès sa première saison. Les saisons de 2004 à 2006 sont aussi celle de la découverte de l'équipe de France de jeunes le jeune toulousain disputant ces premières rencontres sous le maillot bleu. En 2006, il joue ses dernières partitions sous le maillot troyen, et après 69 parties dans l’Aube, c’est vers le Forez qu’il se dirige en juillet 2007, en signant à l’AS Saint-Etienne pour 5 millions d’Euros. 
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​Dès le début du mois d’août, Blaise le balaise débute avec les Verts contre Valenciennes, et disputera son 100e match en L1 lors de la dernière journée de championnat, s’imposant comme une des pièces maîtresses du système stéphanois, avec 37 matches dans la saison 2007/08. Mais après 3 buts marqués à…Troyes (heureusement qu’il joue pas à Sète, voire à Vintimille !), l'infatigable milieu de terrain commence à marquer sous le maillot vert lors de sa seconde saison en vert. Lors de la saison 2008 2009, il découvre aussi les joies de la Coupe d'Europe. En effet, Saint-Étienne dispute la Coupe UEFA lors de la 2e saison stéphanoise du Charo, qui jouera 9 matches de C3 avec les Verts, tombant en huitièmes de finale face au futur finaliste le Werder Brême de Mesut Özil et Torsten Frings. S'ensuivent 2 saisons en plus de 30 matchs chacune, mais les Saint-Étienne et le chaudron de Geoffroy-Guichard commence à être trop petit pour l'énorme volume de jeu du milieu de terrain français, qui découvre l’Equipe de France A en septembre 2010 face à la Bosnie-Herzégovine. Et c'est le mastodonte parisien qui va signer le milieu de terrain français à l'été 2011 pour 10 millions plus Jérémy Clément après 154 rencontres en vert pour 3 buts et 5 passes décisives. 
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Matuidi arrive dans la capitale en même temps que le nouvel investisseur QSI, et en effet, il n’est pas le nom le plus clinquant des arrivées made in Qatar. Le meneur de jeu argentin Javier Pastore, l’ailier français Jérémy Menez, la sentinelle italo-brésilienne Thiago Motta, les expérimentés défenseurs sud-américains Diego Lugano, Maxwell et Alex, ou encore le portier italien Salvatore Sirigu sont des noms qui attirent plus l’œil que le désormais ex-stéphanois. Mais comme d’habitude maintenant, Blaise se met au travail et gagne sa place de titulaire dans l’entrejeu parisien à force de kilomètres avalés, et de ballons grattés dans les pieds des joueurs adverses. Cette première version du PSG n’est encore pas calibrée pour la Ligue des Champions, alors c’est la Coupe UEFA, désormais appelée Ligue Europa que Matuidi et le club francilien joue, se faisant sortir dès les phases de poules dans un groupe composé du RB Salzburg, de l’Athletic Bilbao (futur finaliste) de Fernando Llorente, Javi Martinez et d’un futur parisien Ander Herrera, et du Slovan Bratislava. Le natif de Toulouse dispute 35 parties TTC pour son premier exercice parisien, marquant son unique but de la saison lors de l’antépénultième rencontre de la saison, face à Valenciennes, et finira vice-champion de France, coiffé sur le poteau par une escouade montpelliéraine emmenée par un grand Olivier Giroud.
Avec les arrivées à l’été 2012 de Marco Verratti, le petit prodige italien venu de Pescara, mais surtout de superstars comme Ezequiel Lavezzi, l’ailier argentin de Naples, du défenseur brésilien Thiago Silva et du buteur suédois Zlatan Ibrahimovic tous deux en provenance du Milan AC, Paris rêve plus grand, et Blaise doit courir encore plus, mais maintenant pour atteindre ses rêves ET celui d’un club qui fait peau neuve. 
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​Il est un des joueurs les plus utilisés désormais, autant en Equipe de France, où d’abord Laurent Blanc, puis Didier Deschamps en ont fait un des premiers noms cochés dans le onze de départ. Laurent Blanc, un homme que le Blaisou va retrouver sur le banc de son club, le champion du monde 98 coachant le PSG entre 2013 et 2016, fait de Blaise, s’il ne l’était pas déjà une des références à son poste, mais plus seulement en France mais au niveau international, via les différentes campagnes de Ligue des Champions que le PSG dispute désormais année après année. Malheureusement pour Matuidi comme pour le club, il y a toujours quelque chose qui se dresse en travers de sa route, un but de Demba Ba, un pénalty concédé stupidement en toute fin de rencontre, etc. 
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Matuidi est sélectionné pour participer à l’Euro 2012, mais blessé à la cuisse, il est sur le flanc lors des matches de poule, et il ne rentrera pas en quarts de finale contre l’Espagne, qui sortira les Bleus. Le premier tournoi que Matuidi disputera avec la France sera le Mondial 2014, jouant tous les matches, jusqu’à l’élimination en quarts de finale face à l’Allemagne, future championne du Monde. L’armoire à trophées se remplit à partir de 2013, avec quatre championnats de suite, des Coupes de France entre 2015 et 2017, des Trophées des Champions ainsi que des présences dans l’Equipe-type de L1 en 2013 et 2016. 2016, l’année où Blaise dispute sa première finale avec la France, qui aurait pu être le premier trophée en sélection nationale pour lui, à quelques centimètres d’une frappe de Gignac sur le poteau près, le Portugal sortant vainqueur grâce à un autre porteur d’eau, le buteur remplaçant de Lille, Eder. 
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​Le match le plus marquant de sa carrière en club va arriver la saison suivante, la saison 2016-17. Et pour les suiveurs du PSG, on parle là certainement du plus gros traumatisme du club, « La Remontada ». Les Barcelone-PSG sont devenus monnaie courante ces dernières années, deux affrontements en 2013 et 2015 à chaque fois remportés par le Barça. Et en 2016-17, Paris sort second d’un groupe avec Arsenal, Bâle et Ludogorets, alors que le Barça a dominé un groupe compose de Manchester City, Mönchengladbach et le Celtic. Et le huitième aller est un récital pour Paris. 4-0, une raclée monumentale est infligée aux catalans ! Mais le match retour est trois semaines plus tard. Et on sait tous ce qu’il s’est passé, alors qu’il devait en encaisser 5 de plus que leur adversaire (chose jamais arrivée dans l’histoire de la Coupe d’Europe), Paris perd 6-1 avec 3 buts à partir de la 88e minute, dont deux pénaltys, et un but de Sergi Roberto à la 95e entré dans la légende.
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​Probablement marqué par ce cataclysme, Blaise change d’air l’été suivant. Six ans après son arrivée à Paris, et après près de 300 matches avec la tunique bleue et rouge, c’est de l’autre côté des Alpes que Blaise s’expatrie, direction Turin. La Juventus recrute le vice-champion d’Europe pour 25M d’euros en 2017. Blaise retrouve son compère de l’Equipe de France Paul Pogba au sein d’un effectif qui vient de disputer deux finales de Ligue des Champions en 2 ans, chose sur laquelle le PSG met tant d’efforts (et d’argent) sans y parvenir. Matuidi devient sans difficulté un des cadres du vestiaire bianconero, aux côtés des légendes comme Chiellini ou Buffon, et dans un entrejeu avec le bosnien Pjanic, l’allemand Khedira ou l’enfant du club Claudio Marchisio. 
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​Au bout de sa première saison turinoise, l’international français s’envole avec les Bleus pour la Russie. La France fera un parcours remarquable, où malgré d’excellents joueurs pouvant évoluer sur les ailes, Didier Deschamps qui voulait aligner le turinois sans toucher à son double pivot Kanté-Pogba va aligner Matuidi en milieu gauche/ailier gauche pour équilibrer avec les montées incessantes de Mbappé sur l’aile opposée, et il sera un des hommes clés lors de la victoire en Coupe du Monde !
​Il restera deux années de suite dans le Piémont, raflant tous les Scudetti à leur portée, disputant 133 matches en trois saisons pour la Vecchia Signora. Mais en 2020, à 33 ans, et avec une énième désillusion en Ligue des Champions, lors du Final 8 en mode Covid et une élimination face à Lyon (symbolique pour un ancien stéphanois ?), le joueur de 33 ans n’entre plus dans les plans du jeune coach Andrea Pirlo, remplaçant un Maurizio Sarri jamais vraiment arrivé dans le nord de l’Italie. C’est aussi à ce moment là qu’il arrête l’Equipe de France après 84 sélections et 9 buts.
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​Matuidi reçoit un signal d’un ancien éphémère coéquipier du PSG, David Beckham, qui vient d’établir son équipe en MLS. Le turinois part alors à l’Inter. Un juventino partant à l’Inter ? Trahison ! Mais on se détend tout de suite, c’est l’Inter M…iami, franchise que l’ex-Spice Boy vient de lancer et qui a contacté son ancien partenaire du milieu de terrain parisien pour qu’il vienne apporter son expérience des grands rendez-vous dans sa toute fraîche équipe. C’est donc après 133 parties en blanc et noir qu’il va jouer les derniers moments de sa carrière, une petite cinquantaine de matches sous le soleil de Floride, avant de raccrocher les crampons en cette fin décembre 2022.
​Après 16 ans de conduite de balle approximative, près de 600 matches en professionnel, et 21 trophées remportés, il est temps de se séparer d’un soldat Matuidi dont le surnom Charo est peut-être le plus représentatif de ce qu’il a été durant toute sa carrière : un joueur pas très esthétique, mais un travailleur de l’ombre infatigable, qui s’est toujours placé en dessous de l’intérêt collectif, et pourtant étant un des premiers noms cochés par tous ses coachs. Et c’est là qu’il était balaise, le Blaise…

Auteur

Camouf, @CamilFranciosi, pas charo, mais fan du Blaisou

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